place

Canton de Tours-Ouest

Ancien canton en Indre-et-LoireArrondissement de ToursArticle avec modèle Dernière population de canton de FranceArticle avec modèle Graphique population de canton de FranceArticle avec modèle Tableau population de canton de France
Article géolocalisé en FranceArticle utilisant une InfoboxArticle à illustrer Subdivision administrativeArticle à ne pas géolocaliserPage avec des cartes

Le Canton de Tours-Ouest est un ancien canton français situé dans le département d'Indre-et-Loire et la région Centre.

Extrait de l'article de Wikipedia Canton de Tours-Ouest (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs).

Canton de Tours-Ouest
Boulevard Jean Monnet, Tours Giraudeau

Coordonnées géographiques (GPS) Adresse Lieux à proximité
placeAfficher sur la carte

Wikipedia: Canton de Tours-OuestContinuer à lire sur Wikipedia

Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 47.3776173 ° E 0.67127033 °
placeAfficher sur la carte

Adresse

Boulevard Jean Monnet
37032 Tours, Giraudeau
Centre-Val de Loire, France
mapOuvrir sur Google Maps

Partager l'expérience

Lieux à proximité

Quartier Giraudeau
Quartier Giraudeau

Le quartier Giraudeau, parfois appelé quartier Général-Renault ou Giraudeau-Maryse-Bastié, voire plus simplement Giraudeau-Bastié, est un quartier français de la ville de Tours. Situé à l'ouest de la commune, c'est un quartier populaire qui compte près de 4 500 habitants en 2009. Longtemps un terrain en friche, le quartier est industrialisé au début du XXe siècle avant d'être surtout urbanisé après la Seconde Guerre mondiale. Il est limité par le Cher au sud, la commune de La Riche à l'ouest, le rue du Plat d’Étain au nord et enfin la rue Giraudeau à l'est, tel que défini par l'Insee dans son partage de la commune en 22 IRIS. On trouve au cœur du quartier Giraudeau plusieurs cités de logements sociaux, qui figurent parmi les premiers de la ville. Ils ont été construits à partir des années 1920 et surtout des années 1950 pour les premiers logements collectifs, ce qui fait du quartier un précurseur avant l'aménagement de grands ensembles bien plus vastes. De nombreux ouvriers et militaires peuplent alors le quartier. Le secteur Maryse-Bastié est aujourd'hui inclus parmi les quartiers prioritaires de la politique de la ville et compte près de 2 000 habitants. Au nord du quartier Giraudeau, on trouve les anciennes casernes militaires de Beaumont-Chauveau, abandonnées en 2009. L'espace laissé libre donne naissance à un projet de quartier urbain de plus de dix hectares qui s'inscrit dans une ambition de réhabilitation urbaine. Ce projet de quartier mixte est entre autres à destination de l'Université de Tours, en plus de logements et bureaux d'entreprises. Il devrait être totalement achevé en 2023.

Abbaye Notre-Dame de Beaumont-lès-Tours
Abbaye Notre-Dame de Beaumont-lès-Tours

L'abbaye Notre-Dame de Beaumont-lès-Tours, usuellement dénommée abbaye de Beaumont, est un ancien établissement de religieuses bénédictines, situé à Tours (département d'Indre-et-Loire), au sud de la rue du Plat-d'Étain, sur l'ancienne commune de Beaumont-lès-Tours. L'abbaye est fondée en l'an 1002 par Hervé de Buzançais, trésorier de la basilique Saint-Martin de Tours, sur un site déjà occupé depuis le IXe siècle par une communauté religieuse ou laïque qui y a construit une chapelle. Elle constitue la plus grande et la plus durable communauté de moniales de la Touraine. Aux XVIe et XVIIe siècles, en pleine Contre-Réforme, après que les religieuses ont adopté la règle bénédictine de Chezal-Benoît plus conforme à l'esprit bénédictin d'origine, l'abbaye fait l'objet d'agrandissements et d'embellissements. À la Révolution française, alors que les bâtiments ont été dévastés cinq ans plus tôt par un incendie et partiellement reconstruits, les 46 religieuses sont expulsées. L'abbaye est désaffectée et vendue par lots, ses bâtiments sont presque totalement détruits, revendus pierre par pierre. Le site accueille des jardins potagers de l'hospice de Tours à partir de 1866 puis des casernes occupées par différentes unités de 1913 à 2012. La réhabilitation du site en écoquartier, en cours en 2022, est accompagnée de diagnostic (2017) et de fouilles archéologiques préventives (2019-2020 puis 2022-2023) permettant de mieux connaître son histoire et de compléter son plan ; plusieurs bâtiments jusque-là non localisés, voire inconnus pour certains, sont en effet mis au jour. Le logis abbatial ou « pavillon Condé », construit quatre ans seulement avant la Révolution et l'un des seuls vestiges préservés, fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis 1946. La grille en fer forgé qui séparait la nef du chœur de l'abbatiale et qui ferme depuis le début du XIXe siècle la cour de la préfecture d'Indre-et-Loire est classée comme monument historique.