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Palais de Psychikó

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Le palais de Psychikó (en grec moderne : Ανάκτορα Ψυχικού), également appelé palais de Paul et Frederika (Ανάκτορο Παύλου & Φρειδερίκης) ou palais de Frederika (Ανάκτορο της Φρειδερίκης), est une résidence royale grecque située au n° 14 de la rue Diamantídou, dans le quartier de Psychikó, à Athènes.

Extrait de l'article de Wikipedia Palais de Psychikó (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs).

Palais de Psychikó
Διαμαντίδη Δημητρίου, Δημοτική Ενότητα Ψυχικού Psychikó (Κοινότητα Ψυχικού)

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Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 38.009783 ° E 23.773791 °
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Adresse

πρεσβεία του Βιετνάμ

Διαμαντίδη Δημητρίου 20
154 52 Δημοτική Ενότητα Ψυχικού, Psychikó (Κοινότητα Ψυχικού)
Attique, Grèce
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Numéro de téléphone

call+30210.612.87.33

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Coup de Goudi
Coup de Goudi

Le coup de Goudi (en grec : κίνημα στο Γουδί / kínima sto Goudí) fut un coup d'État militaire en Grèce dans la nuit du 15 août 1909 (28 août dans le calendrier grégorien) à partir des casernes de Goudí, dans la banlieue est d'Athènes. À la suite de l'échec de l'énosis de la Crète et à cause du discrédit du gouvernement depuis la défaite humiliante dans la guerre contre la Turquie en 1897, une société secrète avait été organisée dans l'armée grecque : la « Ligue militaire ». Elle recrutait dans les rangs subalternes, se méfiant des officiers supérieurs potentiellement fidèles au pouvoir. Un de ses chefs était le colonel Nikólaos Zorbás. Dans la nuit du 15 août (date symbolique), la Ligue militaire, après avoir réuni ses troupes dans les casernes de Goudí, proclama l'insurrection et envoya un mémorandum au gouvernement demandant le redressement immédiat du pays et de ses forces armées. Le roi Georges Ier céda et remplaça le Premier ministre Dimítrios Rállis par Kyriakoúlis Mavromichális sans satisfaire les insurgés. Ils s'appuyèrent alors sur une grande manifestation populaire au mois de septembre 1909. Devant l'enlisement du conflit, les insurgés firent appel à un homme neuf et providentiel, Elefthérios Venizélos. Ce dernier respecta les règles démocratiques en demandant de nouvelles élections. Après la double victoire de ses partisans au parlement grec en août et en décembre 1910, Elefthérios Venizélos, devenu Premier ministre, entama la politique de réformes réclamée par les instigateurs du coup d'État.