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Gare de Bouffémont - Moisselles

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Bouffemont Gare de Bouffemont Moisselles 01
Bouffemont Gare de Bouffemont Moisselles 01

La gare de Bouffémont - Moisselles est une gare ferroviaire française de la ligne d'Épinay - Villetaneuse au Tréport - Mers, située dans la commune de Bouffémont, à la limite de Moisselles (département du Val-d'Oise), en région Île-de-France. Elle se situe à 22 km de la gare de Paris-Nord. Cette gare SNCF est desservie par les trains de la ligne H du Transilien.

Extrait de l'article de Wikipedia Gare de Bouffémont - Moisselles (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Gare de Bouffémont - Moisselles
Rue Louise Michel, Sarcelles

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Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 49.045276 ° E 2.322802 °
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Adresse

Rue Louise Michel
95570 Sarcelles
Île-de-France, France
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Bouffemont Gare de Bouffemont Moisselles 01
Bouffemont Gare de Bouffemont Moisselles 01
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Statue de Notre-Dame de France (Baillet-en-France)
Statue de Notre-Dame de France (Baillet-en-France)

La statue de Notre-Dame de France est une œuvre monumentale, œuvre du sculpteur Roger de Villiers, et forgée par Raymond Subes pour décorer le pavillon pontifical lors de l'exposition universelle de 1937 à Paris. La statue en cuivre doré mesure 7,2 m et représente la Vierge Marie portant sur son épaule l'Enfant Jésus, les bras ouverts sur le monde. Conservée en place un an après l'exposition, Mgr Jean Verdier émet le souhait que la statue ne soit pas détruite, mais installée sur une colline proche de Paris. Il lance une levée de fonds en ce sens, mais la guerre et sa mort mettent fin au projet. En 1959, la statue est installée au sommet de l'église Saint-Honoré d'Amiens. Elle y reste jusqu'en 1982 où elle doit être démontée du fait de fissures dans sa structure. Entreposée plusieurs années, à l'abandon, elle est récupérée en 1984 par Edmond Fricoteaux, notaire à Saint-Denis, qui souhaite faire ériger une grande statue de la Vierge, en remerciement à la suite de sa conversion. La statue est installée à Baillet-en-France, à 18 km au nord de Paris, en octobre 1988, en pleins champs, au bord de la nationale 1, au sommet d'un piédestal de 25 m de haut. Au pied de la statue, un oratoire, puis une petite chapelle sont construits. L'évêque installe un prêtre comme chapelain de ce « sanctuaire » qui reçoit beaucoup de visites et rassemble régulièrement des communautés chrétiennes. En 1994 débute un nouveau projet de « Vierges pèlerines », copies de la statue Notre-Dame de France, mais aussi d'autres Vierges vénérées en France. Ce projet, lancé par les laïcs, obtient le soutien d'évêques et de religieux, et rassemble une centaine de statues de la Vierge. Après avoir parcouru la France durant plusieurs années, les statues partent parcourir le monde entier, et différents projets s'agrègent et se développent autour de ce mouvement initial de « Vierge pèlerine ».

Église Sainte-Marie-Madeleine de Domont
Église Sainte-Marie-Madeleine de Domont

L'église Sainte-Marie-Madeleine est une église catholique paroissiale située à Domont, en France. Sa construction est sans doute enclenchée par la création de la paroisse de Domont en 1142, et elle peut être située au milieu du XIIe siècle. De dimensions modestes, son élévation sur trois niveaux avec un étage de galeries et son plan sont toutefois ambitieux, ce qui fait en partie l'intérêt de l'édifice. Il est de style gothique primitif, mais son déambulatoire est encore résolument roman, comme l'indique notamment son voûtement d'arêtes. Dans tout le nord de l'Île-de-France, son abside en hémicycle à déambulatoire semble être la plus ancienne, et Domont est en même temps l'une des rares églises de la région à posséder un déambulatoire mais pas de chapelles rayonnantes. Domont ayant été le siège d'un prieuré dépendant du prieuré clunisien Saint-Martin-des-Champs de Paris, de 1108 à 1790, il est probable que le chœur de l'église Saint-Martin-des-Champs ait inspiré celui de Domont. Ce chœur n'est pas seulement réputé pour ses qualités artistiques et l'harmonie de son architecture, mais également pour une innovation qui y apparaît pour la première fois dans la région. Ce sont les arcs-boutants de l'abside, encore peu prononcés, et recopiés directement sur ceux de la cathédrale de Sens. Après son achèvement, l'église de Domont n'a connu que des remaniements modérés, mais son délabrement rapide à partir du milieu du XVIIIe siècle conduit à sa fermeture au culte en 1785, et elle faillit être entièrement démolie pour être remplacée par un nouvel édifice. Seule la pénurie d'argent dans la période post-révolutionnaire empêche la réalisation de ce projet, mais également une restauration et reconstruction rapide. L'essentiel des travaux n'est entrepris qu'entre 1844 et 1857, et il faut attendre la restauration complète de 2002-2004 pour que l'église retrouve enfin toute sa splendeur du XIIe siècle. Son chœur et sa croisée du transept ont été classés monument historique par arrêté du 22 juillet 1913.

Église Saint-Martin d'Attainville
Église Saint-Martin d'Attainville

L'église Saint-Martin est une église catholique paroissiale située à Attainville, en France. Elle succède à une église précédente dont la dédicace n'a été célébrée qu'en 1529. Mais cette église menace ruine en 1570, et doit être remplacée d'urgence. Bien que la paroisse ne dispose pas d'économies, un emprunt permet de lancer les travaux en 1572. La direction du chantier est confiée au maître-maçon Nicolas de Saint-Michel de Luzarches, qui adopte un plan simple sans transept et une élévation dans la tradition des églises gothiques flamboyantes. Il conçoit un agréable décor dans le style Renaissance, dont il maîtrise parfaitement le vocabulaire ornemental. Les travaux progressent très rapidement. Quand les fonds viennent de manquer en 1575, l'édifice n'est pas entièrement achevé. La consécration est néanmoins célébrée en septembre 1576, et l'église est utilisée pour le culte à partir de cette date. Elle est sobre, élégante et lumineuse. Malgré la répétition des mêmes motifs sur tous les supports de la nef et des bas-côtés, la monotonie ne s'installe pas. La façade occidentale, l'étage de beffroi du clocher, la majeure partie du bas-côté nord et les voûtes ne sont bâtis qu'ultérieurement. Ainsi, l'achèvement définitif n'a lieu qu'en 1817. Pour tous les ajouts postérieurs à 1576, l'esprit de l'architecture d'origine est tout à fait respecté, et l'homogénéité de l'ensemble est étonnante. L'église est classée monument historique depuis 1912. Elle représente un exemple remarquable de l'architecture Renaissance en Pays de France, et tout en sachant qu'elle n'a pas été achevée lors de sa consécration, elle peut être considérée comme l'une des églises au délai de construction le plus bref.