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Lesterny

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NassognePage avec des cartes
Lesterny 030601 (1)
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Lesterny [lɛstɛʁni] (en wallon Lesterni) est une section de la commune belge de Nassogne située en Région wallonne dans la province de Luxembourg. C'était une commune à part entière avant la fusion des communes de 1977. Commune du département de Sambre-et-Meuse sous le régime français, Lesterny fusionne avec Forrières en 1823, pour redevenir une commune autonome le 26 août 1907 dans la province de Luxembourg.

Extrait de l'article de Wikipedia Lesterny (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Lesterny
Rue du Point d'Arrêt,

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N 50.11166 ° E 5.28022 °
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Rue du Point d'Arrêt 10
6953
Luxembourg, Belgique
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Lesterny 030601 (1)
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Lieux à proximité

Bure (Belgique)
Bure (Belgique)

Bure est une section de la commune belge de Tellin située en Région wallonne et province de Luxembourg. C'était une commune à part entière avant la fusion des communes de 1977, quand elle passa de l'arrondissement administratif de Dinant, en province de Namur, à l'arrondissement administratif de Neufchâteau, en province de Luxembourg. C'était une commune du département de Sambre-et-Meuse sous le régime français. Le village possède le Collège d'Alzon, établissement d'enseignement secondaire fondé le 16 octobre 1900 par les Pères Assomptionnistes. Les villageois ont continué à l'appeler "le château". À la suite de la guerre 1914-1918, il fermera ses portes, par manque de moyens, pour rouvrir vers 1923. Les élèves et les pères assomptionnistes devaient aller mendier le dimanche, dans les villages environnants, pour avoir à manger la semaine. Durant l'entre-deux-guerres, il s'est d'abord appelé "L'alumnat de Bure", ensuite durant les années 1950 et 1960, l'institut Marie-Médiatrice. Jusqu'en 1960, le père LIguori continua à visiter les familles de bienfaiteurs dans toute la Belgique, qui lui remettaient de l'argent pour aider l'école et la communauté. Ses confrères le surnommaient "le père mendiant". Du 23 décembre 1944 au 9 janvier 1945, Bure fut le théâtre de durs combats entre troupes britanniques et allemandes lors de la Bataille des Ardennes. Le saint-patron de l'église est saint Lambert. La chapelle Notre-Dame de Haurt date d’il y a trois siècles. Bure à la même étymologie que Bure en Moselle (France). Il s'agit du mot "boron" en vieux haut allemand qui signifier percer, forer (un puits de mine). Le nom bure désigne un puits de mine, par extension une mine.

Château de Mirwart
Château de Mirwart

Le château de Mirwart est situé dans le village belge de Mirwart en province de Luxembourg. Sis sur un promontoire rocheux dominant la vallée de la Lomme, son origine remonte à une forteresse bâtie au début du XIe siècle par un seigneur lotharingien. Celui-ci voulait en effet se protéger contre les belliqueux seigneurs de Bouillon et d’Orchimont. Les seigneurs de Mirwart devinrent, toutefois, eux-mêmes des oppresseurs sans vergogne. Peu de temps après, ils s’attirèrent la rancœur des moines de Saint-Hubert et au cours du même siècle, ils se firent chasser de leur domaine par le prince-évêque de Liège, Henri Ier de Verdun, qui avait pris la défense des moines. C’est d’ailleurs l’abbé de Saint-Hubert qui fit démanteler la forteresse en 1083. Cet acte ne fut toutefois pas du goût du prince-évêque Otbert, car après avoir repris le contrôle du fief, il fit reconstruire la forteresse et céda le domaine à Bovon de Waha dès 1099. En 1293, le fief fut acheté par Jean d’Avesnes mais la vente fut contestée par le prince-évêque de Liège. Cette contestation allait déclencher un conflit opposant le prince-évêque Jean de Sponheim aux comtes de Hainaut, de Luxembourg, de Namur et de Looz, ainsi qu’au duc de Brabant. Le château changea encore de propriétaires, puisqu'après avoir été remis à Jean de Luxembourg, celui-ci dut le céder au prince-évêque Adolphe de La Marck, faute de moyens financiers. Les malheurs du château n’allaient d'ailleurs pas s’arrêter là, car il eut à subir tous les sièges lors des conflits qui opposèrent l’Espagne et ensuite l’Autriche à la France. Ce n’est qu’au début du XVIIIe siècle que le château de Mirwart retrouva le calme et qu’il put être reconstruit. Il prit peu à peu l’allure du château de plaisance qu’on lui connaît, aujourd’hui. Au XIXe siècle, il fut acheté par le créateur de la cristallerie de Vonêche, Aimé-Gabriel d'Artigues, puis il passa successivement aux mains des Familles Van Der Linden d’Hoogvorst, d’Arrigade et Von Der Becke. Au XXe siècle, le château allait connaître de nouvelles péripéties. En effet, alors qu’il était devenu un bien provincial en 1951, après une dernière campagne de restauration, il fut peu à peu abandonné. Laissé à son triste sort, les vandales et les pillards s’empressèrent de détruire ou d’emporter une grande partie des décorations intérieures. En 2016, le château fut vendu à ICM SA après que le précédent propriétaire n'ait pas effectué les travaux de restauration prévus. Actuellement en restauration, il devrait accueillir d'ici fin 2021 des résidences, des thermes, un espace de concert et un restaurant.

Grotte de Lorette-Rochefort
Grotte de Lorette-Rochefort

La grotte de Lorette-Rochefort ou grotte de Rochefort, une grotte à concrétions, a été creusée par la Lomme. Si l'existence de grottes à Rochefort est déjà mentionnée par l'Abbé de Feller en 1771 et par Jean Kickx et Adolphe Quételet en 1822 (Relation d'un voyage fait à la grotte de Han au mois d'août 1822), c'est en 1865 que la grotte de Rochefort est officiellement découverte par Alphonse Collignon. Elle est située à Rochefort et ouverte au public depuis 1870. La plus grande salle de la grotte, la « salle du Sabbat » mesure 39 mètres de haut. La température constante à l'intérieur se situe aux environs de 10 degrés toute l'année. La grotte offre un endroit où dormir aux chauves-souris, et il y a aussi quelques petits insectes et des araignées dans la grotte. La Lomme, qui autrefois coulait dans les grottes, coule maintenant dans les parties basses de la montagne. Les poissons qui pourraient être dans l'eau ne survivent que quelques jours. Contrairement à beaucoup d'autres grottes de Belgique, elle a la particularité d'être très verticale. La grotte comporte six salles; la petite salle des Arcades est située à 80 m sous le château de Beauregard. La plus grande (65 sur 125 m) et la plus haute (35 mètres) salle est appelée la salle du Sabbat. Depuis plus de cent ans, le guide y fait s'envoler une petite montgolfière lumineuse pendant un son et lumière pour donner aux visiteurs une idée de sa hauteur. Cette salle, située à 65 mètres sous terre, doit son nom au prétendu "Sabbat de sorcière" qui selon les premiers visiteurs s'y tenait. Depuis 2003, la visite comporte aussi la plus petite salle souterraine "le Cataclysme". Afin de débarrasser la grotte de sa réputation sinistre[Laquelle ?], la grotte a été récemment[Quand ?] rebaptisée "Lorette", du nom de la chapelle classée Notre-Dame-de-Lorette. Elle était autrefois connue sous le seul nom de Grotte de Rochefort. Avant la visite de la grotte d'une heure est projeté le film Vidéokarst. Les failles de la grotte de Lorette-Rochefort sont étudiées par des appareils mesurant leur déplacement mais aussi les tremblements de terre même s’ils sont trop faibles pour être ressentis. D'autres mesurent la pesanteur, la pression atmosphérique, la température de l'air et de l'eau d'infiltration. Le tout est enregistré toutes les minutes par télématique.