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Aérodrome d'Enghien Moisselles

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L’aérodrome d'Enghien Moisselles (code OACI : LFFE) est un aérodrome à usage restreint, situé sur les communes de Moisselles, Attainville et Ezanville, dans le Val-d'Oise en région Île-de-France. Non contrôlé, il est utilisé pour la pratique de l'aviation légère, de l'ULM et de l'aéromodélisme.

Extrait de l'article de Wikipedia Aérodrome d'Enghien Moisselles (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs).

Aérodrome d'Enghien Moisselles
Chemin des Fonds, Sarcelles

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N 49.0455556 ° E 2.3519444444444 °
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Aérodrome d'Enghien Moisselles

Chemin des Fonds
95570 Sarcelles
Île-de-France, France
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Lieux à proximité

Église Saint-Martin d'Attainville
Église Saint-Martin d'Attainville

L'église Saint-Martin est une église catholique paroissiale située à Attainville, en France. Elle succède à une église précédente dont la dédicace n'a été célébrée qu'en 1529. Mais cette église menace ruine en 1570, et doit être remplacée d'urgence. Bien que la paroisse ne dispose pas d'économies, un emprunt permet de lancer les travaux en 1572. La direction du chantier est confiée au maître-maçon Nicolas de Saint-Michel de Luzarches, qui adopte un plan simple sans transept et une élévation dans la tradition des églises gothiques flamboyantes. Il conçoit un agréable décor dans le style Renaissance, dont il maîtrise parfaitement le vocabulaire ornemental. Les travaux progressent très rapidement. Quand les fonds viennent de manquer en 1575, l'édifice n'est pas entièrement achevé. La consécration est néanmoins célébrée en septembre 1576, et l'église est utilisée pour le culte à partir de cette date. Elle est sobre, élégante et lumineuse. Malgré la répétition des mêmes motifs sur tous les supports de la nef et des bas-côtés, la monotonie ne s'installe pas. La façade occidentale, l'étage de beffroi du clocher, la majeure partie du bas-côté nord et les voûtes ne sont bâtis qu'ultérieurement. Ainsi, l'achèvement définitif n'a lieu qu'en 1817. Pour tous les ajouts postérieurs à 1576, l'esprit de l'architecture d'origine est tout à fait respecté, et l'homogénéité de l'ensemble est étonnante. L'église est classée monument historique depuis 1912. Elle représente un exemple remarquable de l'architecture Renaissance en Pays de France, et tout en sachant qu'elle n'a pas été achevée lors de sa consécration, elle peut être considérée comme l'une des églises au délai de construction le plus bref.

Église Notre-Dame-de-l'Assomption d'Ézanville
Église Notre-Dame-de-l'Assomption d'Ézanville

L'église Notre-Dame-de-l'Assomption est une église catholique paroissiale située à Ézanville, en France. Son chœur gothique flamboyant des années 1540, terminé dans le goût de la Renaissance, constitue sa seule partie remarquable. Il se compose de trois travées droites et d'une abside à cinq pans, et est généreusement éclairé. Malgré ses petites dimensions, une largeur de 6 m, une hauteur de 9 m, et une longueur de 15,30 m dans l'œuvre, son architecture est d'un grand raffinement. Elle se caractérise notamment par des piliers ondulés engagés dans les murs, portant des frises sculptées de motifs végétaux en guise de chapiteaux, et par des voûtes aux clés pendantes. Les deux dernières voûtes sont agrémentées de liernes et tiercerons. Dans l'abside, les nervures décrivent un dessin original évoquant les pétales d'une fleur. Au nord, le chœur était primitivement à deux niveaux d'élévation ; ce n'est plus le cas que dans la première travée. Le vaisseau est flanqué d'un clocher sans caractère du XIVe siècle ; d'une sacristie issue de la transformation d'une chapelle latérale ; et d'une petite chapelle basse. La nef est moderne et a été inaugurée en 1967 seulement. L'ancienne nef avait été démolie en 1832, quand la commune ne pouvait faire face aux frais de restauration. Le chœur seul a été classé monument historique par arrêté du 2 avril 1915. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption fait aujourd'hui partie du groupement paroissial d'Écouen, Ezanville, Bouqueval, Le Plessis-Gassot. Des messes dominicales anticipées y sont célébrées chaque samedi à 18 h.

Statue de Notre-Dame de France (Baillet-en-France)
Statue de Notre-Dame de France (Baillet-en-France)

La statue de Notre-Dame de France est une œuvre monumentale, œuvre du sculpteur Roger de Villiers, et forgée par Raymond Subes pour décorer le pavillon pontifical lors de l'exposition universelle de 1937 à Paris. La statue en cuivre doré mesure 7,2 m et représente la Vierge Marie portant sur son épaule l'Enfant Jésus, les bras ouverts sur le monde. Conservée en place un an après l'exposition, Mgr Jean Verdier émet le souhait que la statue ne soit pas détruite, mais installée sur une colline proche de Paris. Il lance une levée de fonds en ce sens, mais la guerre et sa mort mettent fin au projet. En 1959, la statue est installée au sommet de l'église Saint-Honoré d'Amiens. Elle y reste jusqu'en 1982 où elle doit être démontée du fait de fissures dans sa structure. Entreposée plusieurs années, à l'abandon, elle est récupérée en 1984 par Edmond Fricoteaux, notaire à Saint-Denis, qui souhaite faire ériger une grande statue de la Vierge, en remerciement à la suite de sa conversion. La statue est installée à Baillet-en-France, à 18 km au nord de Paris, en octobre 1988, en pleins champs, au bord de la nationale 1, au sommet d'un piédestal de 25 m de haut. Au pied de la statue, un oratoire, puis une petite chapelle sont construits. L'évêque installe un prêtre comme chapelain de ce « sanctuaire » qui reçoit beaucoup de visites et rassemble régulièrement des communautés chrétiennes. En 1994 débute un nouveau projet de « Vierges pèlerines », copies de la statue Notre-Dame de France, mais aussi d'autres Vierges vénérées en France. Ce projet, lancé par les laïcs, obtient le soutien d'évêques et de religieux, et rassemble une centaine de statues de la Vierge. Après avoir parcouru la France durant plusieurs années, les statues partent parcourir le monde entier, et différents projets s'agrègent et se développent autour de ce mouvement initial de « Vierge pèlerine ».