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Canton de Domont

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Val d'Oise Canton Domont 2015
Val d'Oise Canton Domont 2015

Le canton de Domont est une division administrative française, située dans le département du Val-d'Oise et la région Île-de-France. À la suite du redécoupage cantonal de 2014, les limites territoriales du canton sont remaniées. Le nombre de communes du canton passe de 4 à 11.

Extrait de l'article de Wikipedia Canton de Domont (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Canton de Domont
Rue de la Mairie, Sarcelles

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Latitude Longitude
N 49.0275 ° E 2.326666666 °
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Adresse

Mairie de Domont

Rue de la Mairie
95330 Sarcelles
Île-de-France, France
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Val d'Oise Canton Domont 2015
Val d'Oise Canton Domont 2015
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Lieux à proximité

Église Sainte-Marie-Madeleine de Domont
Église Sainte-Marie-Madeleine de Domont

L'église Sainte-Marie-Madeleine est une église catholique paroissiale située à Domont, en France. Sa construction est sans doute enclenchée par la création de la paroisse de Domont en 1142, et elle peut être située au milieu du XIIe siècle. De dimensions modestes, son élévation sur trois niveaux avec un étage de galeries et son plan sont toutefois ambitieux, ce qui fait en partie l'intérêt de l'édifice. Il est de style gothique primitif, mais son déambulatoire est encore résolument roman, comme l'indique notamment son voûtement d'arêtes. Dans tout le nord de l'Île-de-France, son abside en hémicycle à déambulatoire semble être la plus ancienne, et Domont est en même temps l'une des rares églises de la région à posséder un déambulatoire mais pas de chapelles rayonnantes. Domont ayant été le siège d'un prieuré dépendant du prieuré clunisien Saint-Martin-des-Champs de Paris, de 1108 à 1790, il est probable que le chœur de l'église Saint-Martin-des-Champs ait inspiré celui de Domont. Ce chœur n'est pas seulement réputé pour ses qualités artistiques et l'harmonie de son architecture, mais également pour une innovation qui y apparaît pour la première fois dans la région. Ce sont les arcs-boutants de l'abside, encore peu prononcés, et recopiés directement sur ceux de la cathédrale de Sens. Après son achèvement, l'église de Domont n'a connu que des remaniements modérés, mais son délabrement rapide à partir du milieu du XVIIIe siècle conduit à sa fermeture au culte en 1785, et elle faillit être entièrement démolie pour être remplacée par un nouvel édifice. Seule la pénurie d'argent dans la période post-révolutionnaire empêche la réalisation de ce projet, mais également une restauration et reconstruction rapide. L'essentiel des travaux n'est entrepris qu'entre 1844 et 1857, et il faut attendre la restauration complète de 2002-2004 pour que l'église retrouve enfin toute sa splendeur du XIIe siècle. Son chœur et sa croisée du transept ont été classés monument historique par arrêté du 22 juillet 1913.

Montmorency (Val-d'Oise)
Montmorency (Val-d'Oise)

Montmorency (prononcé [mɔ̃mɔʁɑ̃ˈsi]) est une commune française, chef-lieu de canton du Val-d'Oise, située à environ treize kilomètres au nord des portes de Paris, et vingt et un kilomètres par la route de l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle. La population de Montmorency est en 2021, de 21 870 habitants, appelés les Montmorencéens. La stabilité du nombre d'habitants au cours des cinquante dernières années est la conséquence d'un espace constructible presque saturé se prêtant mal à de nouvelles constructions alors que, dans le même temps, la taille moyenne des foyers a tendance à baisser. Établie sur un relief très accidenté, à l'extrémité d'un éperon rocheux constituant un lieu stratégique occupé dès le IXe siècle, Montmorency est devenue dès le XVIIe siècle un lieu de villégiature recherché qui a attiré de nombreuses célébrités. À la même époque, se développe à Montmorency la culture d'un type bien particulier de cerises, des petits fruits au goût acidulé connus sous le nom de cerises de Montmorency, que Madame de Sévigné rend célèbres au travers de ses lettres. Le séjour de Jean-Jacques Rousseau d'avril 1756 à juin 1762 a durablement marqué la ville et en a fait un lieu de pèlerinage littéraire. Ancien fief de la famille de Montmorency, l'une des familles les plus anciennes et les plus distinguées de l'aristocratie française d'Ancien Régime, la commune conserve aujourd'hui un caractère résidentiel marqué à l'écart des grands axes de communication, avec son noyau villageois entouré de villas et de résidences de standing et l'absence d'ensemble industriel ou commercial d'importance. Commune essentiellement urbaine, Montmorency peut cependant proposer à ses habitants une trentaine d'hectares d'espaces verts publics, sans compter la forêt de Montmorency qui occupe la partie nord de son territoire. Elle bénéficie aussi de sa proximité avec la ville d'Enghien-les-Bains et de son lac.

Statue de Notre-Dame de France (Baillet-en-France)
Statue de Notre-Dame de France (Baillet-en-France)

La statue de Notre-Dame de France est une œuvre monumentale, œuvre du sculpteur Roger de Villiers, et forgée par Raymond Subes pour décorer le pavillon pontifical lors de l'exposition universelle de 1937 à Paris. La statue en cuivre doré mesure 7,2 m et représente la Vierge Marie portant sur son épaule l'Enfant Jésus, les bras ouverts sur le monde. Conservée en place un an après l'exposition, Mgr Jean Verdier émet le souhait que la statue ne soit pas détruite, mais installée sur une colline proche de Paris. Il lance une levée de fonds en ce sens, mais la guerre et sa mort mettent fin au projet. En 1959, la statue est installée au sommet de l'église Saint-Honoré d'Amiens. Elle y reste jusqu'en 1982 où elle doit être démontée du fait de fissures dans sa structure. Entreposée plusieurs années, à l'abandon, elle est récupérée en 1984 par Edmond Fricoteaux, notaire à Saint-Denis, qui souhaite faire ériger une grande statue de la Vierge, en remerciement à la suite de sa conversion. La statue est installée à Baillet-en-France, à 18 km au nord de Paris, en octobre 1988, en pleins champs, au bord de la nationale 1, au sommet d'un piédestal de 25 m de haut. Au pied de la statue, un oratoire, puis une petite chapelle sont construits. L'évêque installe un prêtre comme chapelain de ce « sanctuaire » qui reçoit beaucoup de visites et rassemble régulièrement des communautés chrétiennes. En 1994 débute un nouveau projet de « Vierges pèlerines », copies de la statue Notre-Dame de France, mais aussi d'autres Vierges vénérées en France. Ce projet, lancé par les laïcs, obtient le soutien d'évêques et de religieux, et rassemble une centaine de statues de la Vierge. Après avoir parcouru la France durant plusieurs années, les statues partent parcourir le monde entier, et différents projets s'agrègent et se développent autour de ce mouvement initial de « Vierge pèlerine ».