place

Église Saint-Michel de Goussainville

Article géolocalisé en FranceArticle géolocalisé sur TerreArticle utilisant une InfoboxGoussainville (Val-d'Oise)Page avec des cartes
Goussainville (95), église Saint Michel, rue Simon BolivaR
Goussainville (95), église Saint Michel, rue Simon BolivaR

L'église Saint-Michel est située à Goussainville, dans le Val-d'Oise.

Extrait de l'article de Wikipedia Église Saint-Michel de Goussainville (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Église Saint-Michel de Goussainville
Rue Simon Bolivar, Sarcelles

Coordonnées géographiques (GPS) Adresse Lieux à proximité
placeAfficher sur la carte

Wikipedia: Église Saint-Michel de GoussainvilleContinuer à lire sur Wikipedia

Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 49.033789 ° E 2.474753 °
placeAfficher sur la carte

Adresse

Rue Simon Bolivar

Rue Simon Bolivar
95190 Sarcelles
Île-de-France, France
mapOuvrir sur Google Maps

Goussainville (95), église Saint Michel, rue Simon BolivaR
Goussainville (95), église Saint Michel, rue Simon BolivaR
Partager l'expérience

Lieux à proximité

Église Saint-Pierre-Saint-Paul de Goussainville
Église Saint-Pierre-Saint-Paul de Goussainville

L'église Saint-Pierre-Saint-Paul est une église catholique située à Goussainville, en France. C'est au moins la troisième église sur le même emplacement, édifiée pour l'essentiel entre 1550 et 1564 dans le style de la Renaissance, avec une ornementation particulièrement riche et élaborée pour un petit village rural. Les arcs brisés et les voûtes d'ogives rappellent encore l'architecture gothique, tandis que les chapiteaux, entablements et pilastres sont d'inspiration antique. Le plan est très simple, et ne prévoit qu'un vaisseau central aveugle accompagné de deux bas-côtés, ainsi qu'une petite chapelle, l'ensemble se terminant par un chevet plat. Les travaux sont financés par le seigneur Antoine de Nicolaï, premier président de la Cour des comptes, et sont peut-être dirigés par le maître-maçon Nicolas de Saint-Michel. Il faut encore une dernière campagne de travaux au début du XVIIe siècle pour terminer la reconstruction des murs extérieurs. L'église actuelle conserve encore des éléments de l'église romane tardive et gothique primitive du XIIe siècle, en l'occurrence deux travées du bas-côté sud avec un ancien portail et le premier étage du clocher, profondément remanié. Seulement les bases des piliers de la nef et les parties basses des murs extérieurs des premières travées subsistent de la reconstruction gothique du XIIIe siècle. De la fin du XVe siècle, reste l'étage de beffroi du clocher avec une remarquable décoration flamboyante. L'église est classée monument historique en 1914 et sa crypte en 1940. Elle a été désaffectée au culte à la fin du XXe siècle en raison de son mauvais état, puis en grande partie restaurée entre 2010 et 2013. L'utilisation occasionnelle pour le culte reprend à la fin de l'année 2017.

Église Saint-Leu-Saint-Gilles de Chennevières-lès-Louvres
Église Saint-Leu-Saint-Gilles de Chennevières-lès-Louvres

L'église Saint-Leu-Saint-Gilles est une église catholique située à Chennevières-lès-Louvres, dans le Val-d'Oise, en France. Elle remplace une ancienne église dédiée à saint Médard, qui se trouvait au sud du village et a été rasée au début du XVIIIe siècle au plus tard. L'église actuelle a été fondée au XIVe siècle par le seigneur de Chennevières, Gilles Choisel, d'où elle tient son saint patron, Gilles l'Ermite. Le second patron, saint Loup, n'est attesté qu'au milieu du XVIe siècle. C'est à cette époque qu'un spacieux chœur Renaissance est édifié à l'est de la petite nef gothique. Il est flanquée de deux chapelles, dont celle du nord est dédiée à la Vierge Marie et accueille une statue de la Vierge à l'Enfant du début du XIVe siècle. Le décor de l'abside est particulièrement soigné, et des niches à statues, dont deux avec des dais richement ouvragés, y agrémentent les piliers. Selon une inscription, l'achèvement du chœur actuel peut être situé en 1577. À cette époque, c'est encore une tour associée au château tout proche qui fait office de clocher. Il s'écroule en 1718, et le seigneur M. Nouveau offre ainsi un nouveau clocher à la paroisse, qui est peu élevé mais coiffé d'une flèche élancée. Il sert en même temps de porche et précède la nef. Les bas-côtés de la nef ont été bâtis en même temps que le clocher, en 1719. Des restaurations ont lieu au XIXe siècle ; il est possible que la nef ait été revoûtée à cette époque. L'église Saint-Leu-Saint-Gilles est donc un édifice composite, où la différence de hauteur entre la nef (7,10 m) et le chœur (11,75 m) est frappante, ainsi que la différence de la qualité de l'architecture. Le chœur seul présente un réel intérêt artistique ; il est d'une élégance sobre et possède, avec son abside entourée de niches à statues, l'un des plus beaux espaces liturgiques du XVIe siècle en pays de France. L'église est toutefois classée monument historique en totalité depuis 1980.

Église Saint-Aquilin de Fontenay-en-Parisis
Église Saint-Aquilin de Fontenay-en-Parisis

L'église Saint-Aquilin est une église catholique paroissiale située à Fontenay-en-Parisis, en France. C'est l'une des églises les plus imposantes de tout le pays de France, mesurant 42 m de long dans son axe, et atteignant 44 m au sommet de sa flèche. Le mur méridional du bas-côté sud provient encore d'un édifice précédent de la fin du XIe siècle, et la base et le premier étage du clocher du second quart du XIIe siècle sont également romans. La nef a été reconstruite peu de temps après au troisième quart du XIIe siècle. Ses grandes arcades non moulurées, mais néanmoins en tiers-point, paraissent encore assez archaïques, alors que la sculpture des chapiteaux appartient déjà au style gothique primitif. La charpente unique de la seconde moitié du XVIe siècle obstrue malheureusement toutes les fenêtres hautes sauf une. Le chœur à déambulatoire a été bâti par étapes successives entre 1200 et 1260 environ. Ses travées droites présentent des voûtes d'ogives sexpartites et une élévation sur trois niveaux, mais de simples baies remplacent le triforium. Curieusement, les grandes arcades sont différentes au nord et au sud. L'abside à pans coupés ne comporte pas de parties droites, et est entourée d'un déambulatoire de seulement trois travées, sans chapelles rayonnantes : c'est dans son ensemble une disposition sans équivalent dans sa région. La Renaissance a seulement apporté un édicule au nord-ouest de l'église, prévu comme chapelle baptismale, et la reconstruction extérieure du déambulatoire et des fenêtres hautes de l'abside. L'édifice est classé monument historique depuis 1886. Il n'a été restauré qu'extérieurement.