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Butte du Lion

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Lion dans la sculpturePage avec des cartesPage avec des données de géolocalisation non prises en chargePatrimoine classé à Braine-l'AlleudÉdifice représenté sur une pièce de monnaie
Belgique Butte du Lion dit de Waterloo
Belgique Butte du Lion dit de Waterloo

La Butte du Lion ou le Monument de Waterloo, constitué d'un imposant tertre de terre surmonté d'un colossal Lion belgique, est un monument érigé en 1826, pour éterniser la gloire nationale, sur le site de la bataille de Waterloo, à Braine-l'Alleud, à la demande du roi Guillaume Ier des Pays-Bas qui voulut marquer l'endroit présumé où son fils ainé, le prince Guillaume II, fut blessé à l'épaule à la fin de la bataille. Comme tout le site de la bataille, la Butte est inscrite au Patrimoine majeur de Wallonie. Tourné vers la France, l’animal a la patte posée sur un globe terrestre, annonçant la paix européenne retrouvée

Extrait de l'article de Wikipedia Butte du Lion (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 50.678106 ° E 4.405389 °
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Adresse

Burg Baldenau

Arnikaschleife
54497 , Hundheim
Rheinland-Pfalz, Deutschland
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Belgique Butte du Lion dit de Waterloo
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Bataille de Waterloo
Bataille de Waterloo

La bataille de Waterloo [watɛʁlo] s'est déroulée le 18 juin 1815, en Belgique, à vingt kilomètres au sud de Bruxelles, dans l'actuelle province du Brabant wallon. Cette bataille a opposé l'armée française dite Armée du Nord, dirigée par l'empereur Napoléon Ier, à l'armée des Alliés, dirigée par le duc de Wellington et composée de Britanniques, d'Allemands (contingents du Hanovre, du Brunswick, du Nassau) et de Néerlandais (unités belges et néerlandaises), rejointe par l'armée prussienne commandée par le maréchal Blücher. Elle s'est achevée par la défaite décisive de l'armée française. Napoléon Ier lance des assauts contre le château d’Hougoumont et la ferme de La Haye-Sainte mais l’armée de Wellington résiste. C’est alors que l’armée prussienne intervient, attaquant le flanc droit de l’armée française. Le maréchal Grouchy, chargé de poursuivre les prussiens après Ligny, avait failli à sa tâche. La cavalerie française charge les lignes adverses à plusieurs reprises et menace de les briser. La Garde impériale avance mais doit finalement reculer. Une attaque générale des coalisés rend la défaite française inévitable. Les combats n'ont pas lieu sur le territoire de la commune de Waterloo, mais un peu plus au sud, sur les territoires des communes actuelles de Lasne, Braine-l'Alleud et de Genappe. Toutefois, Wellington écrivit la dépêche annonçant la victoire des coalisés depuis son quartier général situé à Waterloo, fixant ainsi ce nom à la bataille qui fut initialement appelée en France « bataille de Mont-Saint-Jean »,, lieu effectif de l'engagement. En Allemagne, la bataille est dénommée « Victoire de la Belle-Alliance » (Sieg von Belle-Alliance),, du nom de l'auberge où eut lieu la rencontre entre les deux généraux en chef des coalisés à la fin de la journée. Cette bataille est la dernière à laquelle prit part personnellement Napoléon, qui venait de reprendre le pouvoir en France trois mois plus tôt, et marque ainsi la fin de cette période des Cent-Jours. Napoléon dut en effet abdiquer quatre jours plus tard à son retour à Paris, le 22 juin, face au manque de soutien politique.