place

Eschbach-au-Val

Aire d'attraction de ColmarArticle avec module Population de FranceArticle avec modèle Blason-ville-frArticle avec modèle Infobox Commune de FranceArticle avec modèle Section communes limitrophes d'article de commune de France avec tableau
Article avec une section vide ou incomplèteArticle de Wikipédia avec notice d'autoritéArticle géolocalisé en FranceArticle géolocalisé sur TerreArticle utilisant le modèle Dictionnaires inactifArticle utilisant une InfoboxCommune dans le Haut-RhinCommune du parc naturel régional des Ballons des VosgesCommune sans église en FranceCommune touristique en FrancePage avec des cartesPage pointant vers des bases externesPage pointant vers des bases relatives à la géographiePage pointant vers des bases relatives à plusieurs domainesPopulation de 2016 en infoboxUnité urbaine de Munster
Eschbach au Val, Mairie
Eschbach au Val, Mairie

Eschbach-au-Val est une commune française située dans la circonscription administrative du Haut-Rhin et, depuis le 1er janvier 2021, dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est. Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.

Extrait de l'article de Wikipedia Eschbach-au-Val (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Eschbach-au-Val
L 3108, Oberzent

Coordonnées géographiques (GPS) Adresse Lieux à proximité
placeAfficher sur la carte

Wikipedia: Eschbach-au-ValContinuer à lire sur Wikipedia

Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 48.0319 ° E 7.1458 °
placeAfficher sur la carte

Adresse

L 3108
64760 Oberzent
Hesse, Germany
mapOuvrir sur Google Maps

Eschbach au Val, Mairie
Eschbach au Val, Mairie
Partager l'expérience

Lieux à proximité

Abbaye de Munster
Abbaye de Munster

L’abbaye de Munster, dite aussi abbaye Saint-Grégoire, est une ancienne abbaye dont les ruines se trouvent au centre de la ville de Munster, dans le département du Haut-Rhin, en France. L’abbaye a été fondée vers 660 dans la vallée de Munster, à la confluence de la Petite et de la Grande Fecht, bien qu’il ne soit pas exclu que des moines aient pu être établis dans la vallée dès 633. Créée dans le but de contribuer à la réintroduction du christianisme dans une région où il était en recul depuis la fin de l’Empire romain d’Occident, elle bénéficie des largesses des rois des Francs, notamment Childéric II et Louis le Pieux. Longtemps restée un établissement modeste, l’abbaye croît ainsi considérablement sous le règne de ce dernier et possède à la fin du IXe siècle une grande partie de la vallée. La richesse de l’abbaye attire rapidement les convoitises et elle est l’objet dans les siècles qui suivent de nombreux conflits entre les évêques de Bâle, ceux de Strasbourg et les empereurs du Saint-Empire romain germanique. L’abbaye décline spirituellement et matériellement dès la fin du XIIIe siècle en raison du relâchement de la règle dans ses murs et de l’hostilité croissante de la population alentour, qui se convertit massivement au protestantisme au début du XVIe siècle. Le déclin de l’abbaye se poursuit jusqu’à l’annexion de l’Alsace par Louis XIV. Afin de favoriser le retour du catholicisme dans la région, l’abbaye de Munster est unie en 1659 à la Congrégation de Saint-Vanne et Saint-Hydulphe, dont les membres repeuplent et reconstruisent les bâtiments délabrés. Au cours du XVIIIe siècle, l’abbaye devient ainsi un centre intellectuel d’importance régionale, par lequel transitent par exemple l’abbé Charles Marchant ou le théologien Augustin Calmet. Cet élan est interrompu par la Révolution française, qui a pour conséquence la dissolution de l’abbaye ainsi que la confiscation et la revente de ses biens. Une partie des bâtiments conventuels, notamment l’église abbatiale, sont détruits dans les années suivant la Révolution et la majeure partie du reste pendant les bombardements de la Première Guerre mondiale, ne laissant subsister que le logis abbatial et quelques ruines du cloître. L’ensemble de ces vestiges est inscrit au titre des monuments historiques depuis le 25 mai 1990. Après avoir été largement laissés à l’abandon depuis les années 1990, ils font l’objet au début des années 2020 d’un projet de valorisation.