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Église Saint-Jacques de Gand

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Gent Sint Jacobs 6 08 2008 16 06 03
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L’église Saint-Jacques (en néerlandais : Sint-Jacobskerk) est un édifice religieux catholique de la ville de Gand, capitale de la province de Flandre-Orientale, en Belgique.

Extrait de l'article de Wikipedia Église Saint-Jacques de Gand (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Église Saint-Jacques de Gand
Bij Sint-Jacobs, Gand

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Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 51.0565291 ° E 3.7276214 °
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Adresse

Sint-Jacobskerk

Bij Sint-Jacobs
9000 Gand (Gand)
Flandre orientale, Belgique
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linkWikiData (Q1998993)
linkOpenStreetMap (105194545)

Gent Sint Jacobs 6 08 2008 16 06 03
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Koninklijke Academie voor Nederlandse Taal- en Letterkunde
Koninklijke Academie voor Nederlandse Taal- en Letterkunde

La Koninklijke Academie voor Nederlandse Taal- en Letterkunde ou KANTL (« Académie royale de langue et littérature néerlandaises ») est une institution belge située à Gand. Elle a été fondée en 1886 afin de stimuler la vie culturelle et littéraire en Flandre. L'académie s'appelait Koninklijke Vlaamse Academie voor Taal- en Letterkunde (« Académie royale flamande de langue et de littérature ») jusqu'en 1974, lorsqu'un décret du Conseil culturel de la Communauté flamande (le précurseur du Gouvernement flamand) décida que le néerlandais était la dénomination officielle de la langue parlée en Flandre. L'académie fut la première institution officielle de Belgique où était étudié de façon scientifique le néerlandais. Sa compétence a été plus tard limitée à la langue et à la littérature néerlandaises, pour lesquelles elle a toujours une fonction de conseil auprès du gouvernement flamand. Elle a joué un rôle important dans l'émancipation flamande et a en grande partie mené le Mouvement flamand sur le terrain culturel et intellectuel. Politiquement, l'académie est toutefois toujours restée neutre. Depuis 1939, l'académie comprend 30 membres ordinaires et 25 membres d'honneur étrangers. Son secrétariat et sa bibliothèque sont situés à la Koningstraat à Gand. L'académie remet tous les cinq ans le Prijs Proza KANTL doté de 6 250 €. Son équivalent francophone est l'Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique.

Hôtel de ville de Gand
Hôtel de ville de Gand

L’hôtel de ville de Gand est le siège de l’autorité municipale de la ville de Gand en Belgique. L’hôtel de ville de Gand est un ensemble composite de corps de bâtiments contigus, édifiés à des époques différentes (au moins onze campagnes de construction ont été dénombrées), dans les styles les plus divers, et occupant tout l’îlot délimité par la rue Hoogpoort au nord, le Botermarkt (ci-devant marché au Beurre) à l’est, le Poeljemarkt (marché aux Poulets) au sud, et la Stadhuissteeg (impasse de l’Hôtel de ville) à l’ouest. Pour partie, cette hétérogénéité s’explique par les dispositions de l’ordonnance de Senlis de 1301, laquelle prescrivait que les pouvoirs fussent répartis entre deux collèges d’échevins, ceux-ci occupant chacun un bâtiment à part : les échevins de la Keure, ayant compétence en matière d’administration, de gestion financière et d’affaires pénales, et les échevins des Parchons (néerl. schepenen van Gedele), habilités seulement à traiter des questions de succession et de tutelle. De la toute première maison de la Keure ne subsiste qu’un vieux sous-sol, à l’angle de la Hoogpoort et du Botermarkt, constitué de deux voûtes en berceau soutenues par un alignement de colonnes en gothique primitif. Le corps de bâtiment le plus ancien de tout l’ensemble est l’ancienne maison de la Keure datant de 1482, située au milieu de l’îlot, enserrée par les autres édifices, et par là non visible de la rue ; elle est constituée de deux salles superposées, dont celle du rez-de-chaussée fait office aujourd’hui de salle du Conseil de la municipalité ; l’intérieur en fut réaménagé par Viollet-le-Duc. Au début du XVIe siècle, l’on fit appel aux architectes Keldermans et De Waghemaeker pour établir les plans d’une nouvelle maison de la Keure ; de ces plans, qui prévoyaient une construction très vaste, ne fut réalisé finalement, en raison de difficultés politiques et financières, que le quart environ, à savoir l’actuel corps de bâtiment, de style gothique brabançon dans sa dernière phase, occupant la face nord du quadrilatère ainsi que l’angle de la Hoogpoort et du Botermarkt. En 1580, ce corps de bâtiment reçut une extension vers l’est, sur la Hoogpoort, sous la forme d’une aile cette fois de style renaissance (le gothique étant alors passé de mode), appelée Bollaertskamer. À la fin du XVIe siècle, ce fut au tour des échevin des Parchons à se faire construire un somptueux édifice : l’aile renaissance occupant la face est de l’îlot, sur le Botermarkt, et une partie de la face sud. Les travaux de construction de ce corps de bâtiment, progressant difficilement, et mettant à contribution successivement plusieurs architectes, se prolongèrent jusqu’au XVIIIe siècle. Il fut restauré et remanié dans la décennie 1870, notamment avec la participation de Viollet-le-Duc. Parmi les autres bâtiments du complexe sont à mentionner : la Conciergerie (néerl. Portiersloge), à l’angle Hoogpoort/Stadhuissteeg, reconstruite en style baroque, la Maison des Pauvres (Armenkamer), de 1531, fortement remaniée en 1750, la Salle de la Pacification, ainsi dénommée parce qu’y fut signée et proclamée la pacification de Gand en 1576, la chapelle des échevins et, à l’étage, la Salle du Trône. Portail de la Flandre-Orientale Portail de l’architecture et de l’urbanisme

Musée de l'Industrie (Gand)
Musée de l'Industrie (Gand)

Le musée d'archéologie industrielle et du textile de Gand (MIAT), Museum voor Industriële Archeologie en Textiel, a été créé en 1976 et se trouve hébergé depuis 1990 dans une ancienne filature de coton, la filature Desmet-Guéquier, située dans le nord du vieux Gand, sous la boucle de la Lys, lieu où avaient tendance, pendant la première révolution industrielle, à se concentrer les manufactures de textile. Le bâtiment, qui date de 1905-1912, fut conçu à l’instar des manufactures de coton de Manchester : il se compose d’une série de salles spacieuses et est doté de vastes baies vitrées. Les 3 500 m2 d’espace que comporte l’édifice sont utilisés pour évoquer l’histoire de l’industrie gantoise, en mettant plus particulièrement l’accent sur l’activité textile. Dès le Moyen Âge, Gand fut un important centre de production de la laine, et aux XIIIe et XIVe siècles, les draps gantois étaient réputés loin au-delà des frontières ; à partir du XVe siècle, on assiste à la montée en puissance du lin ; enfin, dans la seconde moitié du XVIIIe siècle s’établirent les premières manufactures de coton. Tout au long du XIXe siècle, et jusque dans les années 1960, la ville demeurera un important centre textile. Le MIAT s’articule sur plusieurs «niveaux». Niveau 1 Galerie des machines Y sont exposés une trentaine de grandes machines anciennes (métiers à tisser le velours, machines à lin, moteurs électriques, machines à vapeur, etc.), datant pour la plupart des environs de 1900. Également: nombreuses peintures, notamment de l’exposition universelle de 1913. Niveau 3 Fonctionnement d’une usine à coton Cette section permet de se représenter comment le textile était fabriqué au XIXe et au début du XXe siècle. On peut y voir une fileuse à l’œuvre dans son atelier artisanal et un tisserand industriel s’activer sur une machine. Les applications textiles modernes sont évoquées également : protection nucléaire, navigation dans l’espace, veste pare-balles, etc. Niveau 4 Homme et technologie Cette section illustre la manière dont les innovations technologiques ont influencé la vie quotidienne et ont donné lieu à la société de consommation. On y trouve entre autres une fabrique de moutarde, un atelier typographique et une imprimerie. Niveau 5 Serpenter à travers le temps Cette section retrace la première révolution industrielle, au départ de l’année 1750 : manufactures, exode rural, la vapeur comme source d’énergie. Les mouvements sociaux et politiques sont illustrés à l’aide de photos et d’objets. C'est sur ce niveau qu'est exposée la pièce-maîtresse du musée : une mule-jenny, machine à filer anglaise, soumis au secret industriel, mais que le Gantois Liévin Bauwens réussit à introduire en fraude sur le continent en 1798.