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Pierrefitte (Étampes)

Alignement mégalithique monument historique en FranceArticle géolocalisé en FranceArticle utilisant le modèle Dictionnaires inactifArticle utilisant une InfoboxMenhir dans l'Essonne
Monument historique classé en 1964Monument historique dans l'EssonnePage avec des cartesPage pointant vers des bases externesPage pointant vers des bases relatives à l'architectureÉtampes
Étampes Menhir de Pierrefitte 2
Étampes Menhir de Pierrefitte 2

La Pierrefitte, du latin petra ficta, ou Pierre Fritte, est un menhir situé à Étampes dans le département français de l'Essonne.

Extrait de l'article de Wikipedia Pierrefitte (Étampes) (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Pierrefitte (Étampes)
Chemin Gâtinais Beauce, Étampes

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Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 48.42884 ° E 2.105814 °
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Adresse

Menhir de Pierrefitte

Chemin Gâtinais Beauce
91150 Étampes
Île-de-France, France
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Étampes Menhir de Pierrefitte 2
Étampes Menhir de Pierrefitte 2
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Lieux à proximité

Collégiale Saint-Martin d'Étampes
Collégiale Saint-Martin d'Étampes

La collégiale Saint-Martin d'Étampes est une ancienne collégiale de confession catholique, dédiée à saint Martin de Tours, située dans la commune française d'Étampes et le département de l'Essonne. Saint-Martin abrite l'un des trois autels paroissiaux primitifs de la ville. Ses origines se perdent dans le temps, et certains auteurs prétendent que son fondateur serait Clovis lui-même. La collégiale est d'une importance considérable au XIe siècle, quand son chapitre ne compte pas moins de douze chanoines, un doyen et un chantre. En 1106, le roi Philippe 1er la donne à l'abbaye de Morigny. Dès lors, plus aucun chanoine n'est nommé. Des différends entre l'abbaye et le chapitre conduisent à l'expulsion des derniers chanoines en 1142. L'abbaye établit dès lors un prieuré près de l'église, et entreprend son remplacement par un édifice plus vaste. Les parties basses de son chevet, avec déambulatoire et trois chapelles rayonnantes très profondes, surprennent par un plan évoquant le XIe siècle, et sont encore plus romanes que gothiques, mais le voûtement d'ogives est présent dès le départ. Grâce à des contacts avec l'abbaye de Saint-Denis, l'innovation des arcs-boutants trouve l'une de ses premières applications au chevet de la collégiale Saint-Martin. Le chantier progresse rapidement. Les élévations du vaisseau central s'organisent sur trois niveaux, et s'inspirent de la cathédrale Saint-Étienne de Sens. Au-dessus des grandes arcades, des galeries sont ouvertes sur les combles. La collégiale devient l'un des édifices-clés de la première période gothique. Son achèvement se situe vers 1170, mais une travée supplémentaire est ajoutée après 1213. Enfin, un nouveau clocher est édifié au cours des années 1530 devant la façade. Un tassement de terrain provoque une inclinaison vers l'ouest avant qu'il ne soit terminé, ce qui vaut à l'église d'être parfois appelée la Pise du Nord. Au XVIIIe siècle, les voûtes des trois dernières travées de la nef s'effondrent et sont remplacées par de fausses voûtes en bois. Le prieuré n'est alors plus qu'un simple bénéfice et est supprimé définitivement en 1781. L'église devient exclusivement paroissiale. Elle est dans un état préoccupant au milieu du XIXe siècle, et la première travée notamment est en grande partie démontée, puis reconstruite entre 1872 et 1876. Les travaux de restauration ne sont pas menés en accord avec le service des Monuments historiques. L'ancienne collégiale est néanmoins classée aux monuments historiques par arrêté du 14 juin 1909. Les messes dominicales y sont actuellement célébrées chaque dimanche soir.

Église Saint-Médard de Chalo-Saint-Mars
Église Saint-Médard de Chalo-Saint-Mars

L'église Saint-Médard de Chalo-Saint-Mars est une église paroissiale de culte catholique, consacrée à l'évêque de Tournai saint Médard, située dans la commune française de Chalo-Saint-Mars et le département de l'Essonne. Saint-Mars est une déformation du nom du saint Médard de Noyon. Durant la Révolution française, la nouvelle commune fut renommée Chalo-la-Raison, puis simplement Chalo en 1793, elle reprit son nom d'origine en 1801. Vers la fin du XIe siècle, le maire de Chalo, c'est-à-dire son régisseur, nommé Eudes, reçut du roi Philippe Ier un privilège transmissible à ses descendants, dont le texte fut trafiqué dans les siècles suivants et interprété comme une franchise de tout impôt pour les descendants tant de lignée masculine que féminine. En 1149, l'église de Chalo-Saint-Mars placée sous le vocable de saint Médard, évêque de Soissons, est érigée par Gozlin, évêque de Chartres, en prieuré en faveur de l'abbaye chartraine de Josaphat. À partir du XIVe siècle, le territoire de Chalo se morcelle en de nombreux petits fiefs dont les principaux sont, dans les vallées, La Fosse, Boinville, Guerville, Les Carneaux, Obterre, Chérel et Longuetoise et, sur le plateau, Le Tronchet. La nef a trois vaisseaux date du XVIe; elle est précédée de deux porches, l'un gothique, l'autre Renaissance. Un culot dans la nef est daté de 1547. La clef de voûte de la deuxième travée du collatéral droit (sud) porte la date de 1758. Le choeur et la souche de la tour clocher qui flanque la nef au nord datent du XIIe. Après la Révolution, la paroisse de Saint-Hilaire fait - jusqu'à nos jours - partie de Chalo. Les vitraux, du maître-verrier chartrain Lorin, datent de 1895. Il y a trois cloches, Antoine Cécile, fondue en 1891 en Lorraine par le fondeur Robert Jules, et donnée par Henri Daniel Massé de Combles, alors maire adjoint; Louise Marie (1672), qui provient d'une autre paroisse des environs et aurait été attribuée à la commune de Chalo-Saint-Mars en 1793 pour son horloge civile afin de remplacer la cloche d'origine envoyée à Paris; enfin Louise (1658) ramenée de l'église désaffectée et partiellement détruite à la Révolution de Saint-Hilaire. Cette dernière porte l'inscription suivante : "LOUIS DE LATTEIGNANT, PARRAIN ET SOEUR MARGUERITE ELISABETH DE MARESCOT PRIEURE DE SAINT-HILAIRE". Le reste du mobilier religieux date du XIXe, y compris les stalles sculptées du choeur (1867).