place

La Bergeonnerie

Article géolocalisé en FranceArticle géolocalisé sur TerreArticle utilisant une InfoboxPage avec des cartesQuartier de Tours
Quartier de grand ensemble en France
Bergeonnerie Est Tours
Bergeonnerie Est Tours

La Bergeonnerie est un quartier français de la ville de Tours. Situé à l'extrémité sud de la commune, il compte seulement 1 994 habitants en 2013, ce qui en fait le second plus petit quartier de la ville. Il est surtout composé de grands ensembles et d'espaces verts, dont un vaste jardin central et des potagers associatifs. D'abord habité par des paysans, il a été urbanisé à partir de 1965 dans un contexte où la ville de Tours cherche des terrains pour construire davantage de logements, vu la très forte demande dans le contexte des Trente Glorieuses. Le quartier de La Bergeonnerie est limité par la rivière du Cher et le lac de la Bergeonnerie au nord, le quartier des Fontaines et le quartier Montjoyeux à l'est, la commune de Chambray-les-Tours au sud, et enfin la commune de Joué-lès-Tours et le nouveau quartier des Deux-Lions à l'ouest. La Bergeonnerie est un quartier populaire présentant des grands ensembles, dont un tiers de logements sociaux. Il est relativement enclavé et est classé comme un « quartier de veille active » en raison de ses difficultés sociales. Avec Montjoyeux, il est le premier grand quartier tourangeau aménagé au sud du Cher.

Extrait de l'article de Wikipedia La Bergeonnerie (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

La Bergeonnerie
Allée Jean de la Bruyère, Tours

Coordonnées géographiques (GPS) Adresse Lieux à proximité
placeAfficher sur la carte

Wikipedia: La BergeonnerieContinuer à lire sur Wikipedia

Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 47.361635 ° E 0.693723 °
placeAfficher sur la carte

Adresse

Allée Jean de la Bruyère
37170 Tours
Centre-Val de Loire, France
mapOuvrir sur Google Maps

Bergeonnerie Est Tours
Bergeonnerie Est Tours
Partager l'expérience

Lieux à proximité

Deux-Lions
Deux-Lions

Les Deux-Lions ou 2 Lions est un quartier situé dans le sud de la ville de Tours, en France. Son développement est initié au début des années 1990 sous le dernier mandat de Jean Royer et est toujours en cours à la fin des années 2010. Il accueille au début surtout des établissements d'enseignement supérieur, Polytech'Tours et l'UFR de droit de l'Université de Tours, puis des divertissements et un important centre commercial en 2009. Les logements se développent progressivement, puis des zones sont destinées à l'implantation d'entreprises. L'équipe du maire Jean Royer souhaitait initialement y aménager un technopole, c'est-à-dire un territoire qui regrouperait des activités liées aux hautes technologies. Depuis l'arrivée à la mairie de Jean Germain, une volonté de mixité fonctionnelle (habitat/commerces et services/entreprises) guide l'urbanisation de ce territoire. La mise en service du tramway en août 2013 marque, d'une certaine manière, un aboutissement pour cet immense chantier entrepris 20 ans plus tôt. La fin des travaux est prévue à l'horizon 2024 alors que l'occupation complète du terrain approche. Le développement du quartier fut cela-dit laborieux alors que la fin des travaux a été repoussée par le ralentissement économique. En 2014, le quartier accueillait environ 2 400 habitants, 3 800 employés et 6 000 étudiants. D'ici 2024, il est supposé accueillir 4 000 habitants répartis dans 2 000 logements, avec 4 000 employés.

Quartier des Fontaines de Tours
Quartier des Fontaines de Tours

Le quartier des Fontaines est un secteur urbain français du sud de Tours, situé sur la rive gauche du Cher. Il a été aménagé et construit, pour l'essentiel, entre 1967 et 1978, peu après les quartiers du Sanitas et des Rives-du-Cher. Il compte près de 7 000 habitants répartis sur une zone vaste de 65 hectares. Sa forme architecturale et urbaine correspond aux grands ensembles caractéristiques des Trente Glorieuses : associant logements sociaux et privés, les Fontaines est le deuxième plus important de la ville après le Sanitas. Son développement se déroule dans le contexte des grands travaux engagés par le maire Jean Royer, la ville de Tours faisant face dans les années d'après-guerre à une demande inédite de logements que l'effort de la reconstruction puis des premiers grands ensembles n'ont pas suffi à combler. À la recherche de terrains libres, la ville entreprend, grâce à la modification de ses limites territoriales et à la déviation du cours du Cher, de rendre constructible une vaste zone jusqu'alors régulièrement inondée. Les travaux, considérables, s'appuient sur la création en 1967 d'une ZUP, partagée entre les communes de Tours et de Saint-Pierre-des-Corps. Les premières constructions débutent en 1970 avec pour objectif la création d'un quartier où se mêleront habitations, commerces, établissements scolaires, entreprises et espaces verts. Remarquable par son ambition initiale, le projet visait à urbaniser par la suite une grande partie de la rive gauche du Cher, jusqu'aux abords de Ballan-Miré. Les chocs pétroliers des années 1970, la défiance croissante vis-à-vis de la forme architecturale et urbaine des grands ensembles, et le ralentissement démographique réduisent nettement l'ampleur du chantier.