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Église Notre-Dame-de-la-Résurrection du Chesnay

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Église dans les Yvelines
Le Chesnay Église Notre Dame de la Résurrection
Le Chesnay Église Notre Dame de la Résurrection

L'église Notre-Dame-de-la-Résurrection du Chesnay est un édifice situé au 2 avenue du Docteur Schweitzer, au Chesnay, et consacré au culte catholique. L'église a été bâtie sur un terrain qui appartenait aux demoiselles Madeleine et Suzanne Poupinet, petites-filles de l'ancien maire Julien Poupinet, et vendu à Aladar de Balkany, promoteur et père de Robert Zellinger de Balkany, à l'unique condition qu'une église y soit construite, ainsi qu'un centre à vocation culturelle, qui deviendra le centre Martin-Luther-King. La construction de l'église, dans le cadre de l'opération Parly 2, est confiée à Claude Balick, architecte du promoteur. La construction démarre en 1969 et dure deux années. Elle est consacrée le 20 décembre 1971. Les vitraux sont l'œuvre du maître-verrier Léon Blanchet.

Extrait de l'article de Wikipedia Église Notre-Dame-de-la-Résurrection du Chesnay (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Église Notre-Dame-de-la-Résurrection du Chesnay
Square Vivaldi, Versailles

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N 48.825803 ° E 2.123417 °
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Adresse

Église Notre-Dame de la Résurrection

Square Vivaldi
78150 Versailles, Le Chesnay
Île-de-France, France
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Le Chesnay Église Notre Dame de la Résurrection
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Hameau de la Reine
Hameau de la Reine

Le hameau de la Reine est une dépendance du Petit Trianon située dans le parc du château de Versailles, dans les Yvelines, en France. Ce hameau d'agrément fut commandé durant l'hiver 1782-1783 par la reine Marie-Antoinette qui souhaitait s'éloigner des contraintes de la cour de Versailles, avec la nostalgie d'une vie plus rustique, dans un décor de nature inspiré par les écrits de Rousseau, un petit paradis où le théâtre et la fête lui feraient oublier sa condition de reine. Ce lieu champêtre, qui était aussi une exploitation agricole, marquait l'influence des idées des physiocrates et philosophes des Lumières sur l'aristocratie de l'époque. La construction en fut confiée à l'architecte Richard Mique sur l'inspiration du hameau de Chantilly et des dessins du peintre Hubert Robert. Autour d'un étang artificiel pour la pêche à la carpe et au brochet, Richard Mique fit ériger douze chaumières à pans de bois, d'inspiration normande ou flamande, dans la partie nord des jardins, aux abords du Petit Trianon et dans le prolongement du jardin anglais. Une ferme pour produire du lait et des œufs pour la reine, une tour en guise de phare, un colombier, un boudoir, une grange, un moulin, une maison pour le garde furent ainsi construits, chaque bâtiment étant agrémenté d'un potager, d'un verger ou d'un jardin fleuri. La plus importante de ces maisons est la « Maison de la Reine » au centre du hameau, que divise une rivière traversée par un petit pont de pierre. Abandonné après la Révolution française, le hameau de la Reine a fait l'objet de trois campagnes majeures de restauration : l'une menée par Napoléon Ier de 1810 à 1812 représente l'essentiel de la base actuelle. La deuxième a été réalisée grâce au mécénat de John Rockefeller Jr dans les années 1930. Enfin, le hameau a été rénové à partir des années 1990, sous l'impulsion de Pierre-André Lablaude, architecte en chef des monuments historiques, et il a été ouvert au public en 2006 au sein d'un espace nommé Domaine de Marie-Antoinette.