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Piscop

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Piscop Mairie 9
Piscop Mairie 9

Piscop [pisko] est une commune française située dans le département du Val-d'Oise en région Île-de-France.

Extrait de l'article de Wikipedia Piscop (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Piscop
Górska, Bielsko-Biała Straconka

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N 49.0122222222 ° E 2.34361111111 °
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Górska
43-318 Bielsko-Biała, Straconka
województwo śląskie, Polska
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Piscop Mairie 9
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Lieux à proximité

Église Saint-Brice de Saint-Brice-sous-Forêt
Église Saint-Brice de Saint-Brice-sous-Forêt

L'église Saint-Brice est une église catholique paroissiale située à Saint-Brice-sous-Forêt, dans le Val-d'Oise. La fondation de la paroisse remonte au début du XIIe siècle, et c'est dans la seconde moitié du même siècle que commence la construction de l'église actuelle, par le clocher central qui subsiste à ce jour. Il est de style gothique primitif. Au second quart du XIIIe siècle, l'église est complétée par les bras du transept et des chapelles latérales, qui annoncent le style gothique rayonnant. Seul le croisillon nord a été préservé. L'église gothique étant devenue trop petite au début du XVIe siècle, sa nef et son chœur sont dédoublés par un long vaisseau de style gothique flamboyant, accompagné d'un collatéral au sud. Ce vaste complexe, dédicacé en 1525, a entièrement disparu. En effet, le chœur empiète sur le tracé rectifié de la route royale de Paris à Amiens, et sa démolition est pour les habitants l'occasion de décider la construction d'une nouvelle église. Elle se fait dans un bref délai de septembre 1778 à mai 1780, qui explique sans doute la facture rustique de l'édifice, dont seule la façade néo-classique donnant sur la rue a été soignée. Tout ce qui reste de l'ancienne église est démoli au plus tard au XIXe siècle, à l'exception du clocher et de l'ancien croisillon nord, qui sont classés aux monuments historiques bien plus tard, en 1964. À l'occasion d'une grande campagne de rénovation entre 1886 et 1889, l'intérieur subit une transformation néo-gothique pour lui donner un caractère plus solennel. Moins d'un siècle plus tard, ce décor ne donne plus satisfaction, et toute trace en est effacé lors de la restauration des années 1980. Depuis, l'église Saint-Brice se présente comme une grande salle rectangulaire sans marque particulière d'architecture religieuse. La vocation de l'édifice n'est soulignée que par le mobilier liturgique et les vitraux hagiographiques. Saint-Brice-sous-Forêt demeure une paroisse indépendante, et l'église Saint-Brice est le seul lieu de culte catholique de la commune. Les messes y sont célébrées tous les jours sauf le lundi.

Montmorency (Val-d'Oise)
Montmorency (Val-d'Oise)

Montmorency (prononcé [mɔ̃mɔʁɑ̃ˈsi]) est une commune française, chef-lieu de canton du Val-d'Oise, située à environ treize kilomètres au nord des portes de Paris, et vingt et un kilomètres par la route de l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle. La population de Montmorency est en 2021, de 21 870 habitants, appelés les Montmorencéens. La stabilité du nombre d'habitants au cours des cinquante dernières années est la conséquence d'un espace constructible presque saturé se prêtant mal à de nouvelles constructions alors que, dans le même temps, la taille moyenne des foyers a tendance à baisser. Établie sur un relief très accidenté, à l'extrémité d'un éperon rocheux constituant un lieu stratégique occupé dès le IXe siècle, Montmorency est devenue dès le XVIIe siècle un lieu de villégiature recherché qui a attiré de nombreuses célébrités. À la même époque, se développe à Montmorency la culture d'un type bien particulier de cerises, des petits fruits au goût acidulé connus sous le nom de cerises de Montmorency, que Madame de Sévigné rend célèbres au travers de ses lettres. Le séjour de Jean-Jacques Rousseau d'avril 1756 à juin 1762 a durablement marqué la ville et en a fait un lieu de pèlerinage littéraire. Ancien fief de la famille de Montmorency, l'une des familles les plus anciennes et les plus distinguées de l'aristocratie française d'Ancien Régime, la commune conserve aujourd'hui un caractère résidentiel marqué à l'écart des grands axes de communication, avec son noyau villageois entouré de villas et de résidences de standing et l'absence d'ensemble industriel ou commercial d'importance. Commune essentiellement urbaine, Montmorency peut cependant proposer à ses habitants une trentaine d'hectares d'espaces verts publics, sans compter la forêt de Montmorency qui occupe la partie nord de son territoire. Elle bénéficie aussi de sa proximité avec la ville d'Enghien-les-Bains et de son lac.

Église Sainte-Marie-Madeleine de Domont
Église Sainte-Marie-Madeleine de Domont

L'église Sainte-Marie-Madeleine est une église catholique paroissiale située à Domont, en France. Sa construction est sans doute enclenchée par la création de la paroisse de Domont en 1142, et elle peut être située au milieu du XIIe siècle. De dimensions modestes, son élévation sur trois niveaux avec un étage de galeries et son plan sont toutefois ambitieux, ce qui fait en partie l'intérêt de l'édifice. Il est de style gothique primitif, mais son déambulatoire est encore résolument roman, comme l'indique notamment son voûtement d'arêtes. Dans tout le nord de l'Île-de-France, son abside en hémicycle à déambulatoire semble être la plus ancienne, et Domont est en même temps l'une des rares églises de la région à posséder un déambulatoire mais pas de chapelles rayonnantes. Domont ayant été le siège d'un prieuré dépendant du prieuré clunisien Saint-Martin-des-Champs de Paris, de 1108 à 1790, il est probable que le chœur de l'église Saint-Martin-des-Champs ait inspiré celui de Domont. Ce chœur n'est pas seulement réputé pour ses qualités artistiques et l'harmonie de son architecture, mais également pour une innovation qui y apparaît pour la première fois dans la région. Ce sont les arcs-boutants de l'abside, encore peu prononcés, et recopiés directement sur ceux de la cathédrale de Sens. Après son achèvement, l'église de Domont n'a connu que des remaniements modérés, mais son délabrement rapide à partir du milieu du XVIIIe siècle conduit à sa fermeture au culte en 1785, et elle faillit être entièrement démolie pour être remplacée par un nouvel édifice. Seule la pénurie d'argent dans la période post-révolutionnaire empêche la réalisation de ce projet, mais également une restauration et reconstruction rapide. L'essentiel des travaux n'est entrepris qu'entre 1844 et 1857, et il faut attendre la restauration complète de 2002-2004 pour que l'église retrouve enfin toute sa splendeur du XIIe siècle. Son chœur et sa croisée du transept ont été classés monument historique par arrêté du 22 juillet 1913.

Église Notre-Dame-de-l'Assomption d'Ézanville
Église Notre-Dame-de-l'Assomption d'Ézanville

L'église Notre-Dame-de-l'Assomption est une église catholique paroissiale située à Ézanville, en France. Son chœur gothique flamboyant des années 1540, terminé dans le goût de la Renaissance, constitue sa seule partie remarquable. Il se compose de trois travées droites et d'une abside à cinq pans, et est généreusement éclairé. Malgré ses petites dimensions, une largeur de 6 m, une hauteur de 9 m, et une longueur de 15,30 m dans l'œuvre, son architecture est d'un grand raffinement. Elle se caractérise notamment par des piliers ondulés engagés dans les murs, portant des frises sculptées de motifs végétaux en guise de chapiteaux, et par des voûtes aux clés pendantes. Les deux dernières voûtes sont agrémentées de liernes et tiercerons. Dans l'abside, les nervures décrivent un dessin original évoquant les pétales d'une fleur. Au nord, le chœur était primitivement à deux niveaux d'élévation ; ce n'est plus le cas que dans la première travée. Le vaisseau est flanqué d'un clocher sans caractère du XIVe siècle ; d'une sacristie issue de la transformation d'une chapelle latérale ; et d'une petite chapelle basse. La nef est moderne et a été inaugurée en 1967 seulement. L'ancienne nef avait été démolie en 1832, quand la commune ne pouvait faire face aux frais de restauration. Le chœur seul a été classé monument historique par arrêté du 2 avril 1915. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption fait aujourd'hui partie du groupement paroissial d'Écouen, Ezanville, Bouqueval, Le Plessis-Gassot. Des messes dominicales anticipées y sont célébrées chaque samedi à 18 h.