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Unité urbaine de Blois

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Blois, vu de la rive gauche (rive sud) de la Loire
Blois, vu de la rive gauche (rive sud) de la Loire

L'unité urbaine de Blois est une unité urbaine française centrée sur Blois, préfecture et ville principale du département de Loir-et-Cher, au cœur de la cinquième agglomération urbaine de la région Centre-Val de Loire.

Extrait de l'article de Wikipedia Unité urbaine de Blois (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Unité urbaine de Blois
Rue du Plessis, Blois

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Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 47.593889 ° E 1.328056 °
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Adresse

ADA Palais Omnisport

Rue du Plessis 4
41000 Blois, Centre
Centre-Val de Loire, France
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Blois, vu de la rive gauche (rive sud) de la Loire
Blois, vu de la rive gauche (rive sud) de la Loire
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Lieux à proximité

Prieuré Saint-Lazare et hospice Lunier
Prieuré Saint-Lazare et hospice Lunier

La léproserie Saint-Lazare, devenue prieuré puis château ou villa Saint-Lazare, et enfin hospice Lunier, est un ensemble de bâtiments inscrits à l'inventaire et aujourd'hui intégrés à la cité scolaire Augustin-Thierry de Blois, dans le Loir-et-Cher. Fondée entre 1116 et 1126 par le comte Thibaut IV de Blois et l'évêque de Chartres Geoffroy de Lèves, la maladrerie Saint-Lazare est à l'origine destinée à l'isolement des lépreux. Après la disparition de la lèpre, la maladrerie devient, au XVIe siècle, un prieuré de Génovéfains. Réaménagé au XVIIIe siècle, le prieuré est nationalisé en 1791 avant d'être vendu deux ans plus tard au maire de Paris Nicolas Chambon de Montaux. Cédé, par la suite, à différents propriétaires, dont le père de Victor Hugo, le prieuré passe finalement à un financier du nom de Jean-Simon Chambert-Péan en 1834. Ce dernier édifie alors une villa (ou château) à l'emplacement de l'ancien monastère et fait planter le parc de nombreuses essences. Vendu au département de Loir-et-Cher en 1861, le domaine de Chambert-Péan est intégré à l'asile départemental de Loir-et-Cher, alors placé sous la direction du docteur Jules Lunier. Agrandi de nombreux bâtiments (hospice Lunier, thermes, villas annexes), l'asile est finalement désaffecté par les Allemands lors de l'occupation en 1943. Depuis la Libération, le domaine et les bâtiments de l'hospice Lunier accueillent la cité scolaire Augustin-Thierry, dont les locaux originels ont été détruits par les bombardements au début de la Seconde Guerre mondiale.