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Organe de coordination pour l'analyse de la menace

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Service de renseignementService public en Belgique

L'Organe de coordination pour l'analyse de la menace (OCAM, en néerlandais Orgaan voor de Coördinatie en de Analyse van de Dreiging (OCAD), en allemand Koordinationsorgan für die Bedrohungsanalyse (KOBA), en anglais Coordination Unit for Threat Analysis (CUTA)), est un service officiel belge chargé par la Loi du 10 juillet 2006 de l’analyse de la menace en matière de terrorisme et d’extrémisme, sur base des informations et renseignements fournis par : la Sûreté de l'État ; le Service général du renseignement et de la sécurité (dépendant du Ministère de la Défense) ; les polices locales et fédérale (dépendant du SPF Intérieur) ; l'Administration des douanes et accises (dépendant du SPF Finances) ; l'Office des étrangers du SPF Intérieur ; le SPF Mobilité et Transports ; le SPF Affaires étrangères, commerce extérieur et coopération au développement) ; la direction générale du Centre de Crise (dépendant du SPF Intérieur) ; la direction générale Etablissements pénitentiaires (dépendant du SPF Justice) ; le Service Laïcité et Cultes de la Direction générale de la Législation et des Libertés et Droits fondamentaux (dépendant du SPF Justice) ; l'Administration générale de la Trésorerie (dépendant du SPF Finances)

Extrait de l'article de Wikipedia Organe de coordination pour l'analyse de la menace (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs).

Organe de coordination pour l'analyse de la menace
Rue de la Loi, Bruxelles Pentagone

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Orgaan voor de Coördinatie en de Analyse van de Dreiging - Organe de Coordination pour l’Analyse de la Menace - Koordinierungsorgan für die Bedrohungsanalyse

Rue de la Loi
1000 Bruxelles, Pentagone
Belgique
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Lieux à proximité

Avenue des Arts (Bruxelles)
Avenue des Arts (Bruxelles)

L'avenue des Arts est une artère bruxelloise située sur la petite ceinture entourant le centre historique de la ville. Il s'agit d'une artère composée principalement de bureaux d'affaires et à forte densité automobile. L'avenue est située pour partie sur le territoire de la commune de Saint-Josse-ten-Noode et sur le territoire de la ville de Bruxelles. Les artères formant la petite ceinture ont de particulier que les voies intérieures sont situées sur le territoire de la ville de Bruxelles et que les voies extérieures sont situées sur le territoire des communes avoisinantes. En effet, l'avenue des Arts fait partie de l'artère extérieure de la petite ceinture. Le boulevard du Régent est son vis-à-vis sur l'artère intérieure de la petite ceinture. Des tunnels occupent le centre des voiries. Le tracé de l'avenue des Arts est situé entre la place Quetelet et la rue du Trône. L'avenue des Arts forme la prolongation de l'avenue de Galilée, longe un moment l'avenue de l'Astronomie, coupe la place Madou, rejoint la rue de la Charité, la rue Joseph II, la rue de la Loi, la rue Guimard, la rue Belliard, la rue Montoyer, la rue du Luxembourg et aboutit à la rue du Trône. À partir de cet endroit elle est prolongée par l'avenue Marnix. La numérotation des immeubles (en continu pair et impair) de l'artère débute à l'angle formé par la place Madou et la chaussée de Louvain (Saint-Josse-ten-Noode) alors que la circulation automobile va de la rue du Trône à la place Madou. Cette avenue ainsi que la rue de la Loi ont donné leur nom à la station de métro Arts-Loi.

Théâtre royal du Parc
Théâtre royal du Parc

Le théâtre royal du Parc est un théâtre de Bruxelles situé en bordure du parc de Bruxelles, face au Parlement fédéral. Il peut accueillir jusqu'à 540 places. Construit en 1782 d'après les plans de l'architecte Louis Montoyer, le théâtre du Parc sert d'abord d'annexe au théâtre de la Monnaie : les frères Bultos, gestionnaires de l'époque, exploitent les deux théâtres en même temps, le Parc étant dévolu aux spectacles présentés par de jeunes comédiens. C'est en quelque sorte l'école d'art dramatique du théâtre de la Monnaie. Fermé en 1807 par le décret de Napoléon Ier, il rouvre en 1814 et est occupé par une troupe britannique pendant un an, puis par une troupe hollandaise pendant quelques mois. Dès 1819, la ville de Bruxelles, propriétaire des deux « théâtres royaux », accorde une concession conjointe aux directeurs successifs. La troupe et le répertoire sont tantôt identiques, tantôt distincts, le Théâtre du Parc se spécialisant davantage dans le vaudeville et le théâtre de boulevard. De 1850 à 1854, le Parc accueille des représentations en néerlandais, puis il se spécialise dans l'opérette et l'opéra-comique, et enfin, à partir de 1869, dans les pièces de comédie. Pendant la Première Guerre mondiale, la Monnaie et le Parc sont réquisitionnés et le Parc devient le lieu de divertissement de la garnison allemande. Redevenu théâtre francophone en 1919, il propose essentiellement des pièces de répertoire interprétées par des comédiens belges. De 1947 à 1969, sous la direction d'Oscar Lejeune, le théâtre accueille, chaque année, un spectacle de la Comédie-Française. C'est sous la direction d'Oscar Lejeune que le théâtre fait l'objet d'une importante modernisation de son installation scénique et des locaux destinés aux comédiens. Thierry Debroux en est le directeur depuis 2010.