place

Palais épiscopal de Gand

Article avec une section vide ou incomplèteArticle contenant un appel à traduction en anglaisArticle contenant un appel à traduction en néerlandaisArticle géolocalisé en BelgiqueArticle utilisant l'infobox Monument
Article utilisant le modèle Dictionnaires inactifArticle utilisant une InfoboxMaison à GandPage avec des cartesPage pointant vers des bases externesPage pointant vers des bases relatives à l'architecturePalais en BelgiquePalais épiscopalPatrimoine immobilier classé dans la Région flamande
Bisschoppelijk Paleis Gent
Bisschoppelijk Paleis Gent

Le palais épiscopal de Gand est le siège administratif de l'évêché de Gand en Belgique et la résidence de l'évêque. Il est situé sur la place de l'Évêché (Bisdomplein) à Gand. Il est monument protégé depuis 1996 ,.

Extrait de l'article de Wikipedia Palais épiscopal de Gand (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Palais épiscopal de Gand
Bisdomplein, Gand

Coordonnées géographiques (GPS) Adresse Liens externes Lieux à proximité
placeAfficher sur la carte

Wikipedia: Palais épiscopal de GandContinuer à lire sur Wikipedia

Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 51.05278 ° E 3.72861 °
placeAfficher sur la carte

Adresse

Bisschoppelijk Paleis

Bisdomplein 1
9000 Gand (Gand)
Flandre orientale, Belgique
mapOuvrir sur Google Maps

linkWikiData (Q3162713)
linkOpenStreetMap (116364506)

Bisschoppelijk Paleis Gent
Bisschoppelijk Paleis Gent
Partager l'expérience

Lieux à proximité

Koninklijke Academie voor Nederlandse Taal- en Letterkunde
Koninklijke Academie voor Nederlandse Taal- en Letterkunde

La Koninklijke Academie voor Nederlandse Taal- en Letterkunde ou KANTL (« Académie royale de langue et littérature néerlandaises ») est une institution belge située à Gand. Elle a été fondée en 1886 afin de stimuler la vie culturelle et littéraire en Flandre. L'académie s'appelait Koninklijke Vlaamse Academie voor Taal- en Letterkunde (« Académie royale flamande de langue et de littérature ») jusqu'en 1974, lorsqu'un décret du Conseil culturel de la Communauté flamande (le précurseur du Gouvernement flamand) décida que le néerlandais était la dénomination officielle de la langue parlée en Flandre. L'académie fut la première institution officielle de Belgique où était étudié de façon scientifique le néerlandais. Sa compétence a été plus tard limitée à la langue et à la littérature néerlandaises, pour lesquelles elle a toujours une fonction de conseil auprès du gouvernement flamand. Elle a joué un rôle important dans l'émancipation flamande et a en grande partie mené le Mouvement flamand sur le terrain culturel et intellectuel. Politiquement, l'académie est toutefois toujours restée neutre. Depuis 1939, l'académie comprend 30 membres ordinaires et 25 membres d'honneur étrangers. Son secrétariat et sa bibliothèque sont situés à la Koningstraat à Gand. L'académie remet tous les cinq ans le Prijs Proza KANTL doté de 6 250 €. Son équivalent francophone est l'Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique.

Hôtel de ville de Gand
Hôtel de ville de Gand

L’hôtel de ville de Gand est le siège de l’autorité municipale de la ville de Gand en Belgique. L’hôtel de ville de Gand est un ensemble composite de corps de bâtiments contigus, édifiés à des époques différentes (au moins onze campagnes de construction ont été dénombrées), dans les styles les plus divers, et occupant tout l’îlot délimité par la rue Hoogpoort au nord, le Botermarkt (ci-devant marché au Beurre) à l’est, le Poeljemarkt (marché aux Poulets) au sud, et la Stadhuissteeg (impasse de l’Hôtel de ville) à l’ouest. Pour partie, cette hétérogénéité s’explique par les dispositions de l’ordonnance de Senlis de 1301, laquelle prescrivait que les pouvoirs fussent répartis entre deux collèges d’échevins, ceux-ci occupant chacun un bâtiment à part : les échevins de la Keure, ayant compétence en matière d’administration, de gestion financière et d’affaires pénales, et les échevins des Parchons (néerl. schepenen van Gedele), habilités seulement à traiter des questions de succession et de tutelle. De la toute première maison de la Keure ne subsiste qu’un vieux sous-sol, à l’angle de la Hoogpoort et du Botermarkt, constitué de deux voûtes en berceau soutenues par un alignement de colonnes en gothique primitif. Le corps de bâtiment le plus ancien de tout l’ensemble est l’ancienne maison de la Keure datant de 1482, située au milieu de l’îlot, enserrée par les autres édifices, et par là non visible de la rue ; elle est constituée de deux salles superposées, dont celle du rez-de-chaussée fait office aujourd’hui de salle du Conseil de la municipalité ; l’intérieur en fut réaménagé par Viollet-le-Duc. Au début du XVIe siècle, l’on fit appel aux architectes Keldermans et De Waghemaeker pour établir les plans d’une nouvelle maison de la Keure ; de ces plans, qui prévoyaient une construction très vaste, ne fut réalisé finalement, en raison de difficultés politiques et financières, que le quart environ, à savoir l’actuel corps de bâtiment, de style gothique brabançon dans sa dernière phase, occupant la face nord du quadrilatère ainsi que l’angle de la Hoogpoort et du Botermarkt. En 1580, ce corps de bâtiment reçut une extension vers l’est, sur la Hoogpoort, sous la forme d’une aile cette fois de style renaissance (le gothique étant alors passé de mode), appelée Bollaertskamer. À la fin du XVIe siècle, ce fut au tour des échevin des Parchons à se faire construire un somptueux édifice : l’aile renaissance occupant la face est de l’îlot, sur le Botermarkt, et une partie de la face sud. Les travaux de construction de ce corps de bâtiment, progressant difficilement, et mettant à contribution successivement plusieurs architectes, se prolongèrent jusqu’au XVIIIe siècle. Il fut restauré et remanié dans la décennie 1870, notamment avec la participation de Viollet-le-Duc. Parmi les autres bâtiments du complexe sont à mentionner : la Conciergerie (néerl. Portiersloge), à l’angle Hoogpoort/Stadhuissteeg, reconstruite en style baroque, la Maison des Pauvres (Armenkamer), de 1531, fortement remaniée en 1750, la Salle de la Pacification, ainsi dénommée parce qu’y fut signée et proclamée la pacification de Gand en 1576, la chapelle des échevins et, à l’étage, la Salle du Trône. Portail de la Flandre-Orientale Portail de l’architecture et de l’urbanisme