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Parly 2

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Parly 2 est un ensemble d'urbanisme comprenant un centre commercial régional français dénommé Westfield Parly 2 ainsi qu'un ensemble immobilier résidentiel haut de gamme, situé au Chesnay-Rocquencourt (Yvelines), constituant une unique copropriété, la plus grande de France et d’Europe. Le centre commercial est ouvert le 4 novembre 1969 avec 150 boutiques sur 56 000 m2 ; il est le deuxième centre commercial de cette importance en France, à peine deux semaines après l'ouverture de Cap 3000 proche de Nice, à Saint-Laurent-du-Var. Conçu pour l'automobile, il est implanté à proximité d'une sortie de l'A13 et doté de vastes parcs de stationnement sur deux et trois niveaux.

Extrait de l'article de Wikipedia Parly 2 (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Parly 2
Avenue Charles de Gaulle, Versailles

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Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 48.827778 ° E 2.116667 °
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Centre Commercial de Parly 2

Avenue Charles de Gaulle
78150 Versailles, Le Chesnay
Île-de-France, France
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Hameau de la Reine
Hameau de la Reine

Le hameau de la Reine est une dépendance du Petit Trianon située dans le parc du château de Versailles, dans les Yvelines, en France. Ce hameau d'agrément fut commandé durant l'hiver 1782-1783 par la reine Marie-Antoinette qui souhaitait s'éloigner des contraintes de la cour de Versailles, avec la nostalgie d'une vie plus rustique, dans un décor de nature inspiré par les écrits de Rousseau, un petit paradis où le théâtre et la fête lui feraient oublier sa condition de reine. Ce lieu champêtre, qui était aussi une exploitation agricole, marquait l'influence des idées des physiocrates et philosophes des Lumières sur l'aristocratie de l'époque. La construction en fut confiée à l'architecte Richard Mique sur l'inspiration du hameau de Chantilly et des dessins du peintre Hubert Robert. Autour d'un étang artificiel pour la pêche à la carpe et au brochet, Richard Mique fit ériger douze chaumières à pans de bois, d'inspiration normande ou flamande, dans la partie nord des jardins, aux abords du Petit Trianon et dans le prolongement du jardin anglais. Une ferme pour produire du lait et des œufs pour la reine, une tour en guise de phare, un colombier, un boudoir, une grange, un moulin, une maison pour le garde furent ainsi construits, chaque bâtiment étant agrémenté d'un potager, d'un verger ou d'un jardin fleuri. La plus importante de ces maisons est la « Maison de la Reine » au centre du hameau, que divise une rivière traversée par un petit pont de pierre. Abandonné après la Révolution française, le hameau de la Reine a fait l'objet de trois campagnes majeures de restauration : l'une menée par Napoléon Ier de 1810 à 1812 représente l'essentiel de la base actuelle. La deuxième a été réalisée grâce au mécénat de John Rockefeller Jr dans les années 1930. Enfin, le hameau a été rénové à partir des années 1990, sous l'impulsion de Pierre-André Lablaude, architecte en chef des monuments historiques, et il a été ouvert au public en 2006 au sein d'un espace nommé Domaine de Marie-Antoinette.

Belvédère (Petit Trianon)
Belvédère (Petit Trianon)

Le Belvédère du Petit Trianon, ou Pavillon du rocher, est une fabrique de jardin de style néoclassique, érigée entre 1778 et 1781 par Richard Mique, pour la reine de France Marie-Antoinette, au sein du Jardin anglais du Petit Trianon, dans le parc du château de Versailles. Petit pavillon d'architecture octogonale, il fait partie des fabriques disposées dans le nouveau jardin du Petit Trianon par l'architecte de la Reine et sert de salon de musique. Il est flanqué d'un rocher artificiel d'où jaillit une cascade et est entouré de montagnes en miniature, l'ensemble composant un jardin alpin. Il est gardé par huit sphinges de pierre, sculptées par Joseph Deschamps. Ce dernier est aussi à l'origine de la décoration des huit façades, dont les bas-reliefs sont une allégorie aux quatre saisons et dont les frontons sont ornés des attributs de la chasse et du jardinage. Le salon intérieur est luxueusement décoré, les arabesques peintes sur du stuc représentent des scènes de la nature, le sol est pavé de marbre et le plafond, œuvre de Jean-Jacques Lagrenée, évoque des angelots évoluant dans un ciel bleu. Endommagés par deux siècles de dégradations et d'altérations, le belvédère et le rocher retrouvent en 2012 leur état d'Ancien Régime, à la suite d'une restauration complète du jardin alpin. Classé avec le château de Versailles et ses dépendances au titre des monuments historiques par la liste de 1862 et par arrêté du 31 octobre 1906, il est accessible au public dans le cadre du musée national des châteaux de Versailles et de Trianon, au sein du Domaine de Marie-Antoinette.