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St Luke's Hospital for Lunatics

Ancien hôpital à LondresArticle géolocalisé au Royaume-UniArticle utilisant une InfoboxHôpital psychiatrique au Royaume-UniPage avec des cartes
St Lukes Hospital for Lunatics, London
St Lukes Hospital for Lunatics, London

Le St Luke's Hospital for Lunatics est un ancien hôpital psychiatrique situé à Londres. Fondé en 1751, après le Bethlem Royal Hospital, il était historiquement la seconde institution de soins psychiatriques de la ville. Portail de Londres Portail de la folie Portail de la psychologie Portail de la médecine Portail des soins infirmiers

Extrait de l'article de Wikipedia St Luke's Hospital for Lunatics (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

St Luke's Hospital for Lunatics
Granary Road, Londres Whitechapel

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N 51.5225 ° E -0.0623 °
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Granary Road

Granary Road
E1 5DF Londres, Whitechapel
Angleterre, Royaume-Uni
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St Lukes Hospital for Lunatics, London
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Royal London Hospital
Royal London Hospital

Le Royal London Hospital est un centre hospitalier britannique situé au centre de Londres dont l'origine remonte aux années 1740. Il a été fondé en septembre 1740 et s'appelle alors London Infirmary. Son nom change pour London Hospital en 1748. Il prend le nom de « Royal London Hospital » en 1990, lorsque la reine Élisabeth II le visite en l'honneur du 250e anniversaire de sa fondation. Originellement, les premiers patients sont traités à partir de novembre 1740 dans une maison de soins située sur Featherstone Street dans le quartier Moorfields. En mai 1741, l'hôpital déménage sur Prescot Street et y reste jusqu'en 1757, pour s'établir à son endroit actuel situé sur Whitechapel Road dans le district de Whitechapel du borough londonien de Tower Hamlets. Le corps de ce nouveau bâtiment principal est l'œuvre de l'architecte Boulton Mainwaring dont les plans remontent à 1751. La capacité d'alors est de 300 lits. L'un des patients a été Joseph Merrick, en 1886, dont le squelette est conservé dans les archives de l'hôpital mais non exposé ; on y trouve également le dossier des autopsies liées aux crimes de Jack l'Éventreur, ainsi que celui d'Edith Cavell, qui y travailla. De nombreuses extensions sont progressivement ajoutées au fil des décennies suivantes. Un bâtiment, construit au coût de 1 milliard de livres, ouvre ses portes en février 2012. Le Royal London Hospital offre des soins de santé généraux aux résidents de la Cité de Londres et du borough londonien de Tower Hamlets. Il offre également des traitements spécialisés aux patients ayant besoin de soins dits tertiaires. En 2014, l'hôpital abrite 675 lits, 110 pavillons et 26 salles d'opération, ainsi qu'une unité d'enseignement. Depuis 2014, l'hôpital est géré par le Barts Health NHS Trust (en) et le coût de fonctionnement mensuel moyen est de 6,5 millions de £.

Siège de Sidney Street
Siège de Sidney Street

Le siège de Sidney Street, connu du grand public sous le nom de bataille de Stepney, est une fusillade qui s'est déroulée dans le quartier dde l'East End, à l'est de Londres le 3 janvier 1911 entre une force combinée de la police et de l'armée et deux révolutionnaires lettons. Le siège est le point culminant d'une série d'événements qui ont commencé en décembre 1910 par une tentative de vol de bijoux à Houndsditch dans la City de Londres par une bande d'immigrés lettons qui s'est soldée par la mort de trois policiers, deux autres ont été blessés, et le décès de George Gardstein, le chef de la bande lettone. Une enquête menée par les forces des polices métropolitaine et de la Cité de Londres a identifié les complices de Gardstein, dont la plupart ont été arrêtés dans les deux semaines. La police a été informée que les deux derniers membres de la bande se cachaient au 100 Sidney Street à Stepney. La police a évacué les habitants proches et le matin du 3 janvier une fusillade a éclaté. Moins bien armée, la police a demandé l'aide de l'armée et quelques soldats des Scots Guards se sont portés volontaires. Le siège a duré environ six heures. Vers la fin de la confrontation, le bâtiment a pris feu. La cause de l'incendie n'a pas été identifiée. Un des bandits fut abattu avant que le feu ne s'étende. Pendant que les pompiers de Londres éteignaient le feu - à la suite duquel ils ont trouvé les deux corps - le bâtiment s'est effondré, tuant un pompier, le District Officer Charles Pearson. Ce siège est la première occasion pour la police de Londres de demander l'aide des militaires pour traiter une fusillade. C'est également le premier siège policier en Grande-Bretagne dont des images nous sont parvenues, car les événements ont été filmés par Pathé Nouvelles. Sur quelques-unes des images apparaît le ministre de l'Intérieur de l'époque, Winston Churchill. Sa présence fut la cause d'un conflit politique sur le niveau de son implication dans l'opération. Lors du procès ultérieur, en mai 1911, des personnes arrêtées pour le vol de bijoux de Houndsditch, tous les accusés, sauf un, ont été acquittés. La seule condamnation a ensuite été infirmée en appel. Les événements ont inspiré le film l'homme qui en savait trop (1934) d'Alfred Hitchcock ainsi que des romans.