place

Gare de Chars

Article avec une section vide ou incomplèteArticle géolocalisé en FranceArticle géolocalisé sur TerreArticle utilisant une InfoboxGare dans le Val-d'Oise
Ligne de Saint-Denis à DieppePage avec des cartesTransilien JZone 5 des transports en commun d'Île-de-France
Gare de Chars 03
Gare de Chars 03

La gare de Chars est une gare ferroviaire française de la ligne de Saint-Denis à Dieppe et de l'ancienne ligne de Chars à Magny-en-Vexin, située sur le territoire de la commune de Chars, dans le département du Val-d'Oise en région Île-de-France. C'est une gare SNCF desservie par les trains du réseau Transilien Paris Saint-Lazare (ligne J).

Extrait de l'article de Wikipedia Gare de Chars (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Gare de Chars
Place de Verdun, Pontoise

Coordonnées géographiques (GPS) Adresse Lieux à proximité
placeAfficher sur la carte

Wikipedia: Gare de CharsContinuer à lire sur Wikipedia

Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 49.16266 ° E 1.936865 °
placeAfficher sur la carte

Adresse

Place de Verdun
95750 Pontoise
France
mapOuvrir sur Google Maps

Gare de Chars 03
Gare de Chars 03
Partager l'expérience

Lieux à proximité

Église Saint-Sulpice de Chars
Église Saint-Sulpice de Chars

L'église Saint-Sulpice est une église catholique paroissiale située rue de l'Église à Chars, commune du Val-d'Oise. Elle a été édifiée dans une unique et longue campagne de travaux et achevée entre 1145 pour la nef et les bas-côtés, et 1210 pour la partie haute du chœur. Le plan est celui des plus grandes églises à l'apogée de l'architecture romane, et l'élévation suit dans ses grandes lignes la conception d'origine. Le chœur témoigne en même temps de la transition vers l'architecture gothique qui se manifeste sur ses niveaux supérieurs, et préfigure les cathédrales gothiques de Picardie. L'élévation ambitieuse sur quatre étages est particulièrement remarquable et absolument rare, car n'existant que dans cinq autres églises françaises. Tout l'intérieur de l'église est d'une grande élégance, même si certains remaniements du XVIe siècle détonnent, dont notamment trois piles nues de la croisée du transept. Ces remaniements affichent surtout le style gothique flamboyant, alors que le nouveau clocher du troisième quart du XVIe siècle est entièrement de style Renaissance. Rapidement reconnue comme l'un des principaux monuments religieux d'Île-de-France, l'église de Chars a fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques par la liste de 1840, annulé cependant cinq ans plus tard en raison d'un début de restauration maladroit. Entre 1868 et 1870, ce sont les habitants de Chars par leurs dons et trois curés successifs par leur engagement qui permettent la restauration de l'édifice. L'État se désengage jusqu'au second classement intervenant par arrêté du 12 mars 1912.

Église Saint-Pierre-aux-Liens-et-Saint-Étienne de Brignancourt
Église Saint-Pierre-aux-Liens-et-Saint-Étienne de Brignancourt

L'église Saint-Pierre-aux-Liens-et-Saint-Étienne, ou Saint-Pierre-ès-Liens, est une église catholique paroissiale située à Brignancourt, dans le département français du Val-d'Oise. C'est un édifice modeste de style majoritairement roman et gothique primitif, qui réunit une nef non voûtée de la fin du XIe siècle à un chœur de deux travées terminé par un chevet plat, et fut complétée ultérieurement, à la fin du XIIIe ou au début du XIVe siècle, par un croisillon au sud de la première travée du chœur. Celui-ci sert de base au clocher resté inachevé en raison de son contrebutement insuffisant. Les éléments les plus remarquables à l'extérieur sont le portail de style roman tardif, qui est entouré d'un rang de bâtons brisés se continuant sur les piédroits, et surmonté d'un tympan quadrillé, ainsi que la corniche beauvaisine du clocher et du chœur. Le croisillon est éclairé par une grande baie munie d'un remplage de style rayonnant tardif, qui annonce la transition vers le style flamboyant. Plus discrets se font les linteaux monolithiques à claveaux simulés des petites baies romanes à simple ébrasement, dont quatre exemplaires subsistent au sud de la nef, et deux sur le versant nord. À l'intérieur, le chœur offre des voûtes d'ogives soigneusement construites. Si les chapiteaux de la première travée paraissent inaboutis, ceux dans les angles du chevet sont tout au contraire de bon niveau et d'une facture originale. Au sud, se trouve une rare piscine liturgique à double vasque, qui ne devrait pas être antérieure aux années 1220. En reconnaissance de son ancienneté et de ses nombreux détails intéressants, l'église Saint-Pierre-ès-Liens a été classée aux monuments historiques par arrêté du 19 novembre 1910, et restaurée sous plusieurs campagnes. Elle est aujourd'hui affiliée à la paroisse Avernes et Marines, et accueille des messes dominicales trois fois par an.

Église Notre-Dame-de-la-Nativité de Lavilletertre
Église Notre-Dame-de-la-Nativité de Lavilletertre

L'église Notre-Dame-de-la-Nativité est une église catholique paroissiale située à Lavilletertre, dans l'Oise, en France. Elle a été édifiée sous plusieurs campagnes rapprochées entre 1135 / 1140 et 1170 environ, et n'a jamais subi de remaniements modifiant son apparence ou sa structure depuis son achèvement. Elle peut donc s'enorgueillir d'une rare unité stylistique, et ses dimensions sont considérables par rapport à la modestie du village. C'est un édifice de plan basilical avec une nef de cinq travées flanquée de bas-côtés, un transept largement débordant et un chœur rectangulaire à chevet plat. La nef et les bas-côtés ont été bâtis en premier lieu, et reflètent le style roman à son apogée. Leur façade occidentale comporte le plus grand portail roman du Vexin français. Même sur les élévations latérales, la décoration est particulièrement aboutie, et prévoit, pour chaque fenêtre, une archivolte moulurée accompagnée d'une frise retombant sur des colonnettes à chapiteaux. À l'intérieur, l'architecture gothique s'annonce déjà par l'application systématique de l'arc brisé sur les grandes arcades et les voûtes, ainsi qu'à travers la composition rigoureuse des piliers fasciculés. La sculpture des chapiteaux, d'une qualité remarquable, reste en revanche résolument romane. Assez exceptionnelle est la subdivision de la première travée en deux niveaux, avec un narthex en bas et une tribune en haut. Cette disposition date d'origine. La nef basilicale de Lavilletertre est surtout l'une des rares nefs dans le nord de l'Île-de-France et le Beauvaisis qui a d'emblée été conçue pour être voûtées d'ogives, avant même le début du XIIe siècle, et possède le plus important ensemble de voûtes romanes dans le département après l'église Saint-Étienne de Beauvais. Le transept et le chœur, un peu plus tardifs, sont plus austères, et déjà nettement gothiques, bien que les fenêtres restent en plein cintre. Moins remarquables à l'intérieur que la nef et les bas-côtés, ils sont néanmoins d'un caractère élancé, et s'inscrivent parfaitement dans le projet de départ. Le clocher en bâtière central de 31 m de hauteur se rattache à la même campagne, et est d'une facture élégante. Pour tous ces caractéristiques qui lui confèrent une place particulière dans l'histoire de l'architecture, l'églises Notre-Dame est classé monument historique assez tôt par la liste de 1862. Elle est aujourd'hui affiliée à la paroisse Saint-François-d'Assise du Vexin avec siège à Chaumont-en-Vexin, qui a suspendu la célébration des messes dominicales en 2018.

Église Saint-André de Moussy
Église Saint-André de Moussy

L'église Saint-André est une église catholique paroissiale située à Moussy, en France. C'est l'une des églises romanes les plus archaïques du Vexin français, et l'une des rares qui ne furent pas construites à vaisseau unique, et dont le transept d'origine s'est conservé. Ses deux croisillons sont munis de petites absidioles. Le voûtement fait appel aux trois principales techniques qui ont cours à l'époque romane : la voûte d'arêtes pour la croisée du transept ; la voûte en berceau pour les croisillons et les absidioles ; et la voûte en cul-de-four pour l'abside. L'église est inscrite aux monuments historiques par arrêté du 16 juin 1926. La nef unique, simplement plafonnée, et le clocher-porche de la Renaissance du troisième quart du XVIe siècle sont détruits par les bombardements alliés en 1944, qui visent les V1 allemands dissimulés dans les carrières souterraines de Nucourt. Ne restent que le portail Renaissance et le mur méridional de la base du clocher. L'église reste ensuite à l'abandon pendant une quinzaine d'années. La restauration des parties orientales, restées debout, et la construction d'une nouvelle nef commencent vers la fin des années 1950, et l'église est consacrée pour une nouvelle fois le 7 mai 1964 par Mgr Alexandre Renard, évêque de Versailles. Les vestiges de la tour Renaissance ont été laissés en l'état en tant que témoins du passé. Moussy est aujourd'hui affiliée à la paroisse Avernes et Marines, et l'église Saint-André accueille des messes dominicales anticipées irrégulièrement, environ trois fois par an.