place

Parc Jean-Jacques-Rousseau

Article contenant un appel à traduction en anglaisArticle géolocalisé en FranceArticle géolocalisé sur TerreArticle utilisant une InfoboxErmenonville
Espace naturel sensible dans l'OiseNommé d'après Jean-Jacques RousseauPage avec des cartesParc ou jardin public dans l'OiseParc à fabriquesProjet:Biologie/Pages liées
Temple philosophie
Temple philosophie

Le parc Jean-Jacques-Rousseau est un parc à l'anglaise situé à Ermenonville, dans le département de l'Oise. Il doit son nom au philosophe Jean-Jacques Rousseau, qui y séjourna durant les six dernières semaines de sa vie. Il y mourut en 1778, et fut inhumé dans l'île des Peupliers. Le parc devint alors un lieu de pèlerinage littéraire. Domaine départemental, le parc actuel ne représente qu'une partie du parc initial, qui se partage entre trois propriétaires différents : le secteur ouest, appelé « le Désert », appartient à l'Institut de France, et le secteur nord appartient au domaine de l'hôtel-restaurant établi au château d'Ermenonville. Le Désert et le secteur nord ne sont ouverts au public que de façon restreinte. Le parc a été classé espace naturel sensible en 2019 par le département de l'Oise.

Extrait de l'article de Wikipedia Parc Jean-Jacques-Rousseau (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Parc Jean-Jacques-Rousseau
Ruelle de l'Étang, Senlis

Coordonnées géographiques (GPS) Adresse Lieux à proximité
placeAfficher sur la carte

Wikipedia: Parc Jean-Jacques-RousseauContinuer à lire sur Wikipedia

Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 49.121111 ° E 2.691111 °
placeAfficher sur la carte

Adresse

cénotaphe de Jean-Jacques Rousseau

Ruelle de l'Étang
60950 Senlis
Hauts-de-France, France
mapOuvrir sur Google Maps

Temple philosophie
Temple philosophie
Partager l'expérience

Lieux à proximité

Église Saint-Martin d'Ermenonville
Église Saint-Martin d'Ermenonville

L'église Saint-Martin est une église catholique paroissiale située à Ermenonville, dans le département de l'Oise, en France. Ermenonville est érigée en paroisse par le chapitre Notre-Dame de Senlis en 1213. La construction de l'église avait commencé dès 1170 / 1180 par le clocher, mais s'était interrompue par la suite, et le voûtement du chœur n'est certainement pas achevé avant le second quart du XIIIe siècle. Tout le chœur appartient à la première période gothique. Au XIVe siècle, l'on commence à bâtir une nouvelle nef, mais il est probable que la guerre de Cent Ans ne permet pas de procéder à son voûtement. En 1528, les paroissiens décident un important programme de réparation de l'église, principalement du chœur et des toitures. Six ans plus tard, ils veulent doter l'église d'une nouvelle nef. Ce chantier dure de 1534 à 1540, ce qui n'est pas bien long, puisque les grandes arcades du XIVe siècle sont maintenues. Les voûtes de la nef et les bas-côtés, presque entièrement reconstruites, affichent le style gothique flamboyant. Quelques fenêtres sont encore refaites un peu plus tard. En 1614 / 1615, le seigneur Méry de Vic dote le sanctuaire d'un retable représentatif, avec un tableau de la Charité de Saint-Martin, patron de l'église. Le 25 mai 1625, Dominique de Vic est consacré archevêque de Corinthe en l'église Saint-Martin. Entre 1883 et 1886, l'église est soumise à un important programme de restauration, qui enlève en partie l'authenticité du monument, mais respecte globalement les dispositions d'origine. Ces travaux sont en grande partie financés par le prince Constant Radziwiłł et son épouse la princesse Louise, née Blanc, qui offrent également à l'église un riche mobilier néo-gothique de grande qualité. L'église est définitivement classée aux monuments historiques par arrêté du 14 octobre 1911. Elle dépend aujourd'hui de la paroisse Notre-Dame de la Visitation du Haudouin, et des messes dominicales anticipées y sont célébrées certains samedis.

Église Saint-Denis de Ver-sur-Launette
Église Saint-Denis de Ver-sur-Launette

L'église Saint-Denis est une église catholique paroissiale située à Ver-sur-Launette, dans l'Oise. Son architecture fait preuve d'un certain raffinement, qui témoigne de l'influence du chantier de la cathédrale Notre-Dame de Senlis et de l'inspiration de la cathédrale Notre-Dame de Paris, et reflète les principaux jalons du développement du style gothique. L'édifice se compose d'un vaisseau central de cinq travées, se terminant par un chevet plat éclairé par un triplet, et de deux bas-côtés, qui laissent libre la dernière travée du chœur. Le clocher s'élève au-dessus de l'avant-dernière travée du bas-côté sud, qui abrite de remarquables chapiteaux. Cette travée, ainsi que celle qui lui fait suite à l'est, représentent les parties les plus anciennes de l'église, et datent des années 1160 / 1170. Elles constituaient vraisemblablement le chœur de l'église qui existe à cette époque. Vers 1220, l'église est en grande partie reconstruite, et c'est de cette époque que datent le vaisseau central et les trois premières travées du bas-côté sud. Le chœur montre des frappantes similitudes avec Borest et Ermenonville. Au début du XVIe siècle, le bas-côté nord est remanié, la base du clocher est renforcée, et ses parties hautes sont entièrement reconstruites. Ces travaux s'effectuent dans le style gothique flamboyant. Déjà en 1894, Eugène Müller écrit que « Ver est un édifice qui ne me paraît point suffisamment apprécié pour son élégance et l’originalité de certains de ses détails ». Elle n'est toujours pas protégée au titre des monuments historiques. L'église Saint-Denis est aujourd'hui affiliée à la paroisse Notre-Dame de la Visitation du Haudouin, et accueille des messes dominicales anticipées deux fois par an.

Église Notre-Dame d'Ève
Église Notre-Dame d'Ève

L'église Notre-Dame d'Ève est une église catholique paroissiale située à Ève, en France. Elle se singularise par sa façade dissymétrique, à quatre travées, qui englobe un étage et demi d'un clocher roman du milieu du XIIe siècle. Le très riche décor à pinacles plaqués, accolades, animaux fantastiques et réseaux flamboyants, ainsi que l'élégante flèche cumulant à 44 m de hauteur, datent de la première moitié du XVIe siècle. Comme la façade l'augure déjà, le plan de l'église est également irrégulier, au moins dans la première travée de la nef, qui se compose de la base du clocher plusieurs fois remanié, et d'un narthex. Le reste du vaisseau central est inhabituellement large pour une petite église rurale, et se termine par une grande abside à cinq pans. Les deux premières travées à l'est du clocher représentent le chœur gothique du second quart du XIIIe siècle, dont l'architecture est d'une grande qualité. Les travées adjacentes du bas-côté nord datent de la même époque. Il faut savoir que la nef se situait à l'ouest du clocher avant sa destruction sous la guerre de Cent Ans. Au lieu de la reconstruire à son emplacement primitif, il fut décidé, au XVIe siècle, de transformer le chœur gothique en nef, et de prolonger cette dernière vers l'est, afin d'obtenir un nouveau chœur. Le vaisseau central est donc augmenté d'une travée droite et d'une abside à cinq pans, le bas-côté nord est prolongé d'une travée, et un bas-côté est ajouté au sud. Ces travaux s'échelonnent sur deux campagnes de construction, et s'achèvent avant 1540. C'est cette date qui se lit sur la verrière d'axe du chevet, qui comporte des vitraux de la Renaissance remarquables, au sujet de la dormition de la Vierge Marie et de son Assomption. Le clocher et les vitraux ont été classés aux monuments historiques par la liste de 1862, puis l'église a été classée en totalité par arrêté du 13 mars 1987. L'église Notre-Dame est aujourd'hui affiliée à la paroisse Notre-Dame de la Visitation du Haudouin, qui s'étend sur quinze communes. Elle accueille des messes dominicales anticipées quelquefois par an, ainsi que des célébrations particulières.