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Rue des Vieilles-Garnisons

Ancien nom de voie parisienneArticle géolocalisé en FranceArticle géolocalisé sur TerreArticle utilisant une InfoboxPage avec des cartes
Voie citée dans rues de Paris en 1636Voie de Paris disparueVoie de Paris sans code
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La rue des Vieilles-Garnisons est une ancienne voie de Paris qui était située dans l'ancien 9e arrondissement (actuel 4e arrondissement). Elle disparait au début du XIXe siècle.

Extrait de l'article de Wikipedia Rue des Vieilles-Garnisons (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Rue des Vieilles-Garnisons
Rue de la Verrerie, Paris Paris 4e Arrondissement (Paris)

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Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 48.85745 ° E 2.35316 °
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Adresse

Le BHV Marais (Bazar de l'Hôtel de Ville)

Rue de la Verrerie
75004 Paris, Paris 4e Arrondissement (Paris)
Île-de-France, France
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Lieux à proximité

Massacre de la Saint-Barthélemy
Massacre de la Saint-Barthélemy

Le massacre de la Saint-Barthélemy est un événement tragique de l'histoire de France survenu le 24 août 1572, jour de la Saint-Barthélemy et durant lequel plusieurs milliers de protestants sont massacrés par des catholiques à Paris. Ce massacre se prolonge pendant plusieurs jours dans la capitale, puis s'étend à plus d'une vingtaine de villes durant les semaines suivantes voire les mois suivants. Cet événement des guerres de Religion résulte d'un enchevêtrement complexe de facteurs, aussi bien religieux et politiques que sociaux. Il est la conséquence des déchirements de la noblesse française entre catholiques et protestants, notamment de la vendetta entre la maison de Guise, catholique, et le clan des Châtillon-Montmorency, catholiques modérés et protestants. Il intervient deux ans après la paix de Saint-Germain-en-Laye, alors que l'amiral de Coligny, chef du parti protestant, vient de réintégrer le conseil royal. Aggravé par la réaction catholique parisienne hostile à la politique royale d'apaisement, il reflète également les tensions internationales entre les royaumes de France et d'Espagne, avivées par l'insurrection anti-espagnole aux Pays-Bas. Faute de sources, les historiens sont longtemps restés partagés sur le rôle exact de la couronne de France, et la tradition historiographique a fait du roi Charles IX et de sa mère, Catherine de Médicis, les principaux responsables du massacre. Ils retiennent aujourd'hui que seuls les chefs militaires du parti protestant étaient visés par le gouvernement. Dès le matin du 24 août, Charles IX ordonne l'arrêt immédiat des tueries mais, dépassé par l'acharnement des massacreurs, il ne peut les empêcher.

Conférence de la paix de Paris
Conférence de la paix de Paris

La conférence de la paix de Paris en 1919 est une conférence internationale, organisée par les vainqueurs de la Première Guerre mondiale afin de négocier les traités de paix entre les Alliés et les vaincus. La conférence débute le 18 janvier 1919 et se termine en août 1919, après six mois de discussions et 1 646 séances tenues par 52 commissions techniques avec entre-temps quelques interruptions. Elle prépare le traité de Versailles qui sera signé le 28 juin 1919 et d'autres traités avec les alliés allemands qui sont signés à d'autres endroits dans la banlieue parisienne. Elle consacre la disparition de trois empires, l'Empire allemand, l'Empire austro-hongrois et l'Empire ottoman, et la création de nouveaux États en Europe : renaissance de la Pologne, création de la Tchécoslovaquie et de la Yougoslavie. Les colonies allemandes sont partagées entre le Royaume-Uni, la France, la Belgique, l’Afrique du Sud, les États-Unis et le Japon, tandis que le Proche-Orient, anciennement possession turque, est divisé en mandats attribués par la Société des Nations à la France et au Royaume-Uni. Des réparations de guerre sont exigées de l'Allemagne, qui voit son territoire à l'est amputé, entre autres, du couloir de Dantzig, administré par la Pologne, comme d'une partie de la Haute-Silésie, tandis que le Reichsland Elsass-Lothringen redevient français, que le nord du Schleswig redevient danois et que la région d'Eupen et de Malmédy est attribuée à la Belgique.