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El Viejo Almacén

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Bar Viejo Almacén Buenos Aires
Bar Viejo Almacén Buenos Aires

El Viejo Almacén (Le Vieux Magasin en français) est une Tangueria (es) - l'équivalent d'un bal de quartier - où se dansait le tango traditionnel. Ce cabaret-bar-restaurant est situé à San Telmo l'un des plus anciens quartiers de Buenos Aires, à l'angle de la rue Balcarce et de l'avenue Independencia. L'établissement a été fondé le 9 mai 1969 par le chanteur Edmundo Rivero dans un bâtiment colonial et a été déclaré Site d'Intérêt Culturel par la municipalité de Buenos Aires en 1982.

Extrait de l'article de Wikipedia El Viejo Almacén (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

El Viejo Almacén
Balcarce, Buenos Aires San Telmo

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Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N -34.617005 ° E -58.370008 °
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Adresse

Balcarce 797
C1042AAB Buenos Aires, San Telmo
Ciudad Autónoma de Buenos Aires, Argentine
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Bar Viejo Almacén Buenos Aires
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Lieux à proximité

Plaza Dorrego
Plaza Dorrego

La Plaza Dorrego se trouve au cœur du quartier de San Telmo, à Buenos Aires en Argentine. Au XIXe siècle, San Telmo était le principal quartier résidentiel de la ville, et la Plaza Dorrego en était le centre. Anciennement, cet endroit se nommait Hueco del Alto (coin de la halte) ou Alto de las carretas (halte des charrettes), car c'était là que les chars tirés par des bœufs se reposaient avant de traverser le petit cours d'eau (arroyo) Tercero del Sur (aujourd'hui Passage San Lorenzo), lorsqu'ils se dirigeaient vers le centre de la cité. Ultérieurement, ce nom changea et devint Alto de San Pedro (halte de Saint Pierre), puis Plaza del Comercio ou place du commerce (1822). En 1905, le nom de la place changea une dernière fois pour devenir le nom actuel. Les édifices qui se trouvent sur la place, conservent leur aspect originel, grâce à l'appui de la Commission du Musée de la ville. Actuellement, sur ses côtés se trouvent des cafés, des bars et des pubs, qui envahissent la place en semaine avec leurs tables, mais on y trouve aussi des maisons d'antiquités. De plus, on y fait de nombreuses exhibitions musicales et des bals publics, y compris des démonstrations de Tango. Le dimanche, se tient la Feria de San Telmo ou Fête de San Telmo des antiquités (créée en 1970). Alors la place et les rues adjacentes se remplissent d'étals d'antiquités et de curiosités. La Plaza Dorrego se trouve au croisement des rues Humberto I et Defensa. Il constitue, avec La Boca (ou Caminito), la Recoleta, la Calle Florida, la Calle Lavalle et quelques autres endroits de la ville, une des principales promenades touristiques à faire à pied à Buenos Aires. Elle a été déclarée « Monument Historique National ». Portail de Buenos Aires

Pyramide de Mai
Pyramide de Mai

La pyramide de Mai (en esp. Pirámide de Mayo, en réalité un obélisque) se dresse au centre de la place de Mai à Buenos Aires et est le premier monument patriotique ― c'est-à-dire commémorant l’indépendance ― dont se dota la capitale argentine. Son histoire débute en mars 1811, lorsque la Grande Junte décida de faire construire un monument sur le côté ouest de la place, pour célébrer le premier anniversaire de la révolution de Mai de 1810, événement qui enclencha le processus d’indépendance. En 1856, sous la direction de l’artiste Prilidiano Pueyrredón, cette première version du monument fut remplacée par une nouvelle, construite sur les fondations de l’ancienne ; c’est cette nouvelle pyramide que l’on peut observer sur la place de Mai actuellement. En 1912, après lui avoir fait subir quelques modifications, on la déplaça vers son emplacement actuel, 63 m plus à l’est du lieu où elle se trouvait à l’origine, dans l’intention (non réalisée) d’ériger autour d’elle un énorme monument qui l’eût contenue dans son intérieur. La statue de la Liberté, œuvre du sculpteur français Joseph Dubourdieu, couronne le monument et servit de modèle à la représentation allégorique de la république argentine. Telle quelle, la Pyramide mesure, depuis le sol jusqu’au bonnet phrygien coiffant ladite statue, 18,76 m. « Buenos Aires possède son monument fondamental unique, éponyme : la pyramide de Mai. Site et symbole ombilical de la liberté (...) ; pour qui regarde de la rue, c’est une norme, un ferment et un point de départ ; pour qui la contemple des balcons du palais du gouvernement, un indice ou un reproche. (...) On ne la peut décrire, et il n’y a pas lieu que le touriste la comprenne ; on la chérit, on la sent. De même, nous n’allons presque jamais la visiter, mais il nous est indispensable de savoir qu’elle se tient là. C’est elle la véritable capitale de la Nation. » — Florencio Escardó, 1945.