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Rue Antoine-Deville

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Rue à ToulouseVoie de Toulouse se référant à un nom d'homme
Rue Deville (Toulouse)
Rue Deville (Toulouse)

La rue Antoine-Deville (en occitan : carrièra d'Antoni de Vila) est une voie de Toulouse, chef-lieu de la région Occitanie, dans le Midi de la France.

Extrait de l'article de Wikipedia Rue Antoine-Deville (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Rue Antoine-Deville
Rue Antoine Deville, Toulouse Toulouse Centre

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N 43.60492 ° E 1.44086 °
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Rue Antoine Deville

Rue Antoine Deville
31000 Toulouse, Toulouse Centre
Occitanie, France
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Rue Deville (Toulouse)
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Collège de Foix (Toulouse)
Collège de Foix (Toulouse)

Le collège de Foix est un ancien collège de l'université de Toulouse. Ses bâtiments se trouvent entre les rues Antoine-Deville, Jean-Antoine-Romiguières, des Lois et du Collège-de-Foix, à laquelle il a donné son nom, dans le quartier Arnaud-Bernard (secteur 1) de Toulouse, en France. Fondé en 1457, au cœur du quartier universitaire de la ville, c'est un collège qui accueille des boursiers. Il doit son nom à son fondateur, le cardinal Pierre de Foix, dit le Vieux, important prélat de la cour papale d'Avignon au milieu du XVe siècle. Épargné lors de la suppression de la plupart des collèges toulousains en 1551, il ne subsiste que difficilement, jusqu'à la Révolution française, où il est finalement fermé. Au XIXe siècle, une partie des bâtiments, rachetée par le chanoine Maurice Garrigou est dévolue à la congrégation religieuse des sœurs de Notre-Dame de la Compassion, qui se consacrent entre autres à l'accueil de jeunes femmes étudiantes. La résidence d'étudiants fondée par le cardinal de Foix poursuit de nos jours sa mission, en faisant la plus ancienne résidence d'étudiants d'Europe. Les bâtiments du collège de Foix sont, avec ceux d'anciens collèges voisins – le collège de l'Esquile, le collège de Périgord et le collège Saint-Raymond –, l'un des derniers témoignages de l'architecture universitaire à Toulouse. Le corps principal du collège a été inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques en 1925. Cette inscription partielle a été élargie en 2003 à l'ensemble des bâtiments.

Couvent des Cordeliers (Toulouse)
Couvent des Cordeliers (Toulouse)

Le couvent des Cordeliers est un ancien couvent de religieux franciscains – ou « cordeliers » – de Toulouse, en France. Il est fondé en 1222, dans un contexte de développement des ordres mendiants dans les villes européennes, et particulièrement à Toulouse, marquée au début du XIIIe siècle par le catharisme et la croisade des albigeois. En concurrence, sinon en rivalité avec les dominicains toulousains – le couvent des Jacobins –, établis à quelques rues de leur couvent, les franciscains édifient un vaste couvent au cœur du bourg Saint-Sernin. Le vaste ensemble conventuel s'organise autour de l'église, ouverte à la population pour la prédication, et un cloître qui dessert la chapelle Notre-Dame de Rieux – un bijou de l'architecture gothique –, la sacristie, la salle capitulaire, la bibliothèque, le réfectoire et les cellules des moines. Le couvent toulousain devient la principale maison de la province franciscaine d'Aquitaine et le foyer intellectuel et religieux du Midi du royaume de France. D'ailleurs, le couvent est un des centres intellectuels majeurs du royaume puisque c'est dans ses murs que s'installe la jeune université toulousaine, fondée par le traité de Meaux-Paris en 1229. À la Révolution, comme les autres couvents de la ville, les Cordeliers subissent les vicissitudes du temps. L'église est conservée, mais vidée de ses richesses, dispersées entre les églises et les musées de la région, d'autres bâtiments sont vendus quand ils ne sont pas cédés à l'administration militaire, d'autres encore sont démolis. La protection de l'église, classée aux monuments historiques dès 1862, a été complétée en 1994 par le classement des vestiges des autres bâtiments du couvent.

Couvent des Jacobins de Toulouse
Couvent des Jacobins de Toulouse

Le couvent des Jacobins de Toulouse est un édifice religieux situé dans le centre de la ville de Toulouse, en France, à mi-chemin entre le Capitole et la Garonne, juste à côté du lycée Pierre-de-Fermat. Il est constitué d'une église dite « église des Jacobins », d'un cloître, d'une salle capitulaire, d'un réfectoire et d'une chapelle, la chapelle Saint-Antonin. Il est parfois appelé « ensemble conventuel des Jacobins », appellation qui est aujourd'hui abandonnée. Il a été construit par l'ordre des Prêcheurs, un ordre mendiant dont la branche masculine a été fondée en 1215 à Toulouse par Dominique de Guzmán, futur saint Dominique, afin de promouvoir la prédication de l'Évangile et lutter contre l'hérésie cathare. Le fait que l'ordre dominicain soit né à Toulouse vaut au couvent toulousain d'être parfois considéré comme l'église-mère de l'ordre, bien qu'il ne soit pas le premier couvent construit par l'ordre et bien que d'autres églises revendiquent également ce titre (notamment l'église Sainte Sabine de Rome). Ces bâtiments entièrement faits de brique sont considérés comme des joyaux de l'art gothique languedocien en matière de construction monastique des XIIIe siècle et XIVe siècle. Les Frères prêcheurs ont été appelés Dominicains dès le XIIIe siècle et aussi Jacobins, beaucoup plus tard, à la période moderne, en référence au grand couvent de Paris situé rue Saint-Jacques (détruit au XIXe siècle). L'église abrite depuis 1369 les reliques (reliques de premier ordre) de saint Thomas d'Aquin, auquel elle est consacrée. C'est également dans ces bâtiments qu'a été établie pendant plusieurs siècles l'ancienne université de Toulouse depuis sa fondation en 1229 jusqu'à sa suppression à la Révolution française.