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Cimetière de Bouffémont

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Le cimetière de Bouffémont est le cimetière communal de la ville de Bouffémont dans le Val-d'Oise située à 25 km au nord de Paris. Il se trouve rue de Sainte-Radegonde.

Extrait de l'article de Wikipedia Cimetière de Bouffémont (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs).

Cimetière de Bouffémont
Rue Sainte-Radegonde, Sarcelles

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Latitude Longitude
N 49.04165 ° E 2.29346 °
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Adresse

Rue Sainte-Radegonde
95570 Sarcelles
Île-de-France, France
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Lieux à proximité

Église Saint-Sulpice de Montsoult
Église Saint-Sulpice de Montsoult

L'église Saint-Sulpice est une église catholique paroissiale située à Montsoult, en France. Elle succède à une église du XIIe ou du XIIIe siècle, qui a été presque entièrement reconstruite pendant la première moitié du XVIe siècle dans le style gothique flamboyant. Sa dédicace a été célébrée en 1543. C'est un édifice assez simple, qui se distingue par son plan inhabituel à double nef, ce qui en fait une église-halle. L'instabilité du terrain a motivé plusieurs reprises, et l'extérieur est sans grand caractère. La façade du XVIIIe siècle est influencée par le style classique, et devrait normalement être enduite. L'intérieur tient son caractère des huit voûtes d'ogives, dont certaines retombent sur des piliers agrémentés de frises sculptées. L'église a été inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du 16 juin 1926. Des désordres de structure ont motivé une longue campagne de restauration entre 1967 et 1976. Pratiquement tout le mobilier ancien a été enlevé de l'église, et elle a été redécorée par la suite. Les fonts baptismaux, quatre statues et un tableau sont les seuls éléments antérieurs à la Révolution française maintenus en place. Aujourd'hui, l'église Saint-Sulpice est le principal lieu de culte d'un regroupement paroissial qui s'étend sur quatre communes. Les messes dominicales y sont célébrées la plupart des dimanches à 11 heures.

Église Saint-Prix de Saint-Prix (Val-d'Oise)
Église Saint-Prix de Saint-Prix (Val-d'Oise)

L'église Saint-Prix est une église catholique paroissiale située à Saint-Prix, dans le Val-d'Oise, en France. La première église romane, à laquelle appartiennent peut-être les corniches à l'est et à l'ouest de la base du clocher, a été donnée à l'abbaye Saint-Martin de Pontoise vers 1085, et un prieuré a été fondé en même temps. Le patron de la paroisse est alors saint Germain. À partir de la fin du XIIe siècle et jusqu'en 1220 environ, l'église est entièrement rebâtie dans le style gothique primitif, et elle conserve de cette époque le plan et l'ordonnancement général, mais très peu d'éléments en élévation : il s'agit essentiellement des chapiteaux au nord de la nef ; des piles orientales du clocher, qui s'élève au-dessus de la croisée du transept ; de l'étage de beffroi du clocher ; et des fenêtres hautes bouchées dans la partie droite du chœur. Au XVe siècle, l'essor du pèlerinage de saint Prix, dont l'église possède sans doute des reliques dès l'origine, fait que ce second patron supplante le premier, qui s'est depuis longtemps effacé. Après la guerre de Cent Ans, l'église est presque entièrement rebâtie pour une seconde fois : d'abord la nef est voûtée d'ogives dans le style gothique flamboyant, à la fin du XVe siècle, puis pendant la seconde moitié du XVIe siècle, les grandes arcades sont reprises en sous-œuvre (sauf au nord de la nef), les collatéraux sont presque entièrement reconstruites (sauf au nord de la nef), et une nouvelle abside est construite sur les fondations de l'ancienne. Dès lors, le style dominant de l'église est celui de la Renaissance, même si la structure demeure gothique. Au XVIIe siècle, une sacristie et des chapelles sont ajoutées devant le bas-côté sud. Les chapelles, ainsi que la première travée de la nef, sont malheureusement en partie démolies vers 1836, et les remaniements à la fin du XIXe siècle modifient encore l'apparence extérieure de la nef. L'église Saint-Prix est inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du 16 juin 1926. Son intérêt réside en grande partie dans sa complexité architecturale, perceptible notamment à l'intérieur, et en son riche mobilier. La ville de Saint-Prix fait aujourd'hui partie d'un regroupement paroissial avec Eaubonne, Montlignon et Margency, et les messes dominicales sont célébrées en l'église Notre-Dame de la Vallée. La vie spirituelle de l'église Saint-Prix s'est appauvrie, et on n'y célèbre plus qu'une messe dominicale anticipée par mois.

Statue de Notre-Dame de France (Baillet-en-France)
Statue de Notre-Dame de France (Baillet-en-France)

La statue de Notre-Dame de France est une œuvre monumentale, œuvre du sculpteur Roger de Villiers, et forgée par Raymond Subes pour décorer le pavillon pontifical lors de l'exposition universelle de 1937 à Paris. La statue en cuivre doré mesure 7,2 m et représente la Vierge Marie portant sur son épaule l'Enfant Jésus, les bras ouverts sur le monde. Conservée en place un an après l'exposition, Mgr Jean Verdier émet le souhait que la statue ne soit pas détruite, mais installée sur une colline proche de Paris. Il lance une levée de fonds en ce sens, mais la guerre et sa mort mettent fin au projet. En 1959, la statue est installée au sommet de l'église Saint-Honoré d'Amiens. Elle y reste jusqu'en 1982 où elle doit être démontée du fait de fissures dans sa structure. Entreposée plusieurs années, à l'abandon, elle est récupérée en 1984 par Edmond Fricoteaux, notaire à Saint-Denis, qui souhaite faire ériger une grande statue de la Vierge, en remerciement à la suite de sa conversion. La statue est installée à Baillet-en-France, à 18 km au nord de Paris, en octobre 1988, en pleins champs, au bord de la nationale 1, au sommet d'un piédestal de 25 m de haut. Au pied de la statue, un oratoire, puis une petite chapelle sont construits. L'évêque installe un prêtre comme chapelain de ce « sanctuaire » qui reçoit beaucoup de visites et rassemble régulièrement des communautés chrétiennes. En 1994 débute un nouveau projet de « Vierges pèlerines », copies de la statue Notre-Dame de France, mais aussi d'autres Vierges vénérées en France. Ce projet, lancé par les laïcs, obtient le soutien d'évêques et de religieux, et rassemble une centaine de statues de la Vierge. Après avoir parcouru la France durant plusieurs années, les statues partent parcourir le monde entier, et différents projets s'agrègent et se développent autour de ce mouvement initial de « Vierge pèlerine ».