place

Congo belge

Article avec source à lierArticle contenant un appel à traduction en anglaisArticle de Wikipédia avec notice d'autoritéArticle de qualité en basqueArticle géolocalisé en Belgique
Article utilisant une InfoboxArticle à prouver/Liste complèteArticle à prouver depuis décembre 2011Colonisation belge de l'AfriqueCongo belgePage avec des cartesPage pointant vers des bases externesPage pointant vers des dictionnaires ou encyclopédies généralistes
Belgian Congo locator map
Belgian Congo locator map

Congo belge (en néerlandais : Belgisch-Kongo) est l'ancien nom porté par le territoire de l’actuelle république démocratique du Congo (RDC) entre le 15 novembre 1908, fin de l’État indépendant du Congo, possession personnelle pendant 23 ans du roi des Belges Léopold II, et l’accession à l’indépendance congolaise, effective le 30 juin 1960. Pendant les cinquante-deux ans de la période coloniale, le Congo belge fut géré de Bruxelles, mais avec son armée, la Force publique, sous l'autorité d'un gouverneur général.

Extrait de l'article de Wikipedia Congo belge (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Congo belge
Avenue Kitega, Kinshasa Libulu (Barumbu)

Coordonnées géographiques (GPS) Adresse Lieux à proximité
placeAfficher sur la carte

Wikipedia: Congo belgeContinuer à lire sur Wikipedia

Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N -4.317 ° E 15.317 °
placeAfficher sur la carte

Adresse

Avenue Kitega

Avenue Kitega
Kinshasa, Libulu (Barumbu)
République démocratique du Congo
mapOuvrir sur Google Maps

Belgian Congo locator map
Belgian Congo locator map
Partager l'expérience

Lieux à proximité

Fédération congolaise de football association
Fédération congolaise de football association

La Fédération congolaise de football association (FECOFA) est une association regroupant les clubs de football de république démocratique du Congo et organisant les compétitions nationales et les matchs internationaux de la sélection de RDC. La fédération organise aussi le Tournoi international de football du Congo(TIFOCO), mettant en compétition 4 équipes africaines locales. Cette compétition est réservée aux joueurs évoluant en club sur le continent africain. La fédération nationale de RDC est fondée en 1919 par Raphaël de la Kethulle de Ryhove. Elle est affiliée à la FIFA depuis 1962 et est membre de la CAF depuis 1963. En avril 2018, quatre dirigeants, dont Constant Omari, sont entendus par la justice pour une affaire de présumés détournements de fonds publics qui pourrait s'élever à un million de dollars. Écarté du vote par la Commission de contrôle de la FIFA qui l’accuse d’avoir reçu des avantages dans le cadre de négociations liées à la commercialisation des droits TV de compétitions de la CAF, Constant Omari (2003-2021) annonce sa démission le 16 Juin. Il est remplacé par Donatien Tshimanga, qui assure l’intérim jusqu’au mois de Décembre. Dans le cadre de la crise du Covid-19, la fédération congolaise de football a décidé d’arrêter momentanément tous les championnats, puis à pris la décision de l’arrêt définitif, la FECOFA considérant la situation sanitaire extrêmement complexe. Pour la première fois de l’histoire et sous le mandat de Félix Tshisekedi, le gouvernement a pris en charge les frais de transport pour les équipes engagées en ligue 1 et en ligue 2 congolaises; un soutien qui a été salué au regard de la situation financière du football congolais. En Ligue des Champions, après avoir réalisé une très bonne phase de groupes, le TP Mazembe est sorti dès les quarts de finale face au Raja de Casablanca, alors que l’AS Vita Club n’a pas dépassé la phase de poule. L’année 2020 a été compliquée pour la sélection de la RDC à la recherche d’un nouveau vent après l’élimination en huitièmes de finale de la CAN 2019. Christian Nsengi Biembe succède à Florent Ibenge.

Kinshasa
Kinshasa

Kinshasa (/kin.ʃa.sa/ ; en lingala : Kisásá), appelée Léopoldville (en néerlandais : Leopoldstad) de 1881 à 1966, est la capitale et la plus grande ville de la république démocratique du Congo (RDC) ainsi que d'Afrique ; elle s’étend sur 9 965 km2. Avec une population estimée en 2021 à 16 millions d'habitants dans sa zone métropolitaine, elle est la troisième agglomération d'Afrique derrière Le Caire et Lagos, et constitue la plus grande agglomération francophone du monde, en ayant dépassé celle de Paris dans les années 2010, et figure parmi les agglomérations les plus peuplées au monde. Située sur la rive sud du fleuve Congo, au niveau du Pool Malebo, elle fait face à la capitale de la République du Congo, Brazzaville. Les limites de la ville étant très étendues, plus de 90 % de sa superficie sont des espaces ruraux ou forestiers (notamment dans la commune de Maluku) ; les parties urbanisées se trouvent à l'ouest du territoire. Kinshasa a le statut administratif de ville et constitue l'une des 26 provinces du pays. Ses habitants sont nommés les Kinois. Le site de Kinshasa est occupé depuis plusieurs siècles par des peuples bantous (Teke, Humbu) et devient une place commerciale au cours des XVIIIe et XIXe siècles. En 1881, l'explorateur Henry Morton Stanley nomme la ville Léopoldville en l'honneur du roi des Belges Léopold II. En 1920, elle ne compte que 1 600 habitants, et voit peu à peu sa population s'accroître jusqu'à atteindre 200 000 habitants en 1950. Durant la seconde moitié du XXe siècle, la ville connaît un fort développement économique et une urbanisation anarchique : passant d'un million d'habitants en 1970 à une population d'environ 17 millions aujourd'hui. Cœur économique, politique et culturel du pays, Kinshasa est une ville de contrastes, où coexistent côte à côte des secteurs résidentiels et commerciaux huppés, des universités, des camps militaires et des bidonvilles. Elle constitue un nœud de transports de l'Afrique centrale et accueille les principaux bâtiments institutionnels du pays, tels que le palais du Peuple, le stade des Martyrs et le palais de la Nation. C'est une ville cosmopolite, qui accueille de nombreux étrangers, et où le lingala, le kikongo ya leta (aussi appelé kikongo en dehors du Kongo central), le swahili et le tshiluba sont les langues principales des habitants aux côtés du français, qui est la langue à titre officiel.