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Bayrampaşa-Maltepe (métro d'Istanbul)

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District d'EyüpsultanPage avec des cartesStation de la ligne 1 du métro d'IstanbulStation de métro mise en service en 1989
Bayrampaşa metro station
Bayrampaşa metro station

Bayrampaşa-Maltepe est une station de la ligne M1 du métro d'Istanbul, en Turquie. Située dans le quartier de Topçular du district d'Eyüpsultan entre l'autoroute O3 et le carrefour formé des deux avenues Maltepe et Osmangazi, elle est inaugurée le 3 septembre 1989 avec l'ouverture de la ligne.

Extrait de l'article de Wikipedia Bayrampaşa-Maltepe (métro d'Istanbul) (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Bayrampaşa-Maltepe (métro d'Istanbul)
O-3,

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Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 41.03403 ° E 28.92035 °
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Adresse

Bayrampaşa-Maltepe

O-3
34055 , Topçular Mahallesi
Turquie
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Bayrampaşa metro station
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Chute de Constantinople
Chute de Constantinople

La chute de Constantinople ou encore la prise de Constantinople (en grec médiéval : Ἅλωσις τῆς Κωνσταντινουπόλεως, litt. « La prise de Constantinople » ; en turc : Konstantiniyye'nin fethi (ou İstanbul'un fethi), litt. « La conquête de Constantinople (actuellement Istanbul) ») est un siège historique qui aboutit, le 29 mai 1453, à la prise de la ville par les troupes ottomanes conduites par Mehmed II. Elle marque la disparition de l’Empire romain d'Orient, aussi qualifié d'Empire byzantin, et sa fin définitive en tant qu’entité politique et juridique. Le siège, qui commence au début du mois d’avril 1453, intervient alors que la situation de Constantinople s’est considérablement dégradée lors des siècles précédents. En 1453, l’Empire se réduit aux alentours de Constantinople et au Péloponnèse et il n’est plus en état de résister à la puissance montante qu’est l’Empire ottoman à cette époque. Ce dernier a déjà assiégé Constantinople à deux reprises sans résultats mais contrôle l'Anatolie et une grande partie des Balkans. Malgré de multiples appels à l’aide des Romains en direction de l’Occident, seules quelques rares troupes italiennes combattent aux côtés des 5 000 défenseurs constantinopolitains conduits par l’empereur Constantin XI. Ces 7 000 à 8 000 hommes sont largement surpassés en nombre par les 80 000 à 100 000 soldats ottomans soutenus par une flotte de plus de 120 navires. Après avoir résisté à plusieurs assauts, les Byzantins finissent par céder le 29 mai 1453. S’ensuit un large pillage de la ville puis l’entrée de Mehmed II dans la cité. Il gagne à cette occasion l’épithète de Fatih (le Conquérant) et fait de Constantinople la nouvelle capitale de son empire qui entre dans sa période faste. Au-delà de la fin d’un empire déjà moribond, la chute de Constantinople a un impact profond sur le monde et notamment en Occident. Héritier de l’Empire romain, traditionnel rempart à l’expansion musulmane en Orient, l’Empire byzantin laisse derrière lui un vide important. Cependant, malgré son déclin politique, l’Empire connaît lors de ses dernières années d'existence un profond renouveau culturel dont les principaux représentants comme Jean Bessarion ou Manuel Chrysoloras émigrent peu à peu en Italie et dans le reste de l’Europe à mesure que l’Empire byzantin s’étiole. De nombreux historiens, dont Jules Michelet, ont estimé que la chute de Constantinople constitue une vraie rupture marquant la fin du Moyen Âge et le début de la Renaissance. Toutefois, cette vision est de plus en plus remise en cause par des historiens contemporains, qui considèrent plutôt la chute de Constantinople comme une étape dans le processus de transmission du monde grec vers le monde latin, conduisant à la Renaissance.

Murailles de Constantinople
Murailles de Constantinople

Les murailles de Constantinople sont une série de remparts défensifs qui entourent et protègent la cité de Constantinople (aujourd'hui Istanbul en Turquie) depuis sa fondation par Constantin Ier comme la nouvelle capitale de l'Empire romain. Au travers de divers ajouts et modifications tout au long de son histoire, elles sont le dernier grand système de fortification de l'Antiquité et l'un des systèmes défensifs les plus complexes et les plus élaborés qui aient existé. D'abord construits par Constantin le Grand, les murs entourent la nouvelle cité de tous les côtés, la protégeant à la fois d'une attaque par terre ou par mer. Alors que la cité grandit, la célèbre triple enceinte défensive des murs théodosiens est construite au Ve siècle. Bien que les autres sections soient moins élaborées, quand les murs sont bien pourvus en effectifs, ils sont quasiment imprenables pour n'importe quel assiégeant médiéval. Ces défenses ont sauvé l'Empire byzantin lors des multiples sièges de Constantinople par les Avars, les Arabes, les Rus', les Bulgares et d'autres peuples. L'arrivée des canons utilisés comme arme de siège rend ces fortifications vulnérables. Toutefois, la technologie des canons n'est pas assez avancée pour être décisive et assurer à elle seule la prise de la ville ; les murs étant réparés le temps qu'ils soient rechargés. Finalement, la cité tombe face à l'immense armée ottomane le 29 mai 1453 après un siège de six semaines. Les murs restent en grande partie intacts durant la majeure partie de l'ère ottomane avant que des sections ne commencent à être démantelées durant le XIXe siècle, au moment où la cité commence à croître au-delà de ses limites médiévales. En dépit du manque d'entretien qui s'ensuit, la plus grande partie des murs survivent et sont encore debout aujourd'hui. Un programme de restauration de grande envergure est entamé dans les années 1980, ce qui permet aux touristes d'apprécier leur apparence originelle.