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Castellum de Larçay

Architecture militaire romaine en FranceArticle contenant un appel à traduction en allemandArticle géolocalisé en FranceArticle utilisant l'infobox MonumentArticle utilisant le modèle Dictionnaires inactif
Article utilisant une InfoboxMonument en Indre-et-LoireMonument historique en Indre-et-LoireMonument historique inscrit en 1926Page avec des cartesPage pointant vers des bases externesPage pointant vers des bases relatives à l'architecturePatrimoine du IIIe siècle
Castellum Larçay 1
Castellum Larçay 1

Le castellum de Larçay est une fortification militaire du Bas-Empire romain située sur la commune de Larçay, sur le rebord d’un coteau qui domine le Cher, dans le département d'Indre-et-Loire. Probablement construit vers la fin du IIIe siècle comme d'autres édifices similaires en Gaule, il a semble-t-il succédé, au même emplacement, à un monument commémoratif de type mausolée. Plusieurs questions restent en suspens à son sujet : il n'a jamais été terminé, son mode d'occupation reste inconnu et son existence elle-même peut paraître surprenante à proximité de Tours, puissamment fortifiée au Bas-Empire. Il en subsiste une partie du mur d'enceinte ainsi que certaines tours. Ces vestiges ont été inscrits au titre des monuments historiques par arrêté du 12 juin 1926.

Extrait de l'article de Wikipedia Castellum de Larçay (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Castellum de Larçay
Rue de la Tour, Tours

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Coordonnées géographiques (GPS)

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N 47.3674 ° E 0.7765 °
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Adresse

Castellum de Larcay

Rue de la Tour
37270 Tours
Centre-Val de Loire, France
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Castellum Larçay 1
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La Ville-aux-Dames
La Ville-aux-Dames

La Ville-aux-Dames (prononcé /la vilo dam/) est une commune française du département d'Indre-et-Loire en région Centre-Val de Loire. Peuplée par 5 175 habitants en 2021 et située entre la Loire et le Cher, La Ville-aux-Dames appartient aujourd'hui à l'agglomération tourangelle. Probablement occupée depuis le Bronze final, La Ville-aux-Dames apparaît pour la première fois dans les sources au Xe siècle, sous le nom de Villa Dominarum. À cette époque, elle forme un fief dépendant d'Hildegarde, supérieure de l'abbaye de Saint-Loup, située sur le territoire de l'actuelle Saint-Pierre-des-Corps. Au XIe siècle, les habitants de la commune se dotent d'une chapelle de style roman, transformée au XVe siècle en église paroissiale. À la Renaissance, La Ville-aux-Dames est le théâtre de combats qui opposent catholiques et huguenots, avant d'accueillir, entre 1631 et 1684, un temple protestant, finalement détruit sur l'intervention du chanoine tourangeau Joseph Sain. À la Révolution, le curé de la commune, Jean Cartier, est élu député du clergé aux États généraux. Peu de temps après, La Ville-aux-Dames est rebaptisée temporairement Les Sables par les autorités révolutionnaires. Au XIXe siècle, la commune est transformée en profondeur par l'arrivée du chemin de fer (1845) et par une série de crues (1846, 1856 et 1866), qui inondent son territoire et y déposent de grandes quantités d'alluvions. L'agriculture est alors profondément bouleversée et doit se réorienter. L'élevage bovin se développe et les habitants de la commune reçoivent le sobriquet de « Caillons », du nom du fromage qu'ils fabriquent et vendent à Tours. Le début du XXe siècle voit La Ville-aux-Dames se développer : en 1906, elle se dote du téléphone et, en 1924 de l'électricité. Pendant la Seconde Guerre mondiale, la commune se situe en zone occupée et, à partir de 1943, l'abbé Jérôme Besnard y organise un réseau de résistance. Après-guerre, La Ville-aux-Dames connaît une forte croissance démographique et perd peu à peu son caractère rural. À partir de 1947, plusieurs clubs de sport voient le jour dans la commune. Surtout, dans les années 1970 et 1980, de grandes infrastructures s'y développent : centre commercial (1973), piscine municipale (1974), école maternelle (1975), bibliothèque municipale (1986) puis centre socio-culturel (1989). Au fil des années, l'agriculture décline et l'élevage disparaît tandis que l'emploi se diversifie avec l'arrivée d'usines (Faiveley Transport) et d'enseignes de la grande distribution (E.Leclerc, Bricomarché, etc.). Parallèlement, le tourisme se développe grâce à l'aménagement de l'île de la Métairie, de la mise en place de La Loire à vélo et de l'inscription du Val de Loire au patrimoine mondial de l'UNESCO en 2000. Pourtant, La Ville-aux-Dames est aussi soumise à de nombreux risques naturels (inondations, etc.) et technologiques (sites Seveso, transport de matières dangereuses, etc.) qui compliquent sa croissance.