place

Canton de Brest-Plouzané

Ancien canton dans le FinistèreArticle avec modèle Dernière population de canton de FranceArticle avec modèle Graphique population de canton de FranceArticle avec modèle Tableau population de canton de FranceArticle géolocalisé en France
Article utilisant une InfoboxArticle à ne pas géolocaliserBrestPage avec des cartes
Cantons du Finistère Brest plouzane
Cantons du Finistère Brest plouzane

Le canton de Brest-Plouzané est un ancien canton français situé dans le département du Finistère et la région Bretagne.

Extrait de l'article de Wikipedia Canton de Brest-Plouzané (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Canton de Brest-Plouzané
Greenhurst Court, New London Township

Coordonnées géographiques (GPS) Adresse Lieux à proximité
placeAfficher sur la carte

Wikipedia: Canton de Brest-PlouzanéContinuer à lire sur Wikipedia

Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 48.3869445 ° E -4.5522225 °
placeAfficher sur la carte

Adresse

Greenhurst Court 423
19352 New London Township
Pennsylvania, United States
mapOuvrir sur Google Maps

Cantons du Finistère Brest plouzane
Cantons du Finistère Brest plouzane
Partager l'expérience

Lieux à proximité

Fort du Questel
Fort du Questel

Le fort du Questel est une « redoute » située à Brest. C'est un ouvrage fortifié de type Sébastien Le Prestre de Vauban, fermé et de forme carrée, dont l’entrée ou gorge est placée sur le côté le moins exposé. Ce vaste quadrilatère de 100 mètres de côté est situé entre le fort de Kéranroux (1,5 km au sud) et le fort de Penfeld (1 km au nord-est). Le fort du Questel surveille la croisée des vallons du Moulin du Buis où pouvait s’établir l’ennemi pour bombarder la ville et le port de Brest. Entouré de fossés profonds et accessible par un pont-levis, il est composé d’une muraille maçonnée (escarpe), surmonté d’un chemin de ronde destiné aux mousquetaires. Ce chemin est lui-même dominé par un rempart de terre, en retrait, destiné à supporter l’artillerie (26 canons au total, portant à 4,5 km). La garnison en place, environ 200 hommes, avait accès à différentes galeries dont deux grands souterrains qui relient la cour centrale aux chemins de ronde. On notera également la présence de lieux d’aisance, ce qui, à l’époque de Vauban, restait encore un privilège. Construit sur un site de six hectares, le fort du Questel domine la vallée de l'Allégoet, ruisseau affluent de la Penfeld. Ce site fait aujourd'hui partie d'un ensemble d'espaces naturels réaménagés qui mènent jusqu'aux rives de Penfeld par un circuit passant au pied de l'hôpital de la Cavale Blanche. Sur place, la forteresse offre des promenades à travers ses douves vertes bien abritées, ses souterrains, ses escaliers, ses escarpes et contrescarpes, son esplanade et ses frais sous-bois tout proches.

Institut polaire français Paul-Émile-Victor
Institut polaire français Paul-Émile-Victor

L’Institut polaire français Paul-Émile-Victor (IPEV) est un organisme public chargé de la mise en œuvre de la recherche française dans les régions polaires. Il poursuit la mission lancée en 1947 par Paul-Émile Victor avec les Expéditions polaires françaises. Depuis son siège à Brest, les équipes de l’Institut polaire, une quarantaine de personnes permanentes accompagnées chaque année par plus d'une centaine de personnes recrutées pour les campagnes d'été et les hivernages, gèrent les moyens nécessaires au déploiement des projets scientifiques sur les terrains polaires, principalement dans les six stations scientifiques françaises déployées dans ces régions : En Arctique, la station franco-allemande AWIPEV à Ny-Ålesund, sur l'île du Spitzberg, incluant le bâtiment Charles Rabot et la station Jean Corbel, En Antarctique, la station Dumont-d'Urville sur l'île des Pétrels, en terre Adélie, et la station Concordia sur le plateau Antarctique, dont la responsabilité est partagée avec l'Italie. Dans les îles Subantarctiques, dans les îles Kerguelen, Crozet, Amsterdam et St PaulPour assurer la logistique française en Antarctique, l'Institut polaire français utilisait le navire polaire l’Astrolabe, le 1er du nom. Aujourd'hui, en partenariat avec les TAAF (Terres australes et antarctiques françaises) et la Marine nationale, l'Institut polaire français dessert l'Antarctique grâce à l'Astrolabe, le 2ème du nom, depuis 2017. Enfin pour assurer le transport de personnels ainsi que le transport de fret sur les îles australes, l'Institut polaire français s'appuie sur les TAAF et leur navire océanographique Marion Dufresne 2, utilisé 120 jours dans l'année pour ravitailler les districts subantarctiques et utilisé par l'Ifremer le reste de l'année.