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Gare de Montgeroult - Courcelles

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Ligne de Saint-Denis à DieppePage avec des cartesTransilien JZone 5 des transports en commun d'Île-de-France
Montgeroult (95), gare de Montgeroult Courcelles 3
Montgeroult (95), gare de Montgeroult Courcelles 3

La gare de Montgeroult - Courcelles est une gare ferroviaire française de la ligne de Saint-Denis à Dieppe, située sur le territoire de la commune de Montgeroult, à proximité de Courcelles-sur-Viosne dans le département du Val-d'Oise en région Île-de-France. C'est une gare SNCF desservie par les trains du réseau Transilien Paris Saint-Lazare (ligne J).

Extrait de l'article de Wikipedia Gare de Montgeroult - Courcelles (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Gare de Montgeroult - Courcelles
Rue de la Vallée, Pontoise

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Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 49.080668 ° E 2.003197 °
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Adresse

Voie 1

Rue de la Vallée
95650 Pontoise
Île-de-France, France
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Montgeroult (95), gare de Montgeroult Courcelles 3
Montgeroult (95), gare de Montgeroult Courcelles 3
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Lieux à proximité

Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Montgeroult
Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Montgeroult

L'église Notre-Dame-de-l'Assomption de Montgeroult est une église catholique paroissiale située à Montgeroult, dans le Val-d'Oise, en Île-de-France. Fondée probablement vers 1070, l'église dépendait de l'abbaye de Saint-Denis sous tout l'Ancien Régime. Aucun élément concret ne confirme toutefois la tradition locale, selon laquelle un monastère aurait été associé à l'église avant la construction du château, et l'église ne constitue pas non plus l'ancienne chapelle du château. Pour un édifice d'aussi petites dimensions, son architecture atteint un très bon niveau, et son chœur possède même des galeries anciennement ouvertes sur combles. Les six travées orientales ont été édifiées en trois campagnes entre 1190 et 1240 environ, et reflètent les différentes étapes de développement de l'architecture gothique, jusqu'à l'apparition du style gothique rayonnant qui se manifeste sur l'étage supérieur du clocher. La base du clocher utilise des piliers antérieurs à tout le reste, et l'arc triomphal en plein cintre ouvrant sur la nef permet de faire remonter ces éléments aux débuts de la paroisse. La courte nef et ses deux bas-côtés sont les parties les plus récentes. Édifiées vers 1570 / 1590, ils portent les marques du style de la Renaissance, et reprennent des caractéristiques de certaines œuvres de l'architecte Nicolas Le Mercier, de Pontoise. Dès 1640, la façade occidentale est rendue caduque par son enfermement dans le parc du château. En 1714, l'ajout d'un porche devant le portail du sud endommage la frise des Apôtres, l'un des joyaux de l'église. Elle fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis le 8 avril 1941, et est aujourd'hui affiliée à la paroisse Avernes et Marines. Les messes dominicales n'y sont plus célébrées que quatre fois par an.

Église Saint-Martin d'Ableiges
Église Saint-Martin d'Ableiges

L’église Saint-Martin est une église catholique paroissiale située à Ableiges, dans le Val-d'Oise, en France. Elle remplace probablement un premier édifice attesté en 1071. L'église actuelle se caractérise par un chœur-halle rectangulaire de six travées, réparties sur trois vaisseaux, et se terminant par un chevet plat. Cet ensemble paraît assez homogène à la première vue, mais l'on peut distinguer trois campagnes de construction distinctes en regardant de près la sculpture des chapiteaux, qui est d'un bon niveau, et les voûtes. Le vaisseau central avec le clocher encore d'allure romane et les arcs-doubleaux vers les croisillons constitue la partie la plus ancienne, et semble dater des années 1160 / 1170. À l'intérieur, l'architecture évoque la première période gothique. Le collatéral sud est un peu plus récent, et le collatéral nord remonte seulement aux années 1220, comme l'indiquent notamment une clé de voûte, l'arc formeret au nord de la chapelle de la Vierge, et certains chapiteaux. Il y a des indices qu'une nef au moins partiellement voûtée d'ogives et flanquée d'un bas-côté au nord a existé avant la construction de la nef actuelle, dont notamment des colonnettes sans fonction de part et d'autre de l'arc triomphal, dont les chapiteaux ont été en partie refaits, et une arcade à l'ouest du croisillon nord, qui a été refaite avant d'être bouchée. La nef actuelle et le porche datent probablement du XVIIIe siècle, et sont dénués de caractère ; ils sont exclus du classement aux monuments historiques par arrêté du 23 décembre 1931. L'église Saint-Martin est à présent affiliée à la paroisse Avernes et Marines, et les messes dominicales y sont célébrées environ quatre fois par an, à 9 h 30.

Mirapolis
Mirapolis

Mirapolis est un ancien parc à thèmes français situé à Courdimanche, dans la ville nouvelle de Cergy-Pontoise (Val-d'Oise). Inauguré le 20 mai 1987, il ferme définitivement ses portes le 20 octobre 1991 après cinq saisons d'exploitation. Le développement de Mirapolis est lancé à l'aube de l'arrivée de The Walt Disney Company en Europe avec Euro Disney Resort. Il est promu par ses concepteurs comme le « premier grand parc d'attractions français ». Entrepris grâce au soutien de l'homme d'affaires Ghaith Pharaon et imaginé par l'architecte Anne Fourcade, le projet est majoritairement financé par des emprunts bancaires, notamment auprès du Crédit national. Ce dernier est le principal actionnaire de la société Cergy-Parc, deuxième propriétaire du parc après le dépôt de bilan de Paris-Parc. Le Club Med remplace l'équipe de gestion de la première saison avant d'être lui-même remplacé par un groupement de forains, initialement opposés au parc et qui le gèrent jusqu'au dépôt de bilan. Voulu précurseur d'un nouveau produit sur le marché des parcs d'attractions, Mirapolis se caractérise par une certaine démesure, tant dans les moyens et les budgets alloués que par son étendue (55 hectares). Le parc est confronté à plusieurs problèmes judiciaires et administratifs qui le font passer de main en main de différents propriétaires. Avec plus de 700 millions de francs investis, Mirapolis affiche néanmoins 85 millions de francs de pertes cumulées dès 1988, année du deuxième exercice, le premier complet, puis 140 millions de pertes l'année suivante, donnant un cumul de pertes de l'ordre de 300 millions, représentant plus de la moitié des 500 millions de francs de la mise de fonds initiale. Imaginé sur le thème des contes et légendes français, Mirapolis devient pour partie une fête foraine. Les différents revers dans la gestion du parc témoignent d'une mauvaise appréhension du nouveau secteur des parcs d'attractions de grande envergure et de références peu connues du grand public. Véritable gouffre financier, Mirapolis laisse sa marque sur cette période d'engouement autour des parcs de loisirs français. Après sa fermeture définitive à la fin de l'année 1991, les installations sont démolies et plusieurs attractions sont démontées pour être réutilisées dans d'autres parcs européens.