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Fort de Montmorency

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Le fort de Montmorency est un ouvrage fortifié construit à Montmorency dans le département du Val-d'Oise.

Extrait de l'article de Wikipedia Fort de Montmorency (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs).

Fort de Montmorency
Rue du Fort, Sarcelles

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Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 48.999853 ° E 2.325119 °
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Adresse

Fort de Montmorency

Rue du Fort
95160 Sarcelles
Île-de-France, France
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Montmorency (Val-d'Oise)
Montmorency (Val-d'Oise)

Montmorency (prononcé [mɔ̃mɔʁɑ̃ˈsi]) est une commune française, chef-lieu de canton du Val-d'Oise, située à environ treize kilomètres au nord des portes de Paris, et vingt et un kilomètres par la route de l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle. La population de Montmorency est en 2021, de 21 870 habitants, appelés les Montmorencéens. La stabilité du nombre d'habitants au cours des cinquante dernières années est la conséquence d'un espace constructible presque saturé se prêtant mal à de nouvelles constructions alors que, dans le même temps, la taille moyenne des foyers a tendance à baisser. Établie sur un relief très accidenté, à l'extrémité d'un éperon rocheux constituant un lieu stratégique occupé dès le IXe siècle, Montmorency est devenue dès le XVIIe siècle un lieu de villégiature recherché qui a attiré de nombreuses célébrités. À la même époque, se développe à Montmorency la culture d'un type bien particulier de cerises, des petits fruits au goût acidulé connus sous le nom de cerises de Montmorency, que Madame de Sévigné rend célèbres au travers de ses lettres. Le séjour de Jean-Jacques Rousseau d'avril 1756 à juin 1762 a durablement marqué la ville et en a fait un lieu de pèlerinage littéraire. Ancien fief de la famille de Montmorency, l'une des familles les plus anciennes et les plus distinguées de l'aristocratie française d'Ancien Régime, la commune conserve aujourd'hui un caractère résidentiel marqué à l'écart des grands axes de communication, avec son noyau villageois entouré de villas et de résidences de standing et l'absence d'ensemble industriel ou commercial d'importance. Commune essentiellement urbaine, Montmorency peut cependant proposer à ses habitants une trentaine d'hectares d'espaces verts publics, sans compter la forêt de Montmorency qui occupe la partie nord de son territoire. Elle bénéficie aussi de sa proximité avec la ville d'Enghien-les-Bains et de son lac.

Église Notre-Dame-et-Saint-Eugène de Deuil-la-Barre
Église Notre-Dame-et-Saint-Eugène de Deuil-la-Barre

L'église Notre-Dame-et-Saint-Eugène est une église catholique paroissiale située à Deuil-La Barre, en France. Ses origines remontent à la fin de l'époque mérovingienne, quand l'église de Deuil est un lieu de pèlerinage grâce aux miracles qui se produisent près de la tombe de saint Eugène qu'elle abrite. Un premier oratoire avait même été édifié vers le début du Ve siècle. Mais rien de ces premiers lieux de culte ne subsiste, et avec le départ des reliques de son saint protecteur pour la basilique Saint-Denis vers 850, Deuil quitte la scène de l'histoire jusqu'à ce que son église soit donnée à l'abbaye Saint-Florent de Saumur en 1066. Un prieuré est alors fondé à Deuil, et la construction de l'église romane actuelle est lancée. Elle commence par l'abside, qui ne subsiste plus, et se termine par la nef au début du XIIe siècle. La consolidation de la croisée du transept vers 1135 donne l'occasion d'installer quatre chapiteaux historiés, qui, avec un cinquième dans la chapelle sud, font la célébrité de l'église. Ils marquent en effet l'apogée de la sculpture romane dans le Val-d'Oise. Vers 1120, l'abside romane est remplacée par un spacieux chœur gothique muni d'un déambulatoire. Il ne se distingue pas par sa hauteur, qui est très modeste, mais par sa beauté et le raffinement de son architecture. C'est aussi l'unique chœur à déambulatoire et sans chapelles rayonnantes qui ne comporte qu'un seul niveau d'élévation. L'extérieur assez insipide de l'église et son clocher néoroman de 1868 ne font pas soupçonner les richesses architecturales de l'intérieur. La chute d'une V2 en août 1944 a partiellement détruit l'église, mais elle a été patiemment reconstruite à partir de ses débris, et la catastrophe ne laisse plus de trace. Après sa reconstruction, l'église a de nouveau été classée monument historique par arrêté du 4 octobre 1962.