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Pont Esclangon

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Pont achevé en 1986Pont franchissant un cours d'eau en FrancePont franchissant une routePont routier en FrancePont à GrenobleSecteur 1 de Grenoble
Pont esclangon
Pont esclangon

Le pont Esclangon est un ouvrage inauguré en 1986, franchissant le Drac et l’A480, dans le département de l’Isère sur une longueur de 138 mètres, une largeur de 11,60 mètres et une hauteur de 5,90 mètres. Baptisé en hommage à Félix Esclangon, ancien directeur de l'Institut polytechnique de Grenoble, ce pont est prolongé en rive droite par l’ouvrage sur l’A480, puis par deux autres ouvrages constituant les bretelles d’accès et de sortie. C’est un maillon important de l’agglomération grenobloise qui permet de relier Grenoble à Fontaine.

Extrait de l'article de Wikipedia Pont Esclangon (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Pont Esclangon
A 480, Grenoble Secteur 1

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Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 45.189444 ° E 5.701389 °
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Adresse

Pont Esclangon

A 480
38000 Grenoble, Secteur 1
Auvergne-Rhône-Alpes, France
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Pont esclangon
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Lieux à proximité

Siloé (réacteur)

Siloé était un réacteur nucléaire de recherche, de type pile piscine à cœur ouvert d'une puissance thermique de 35 mégawatts, arrêté définitivement en 1997 et en phase terminale de démantèlement en janvier 2013,. Situé sur le site du Centre d’Étude Nucléaire de Grenoble, dans le polygone scientifique de Grenoble, ce réacteur, entré en divergence en 1963, est arrêté depuis 1997 en raison de sa trop grande proximité avec la ville de Grenoble. Le cœur du réacteur Siloé était constitué de combustible nucléaire en uranium enrichi à 90 % placé dans une "piscine" d'eau ordinaire. Le 7 novembre 1967, le réacteur Siloé a subi une fusion partielle du cœur lors d'une expérience de surpuissance. Une augmentation rapide des débits de dose par rayonnement fut ensuite observée ce qui entraîna l’évacuation du bâtiment du réacteur et des bâtiments annexes, ainsi que l’utilisation des pièges à iode du système de ventilation de secours. Cet incident a conduit par la fusion de 187 g d’alliage d’uranium et d’aluminium (enrichi à 93 % en uranium 235), correspondant à une masse de 36,8 g d’uranium 235 dont 18 g ont été relâchés dans le circuit primaire puis récupérés dans des réservoirs un an plus tard. Il est entré en phase de démantèlement nucléaire après le décret du 26 janvier 2005, autorisant la mise à l’arrêt définitif et le démantèlement de l’installation. D’après la commission locale d’information de Grenoble, le coût du démantèlement de Siloé s'élève à 100 millions d'euros et se décompose comme suit : Opérations 47 M€, Déchets 22 M€ et Surveillance 32 M€. Selon le responsable du démantèlement à Grenoble, l’impact des rejets radioactifs est extrêmement faible pour les travailleurs et inexistant pour les populations alentour. Le bâtiment réacteur a été démoli en janvier-février 2013 et le déclassement de l'installation a été prononcé le 8 janvier 2015 par l'ASN.