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Monumento alla Resistenza europea

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Monument à CômeMémorial de la Seconde Guerre mondialePage avec des cartes
Monumento resitenza europea
Monumento resitenza europea

Le Monumento alla Resistenza europea (Monument à la Résistance européenne), situé à Côme en Italie, est une œuvre du sculpteur milanais Gianni Colombo (en) en mémoire de la résistance contre le nazisme en Europe. Le mémorial est également dédié aux victimes des bombardements atomiques de 1945, des camps d'extermination et, plus généralement, de la Seconde Guerre mondiale.

Extrait de l'article de Wikipedia Monumento alla Resistenza europea (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Monumento alla Resistenza europea
Viale Guglielmo Marconi, Côme Vico

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N 45.81359 ° E 9.07611 °
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Adresse

Monumento alla resistenza europea

Viale Guglielmo Marconi
22100 Côme, Vico
Lombardie, Italie
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Monumento resitenza europea
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Tombe de Ca' Morta
Tombe de Ca' Morta

La tombe de Ca' Morta est une tombe à char celtique qui se trouve au sein de la nécropole du même nom située à l'ouest de la ville de Côme, région de Lombardie, en Italie. La chambre funéraire recouverte d'un tumulus recèle les cendres d'une femme, d'appartenance princière, accompagnée de mobilier. En raison de l'exceptionnelle qualité des objets qui en ont été exhumés, cette tombe représente un précieux témoignage sur la culture celte de l'époque, en particulier concernant les techniques artisanales, les échanges intra-européens et le rôle des femmes dans la société. Les indices matériels montrent que la défunte est d'origine celte et que le site appartient à la culture italo-celtique dite de « Golasecca », qui, telle celle de Hallstatt, est une culture celtique dans l'Europe du premier âge du fer. Alors que la zone funéraire a commencé à être fouillée à partir de 1891, la tombe, quant à elle, a été découverte en 1928. L'analyse radiocarbone révèle que la fondation de la tombe date approximativement du milieu du Ve siècle av. J.-C. (−450), ce qui permet d'attribuer cette sépulture italo-celtique à la période dite « Golasecca III / GIIIA », et plus précisément au faciès « oriental » de la culture de Golasecca. Les archéologues notent, parmi les artéfacts découverts, un remarquable char à quatre roues. Le véhicule, à vocation rituelle, présente des particularités propres à la « culture de Hallstatt ». L'abondance et le raffinement du mobilier extrait de la sépulture suggèrent qu'il s'agit d'une tombe princière : ces objets affichent tous une haute qualité d'exécution. De nombreux éléments de vaissellerie en bronze laminé d'origine étrusque, ainsi que des céramiques attiques à figures noires ou à figures rouges, évoquent des relations commerciales avec l'Étrurie padane d'une part, et la Grande Grèce et les territoires italiques d'autre part. Parmi ces objets, les archéologues ont exhumé un casque de type Negau, seule pièce d'armement retrouvée dans la tombe. Enfin, de nombreux éléments, sources antiques, épigraphiques et archéologiques, indiquent que la femme, dont les restes incinérés reposent dans l'urne de la « tombe III/1928 », est probablement de souche orobienne, et que sa langue maternelle est le lépontique.