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Gare de Montsoult - Maffliers

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Gare de Montsoult Maffliers 01
Gare de Montsoult Maffliers 01

La gare de Montsoult - Maffliers est une gare ferroviaire française de la Paris - Beauvais - Le Tréport-Mers, située sur le territoire de la commune de Montsoult (département du Val-d'Oise), la partie sud des voies étant sur le territoire de la commune de Baillet-en-France. Elle dessert également la commune de Maffliers, au nord de Montsoult. Elle est la tête de ligne de l'embranchement de Luzarches. Elle se situe à 24,4 km de la gare de Paris-Nord. C'est une gare SNCF desservie par les trains de la ligne H du Transilien.

Extrait de l'article de Wikipedia Gare de Montsoult - Maffliers (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Gare de Montsoult - Maffliers
Rue Émile Combres, Sarcelles

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Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 49.066209 ° E 2.322854 °
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Adresse

Voies 2 et 4

Rue Émile Combres
95560 Sarcelles
Île-de-France, France
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Gare de Montsoult Maffliers 01
Gare de Montsoult Maffliers 01
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Statue de Notre-Dame de France (Baillet-en-France)
Statue de Notre-Dame de France (Baillet-en-France)

La statue de Notre-Dame de France est une œuvre monumentale, œuvre du sculpteur Roger de Villiers, et forgée par Raymond Subes pour décorer le pavillon pontifical lors de l'exposition universelle de 1937 à Paris. La statue en cuivre doré mesure 7,2 m et représente la Vierge Marie portant sur son épaule l'Enfant Jésus, les bras ouverts sur le monde. Conservée en place un an après l'exposition, Mgr Jean Verdier émet le souhait que la statue ne soit pas détruite, mais installée sur une colline proche de Paris. Il lance une levée de fonds en ce sens, mais la guerre et sa mort mettent fin au projet. En 1959, la statue est installée au sommet de l'église Saint-Honoré d'Amiens. Elle y reste jusqu'en 1982 où elle doit être démontée du fait de fissures dans sa structure. Entreposée plusieurs années, à l'abandon, elle est récupérée en 1984 par Edmond Fricoteaux, notaire à Saint-Denis, qui souhaite faire ériger une grande statue de la Vierge, en remerciement à la suite de sa conversion. La statue est installée à Baillet-en-France, à 18 km au nord de Paris, en octobre 1988, en pleins champs, au bord de la nationale 1, au sommet d'un piédestal de 25 m de haut. Au pied de la statue, un oratoire, puis une petite chapelle sont construits. L'évêque installe un prêtre comme chapelain de ce « sanctuaire » qui reçoit beaucoup de visites et rassemble régulièrement des communautés chrétiennes. En 1994 débute un nouveau projet de « Vierges pèlerines », copies de la statue Notre-Dame de France, mais aussi d'autres Vierges vénérées en France. Ce projet, lancé par les laïcs, obtient le soutien d'évêques et de religieux, et rassemble une centaine de statues de la Vierge. Après avoir parcouru la France durant plusieurs années, les statues partent parcourir le monde entier, et différents projets s'agrègent et se développent autour de ce mouvement initial de « Vierge pèlerine ».

Église Saint-Sulpice de Montsoult
Église Saint-Sulpice de Montsoult

L'église Saint-Sulpice est une église catholique paroissiale située à Montsoult, en France. Elle succède à une église du XIIe ou du XIIIe siècle, qui a été presque entièrement reconstruite pendant la première moitié du XVIe siècle dans le style gothique flamboyant. Sa dédicace a été célébrée en 1543. C'est un édifice assez simple, qui se distingue par son plan inhabituel à double nef, ce qui en fait une église-halle. L'instabilité du terrain a motivé plusieurs reprises, et l'extérieur est sans grand caractère. La façade du XVIIIe siècle est influencée par le style classique, et devrait normalement être enduite. L'intérieur tient son caractère des huit voûtes d'ogives, dont certaines retombent sur des piliers agrémentés de frises sculptées. L'église a été inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du 16 juin 1926. Des désordres de structure ont motivé une longue campagne de restauration entre 1967 et 1976. Pratiquement tout le mobilier ancien a été enlevé de l'église, et elle a été redécorée par la suite. Les fonts baptismaux, quatre statues et un tableau sont les seuls éléments antérieurs à la Révolution française maintenus en place. Aujourd'hui, l'église Saint-Sulpice est le principal lieu de culte d'un regroupement paroissial qui s'étend sur quatre communes. Les messes dominicales y sont célébrées la plupart des dimanches à 11 heures.

Église Notre-Dame-des-Champs de Maffliers
Église Notre-Dame-des-Champs de Maffliers

L'église Notre-Dame des Champs, officiellement dédiée à Notre-Dame-de-l'Assomption, est une église catholique paroissiale située à Maffliers, dans le Val-d'Oise, en France. Elle remplace probablement une ancienne chapelle dédiée à Saint-Blaise. L'église paroissiale primitive était la chapelle Notre-Dame-des-Champs, qui se situait rue de Beaumont, et qui a été démolie en 1793. Seule une statue en bois de la Vierge à l'Enfant du début du XIVe siècle en subsiste. Restaurée en 1875, elle est installée dans l'église, et connue désormais comme Notre-Dame-des-Champs, ce qui explique le vocable d'usage de l'église. Celle-ci se compose d'un clocher de 1574 ; d'une haute nef unique bâtie dans un délai de neuf mois en 1859 ; et d'un chœur Renaissance avec deux chapelles latérales et abside pentagonale des années 1554-1556. Ses parties orientales sont remarquables, et d'une facture élégante, et se caractérisent par les hautes colonnes engagées supportant la voûte de l'abside, et ses chapiteaux d'ordre dorique et corinthien, surmontés de sections d'entablement. L'extérieur est également soigné. L'église est inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du 2 février 1931, et restaurée entre 1980 et 1983. Aujourd'hui, le chœur est encombré par des étais. Depuis 1946, Maffliers fait partie d'un regroupement paroissial avec Baillet-en-France, Montsoult et Nerville-la-Forêt, et les messes dominicales ne sont plus célébrées qu'occasionnellement en l'église Notre-Dame-des-Champs.

Église Saint-Martin d'Attainville
Église Saint-Martin d'Attainville

L'église Saint-Martin est une église catholique paroissiale située à Attainville, en France. Elle succède à une église précédente dont la dédicace n'a été célébrée qu'en 1529. Mais cette église menace ruine en 1570, et doit être remplacée d'urgence. Bien que la paroisse ne dispose pas d'économies, un emprunt permet de lancer les travaux en 1572. La direction du chantier est confiée au maître-maçon Nicolas de Saint-Michel de Luzarches, qui adopte un plan simple sans transept et une élévation dans la tradition des églises gothiques flamboyantes. Il conçoit un agréable décor dans le style Renaissance, dont il maîtrise parfaitement le vocabulaire ornemental. Les travaux progressent très rapidement. Quand les fonds viennent de manquer en 1575, l'édifice n'est pas entièrement achevé. La consécration est néanmoins célébrée en septembre 1576, et l'église est utilisée pour le culte à partir de cette date. Elle est sobre, élégante et lumineuse. Malgré la répétition des mêmes motifs sur tous les supports de la nef et des bas-côtés, la monotonie ne s'installe pas. La façade occidentale, l'étage de beffroi du clocher, la majeure partie du bas-côté nord et les voûtes ne sont bâtis qu'ultérieurement. Ainsi, l'achèvement définitif n'a lieu qu'en 1817. Pour tous les ajouts postérieurs à 1576, l'esprit de l'architecture d'origine est tout à fait respecté, et l'homogénéité de l'ensemble est étonnante. L'église est classée monument historique depuis 1912. Elle représente un exemple remarquable de l'architecture Renaissance en Pays de France, et tout en sachant qu'elle n'a pas été achevée lors de sa consécration, elle peut être considérée comme l'une des églises au délai de construction le plus bref.