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Pont du Drac

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Pont à GrenobleSecteur 1 de GrenobleTramway de Grenoble
Le Drac à Grenoble au bout du cours Berriat
Le Drac à Grenoble au bout du cours Berriat

Le pont du Drac est, historiquement, le premier site de franchissement du Drac à Grenoble. Il relie le quartier Europole, situé dans cette même ville, en rive droite, à la ville de Fontaine, en rive gauche. Il s'agit, à l'origine, d'un pont routier, ensuite transformé en un pont ferroviaire ne permettant que le passage du tramway (ligne A du tramway de Grenoble), des cycles et des piétons. Celui-ci franchit également l'autoroute A480, aussi dénommé sous le nom de rocade ouest de Grenoble.

Extrait de l'article de Wikipedia Pont du Drac (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Pont du Drac
A 480, Grenoble Secteur 1

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Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 45.189 ° E 5.70155 °
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Adresse

Pont du Drac

A 480
38000 Grenoble, Secteur 1
Auvergne-Rhône-Alpes, France
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Le Drac à Grenoble au bout du cours Berriat
Le Drac à Grenoble au bout du cours Berriat
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Lieux à proximité

Siloé (réacteur)

Siloé était un réacteur nucléaire de recherche, de type pile piscine à cœur ouvert d'une puissance thermique de 35 mégawatts, arrêté définitivement en 1997 et en phase terminale de démantèlement en janvier 2013,. Situé sur le site du Centre d’Étude Nucléaire de Grenoble, dans le polygone scientifique de Grenoble, ce réacteur, entré en divergence en 1963, est arrêté depuis 1997 en raison de sa trop grande proximité avec la ville de Grenoble. Le cœur du réacteur Siloé était constitué de combustible nucléaire en uranium enrichi à 90 % placé dans une "piscine" d'eau ordinaire. Le 7 novembre 1967, le réacteur Siloé a subi une fusion partielle du cœur lors d'une expérience de surpuissance. Une augmentation rapide des débits de dose par rayonnement fut ensuite observée ce qui entraîna l’évacuation du bâtiment du réacteur et des bâtiments annexes, ainsi que l’utilisation des pièges à iode du système de ventilation de secours. Cet incident a conduit par la fusion de 187 g d’alliage d’uranium et d’aluminium (enrichi à 93 % en uranium 235), correspondant à une masse de 36,8 g d’uranium 235 dont 18 g ont été relâchés dans le circuit primaire puis récupérés dans des réservoirs un an plus tard. Il est entré en phase de démantèlement nucléaire après le décret du 26 janvier 2005, autorisant la mise à l’arrêt définitif et le démantèlement de l’installation. D’après la commission locale d’information de Grenoble, le coût du démantèlement de Siloé s'élève à 100 millions d'euros et se décompose comme suit : Opérations 47 M€, Déchets 22 M€ et Surveillance 32 M€. Selon le responsable du démantèlement à Grenoble, l’impact des rejets radioactifs est extrêmement faible pour les travailleurs et inexistant pour les populations alentour. Le bâtiment réacteur a été démoli en janvier-février 2013 et le déclassement de l'installation a été prononcé le 8 janvier 2015 par l'ASN.