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Girokomío (Athènes)

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Giorokomio
Giorokomio

Girokomío, en grec moderne : Γηροκομείο, littéralement en français : maison de retraite, est un quartier d'Athènes en Grèce. Il est situé le long de l'avenue Kifissías, à côté de la maison de retraite d'Athènes. Elle est limitrophe des quartiers de Néa Filothéi, d'Ambelókipi, d'Ellinoróson et la localité de Paleó Psychikó. Le quartier est nommé ainsi en raison de l'existence (depuis le début des années 1930) de la fondation de la maison de retraite, offerte par Eftásios Lámpsas (el) et Palmýra Lámpsa.

Extrait de l'article de Wikipedia Girokomío (Athènes) (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Girokomío (Athènes)
Χατζηκωνσταντή Μ., Athènes Αμπελόκηποι (7η Κοινότητα Αθηνών)

Coordonnées géographiques (GPS) Adresse Lieux à proximité
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Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 37.99777778 ° E 23.76583333 °
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Adresse

Γηροκομείο Ελεήμονος Εταιρείας Αθηνών

Χατζηκωνσταντή Μ.
115 24 Athènes, Αμπελόκηποι (7η Κοινότητα Αθηνών)
Attique, Grèce
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Giorokomio
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Lieux à proximité

Coup de Goudi
Coup de Goudi

Le coup de Goudi (en grec : κίνημα στο Γουδί / kínima sto Goudí) fut un coup d'État militaire en Grèce dans la nuit du 15 août 1909 (28 août dans le calendrier grégorien) à partir des casernes de Goudí, dans la banlieue est d'Athènes. À la suite de l'échec de l'énosis de la Crète et à cause du discrédit du gouvernement depuis la défaite humiliante dans la guerre contre la Turquie en 1897, une société secrète avait été organisée dans l'armée grecque : la « Ligue militaire ». Elle recrutait dans les rangs subalternes, se méfiant des officiers supérieurs potentiellement fidèles au pouvoir. Un de ses chefs était le colonel Nikólaos Zorbás. Dans la nuit du 15 août (date symbolique), la Ligue militaire, après avoir réuni ses troupes dans les casernes de Goudí, proclama l'insurrection et envoya un mémorandum au gouvernement demandant le redressement immédiat du pays et de ses forces armées. Le roi Georges Ier céda et remplaça le Premier ministre Dimítrios Rállis par Kyriakoúlis Mavromichális sans satisfaire les insurgés. Ils s'appuyèrent alors sur une grande manifestation populaire au mois de septembre 1909. Devant l'enlisement du conflit, les insurgés firent appel à un homme neuf et providentiel, Elefthérios Venizélos. Ce dernier respecta les règles démocratiques en demandant de nouvelles élections. Après la double victoire de ses partisans au parlement grec en août et en décembre 1910, Elefthérios Venizélos, devenu Premier ministre, entama la politique de réformes réclamée par les instigateurs du coup d'État.