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Gare de Choisy-au-Bac

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Choisy au Bac (60), ancienne gare, côté voies 4
Choisy au Bac (60), ancienne gare, côté voies 4

La gare de Choisy-au-Bac est une gare ferroviaire française (fermée) de la ligne de Creil à Jeumont, située sur la commune de Clairoix, à proximité de Choisy-au-Bac, dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France. Elle est mise en service en 1894 par la Compagnie des chemins de fer du Nord. C'est une halte ferroviaire lorsque la Société nationale des chemins de fer français (SNCF) la ferme en 2011.

Extrait de l'article de Wikipedia Gare de Choisy-au-Bac (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Gare de Choisy-au-Bac
Avenue Léo Delibes, Compiègne

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N 49.442238 ° E 2.862244 °
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Avenue Léo Delibes

Avenue Léo Delibes
60280 Compiègne
Hauts-de-France, France
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Choisy au Bac (60), ancienne gare, côté voies 4
Choisy au Bac (60), ancienne gare, côté voies 4
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Lieux à proximité

Église Saint-Étienne de Clairoix
Église Saint-Étienne de Clairoix

L'église Saint-Étienne est une église catholique paroissiale située à Clairoix, dans l'Oise, en France. Elle a probablement été construite à partir du début du XIIIe siècle, mais les profonds remaniements à partir du XVIe siècle et la simplicité de son architecture ne permettent plus de reconstituer avec certitude l'évolution de l'édifice au fil des siècles. Ainsi, l'on ignore si les bas-côtés de la nef ont jamais été mis en œuvre, et comment s'explique l'enchevêtrement d'éléments gothiques et Renaissance sur l'étage de beffroi du clocher, qui se distingue du reste de l'édifice par son élégance, et n'a pas son pareil dans les environs. Il paraît seulement probable que l'actuelle croisée du transept était initialement une première travée droite du chœur, et que les actuels croisillons n'ont été ajoutés qu'à la période gothique flamboyante. Sous cette même campagne, toutes les voûtes sont refaites. Leurs clés de voûte délicatement sculptées font le principal intérêt de l'intérieur de l'église, hormis le mobilier. La clé de la base du clocher affiche les trois croissants d'Henri II, et renseigne ainsi sur la période de l'achèvement des remaniements flamboyants, au milieu du XVIe siècle. Le portail, de pure style Renaissance, est plaqué devant la façade un peu plus tard. Puis, au milieu du XVIIe siècle, un pilier du clocher est refait, ainsi que les supports des voûtes à l'ouest de l'ancien transept. Comme l'indique un départ de voûtes dans l'angle entre nef et ancien croisillon sud, le voûtement ou la construction des bas-côtés est encore à l'ordre du jour. Mais au début du XIXe siècle, il n'y a déjà plus (ou toujours pas) de bas-côtés, et les arcades reliant la base du clocher aux anciens croisillons du transept se trouvent bouchées. L'église Saint-Étienne est inscrite aux monuments historiques par arrêté du 4 février 1926. Elle est aujourd'hui affiliée à la paroisse des Seize Bienheureuses Carmélites de Compiègne.

Église de la Sainte-Trinité de Choisy-au-Bac
Église de la Sainte-Trinité de Choisy-au-Bac

L'église de la Sainte-Trinité est une église catholique paroissiale située à Choisy-au-Bac, dans l'Oise, en France. Elle n'est pas à confondre avec la basilique dédiée à saint Étienne, de fondation plus ancienne, qui jouait un rôle important à l'époque mérovingienne, et fut abandonnée à la Révolution française. La construction de l'église paroissiale actuelle débuta au début du XIIe siècle par la nef romane, et se poursuivit après le milieu du XIIe siècle par le transept avec ses deux absidioles et la façade, qui hésitent entre le roman et le gothique, pour s'achever au début du XIIIe siècle par l'abside et le clocher, clairement gothiques. Sa configuration s'inscrit dans la tradition des basiliques romanes du Soissonnais de la seconde moitié du XIe siècle, et les nombreux partis archaïsants, dont l'absence de colonnettes à chapiteaux dans la nef et le transept, le voûtement en cul-de-four des absidioles à une période aussi avancée, et l'absence de contreforts devant l'abside, pourtant voûtée d'ogives dès l'origine, s'expliquent difficilement. La restauration radicale que l'église a subi entre 1853 et 1885 a effacé définitivement les indices qui auraient pu permettre de comprendre l'histoire de l'édifice. L'extérieur est en grande partie néo-gothique, mais est censé s'inspirer de son architecture d'origine. L'élément le plus authentique et le plus original est sans doute le clocher, d'un style dépouillé mais d'une silhouette puissante. C'est le seul dans la région à présenter autant de baies sur l'étage de beffroi. L'église de la Sainte-Trinité a été classée aux monuments historiques par arrêté du 5 février 1920. Elle est aujourd'hui affiliée à la paroisse des Seize Bienheureuses Carmélites de Compiègne.

Canal Seine-Nord Europe
Canal Seine-Nord Europe

Le canal Seine-Nord Europe (CSNE) est un projet visant à relier par un nouveau canal à grand gabarit le bassin versant de la Seine et notamment l'agglomération parisienne avec le réseau fluvial du Nord de la France et du Benelux. Pour cela, ce canal de 106 km doit relier l'Oise (au niveau de Compiègne dans l'Oise) au canal Dunkerque-Escaut (à Aubencheul-au-Bac dans le Nord). Son coût a d'abord été estimé à un montant de 4,3 milliards d’euros (plates-formes trimodales incluses), partiellement financé par un partenariat public-privé, prévu par la loi Grenelle I du 3 août 2009, loi promulguée à la suite du Grenelle de l'environnement. Ce canal est également appelé canal Seine-Nord, canal Seine-Nord-Escaut (CSNE) ou encore liaison Seine-Escaut... Un rapport du Conseil général de l'environnement et du développement durable (CGEDD) et de l'Inspection générale des finances (IGF) de janvier 2013 estimait le coût réel à plus de 7 milliards,. Frédéric Cuvillier, ministre délégué aux Transports, déclarait : « Le coût du canal a été sous-évalué, les recettes ont été surestimées et le financement était tout simplement inatteignable ». Il proposait de relancer le dossier en modifiant le tracé du canal et en revoyant son architecture, tout en présentant un nouveau dossier à la Commission européenne afin qu'un tiers du projet soit financé par l'UE. En juillet 2015, l'Union européenne confirme qu'elle financera la première phase de travaux du canal à hauteur de 42 %. Cette contribution décisive permet de débloquer le projet et, en novembre 2016, l'État, les régions Hauts-de-France et Île-de-France annoncent un accord pour financer le canal, dont la construction doit démarrer en 2017. Mais, en juillet 2017, à quelques semaines du début des travaux, le Premier ministre Édouard Philippe décide de suspendre le projet qui a cependant été relancé en octobre 2017 et confirmé par la loi d'orientation des mobilités en 2018. Les travaux ont commencé en octobre 2022, l'inauguration étant escomptée en 2030.