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Gare de Grupont

Article géolocalisé en BelgiqueArticle géolocalisé sur TerreArticle utilisant une InfoboxGare dans la province de LuxembourgGare mise en service en 1858
Ligne 162 (Infrabel)Ligne de tramway 520Page avec des cartesTellin
Grupont Station
Grupont Station

La gare de Grupont est une gare ferroviaire belge de la ligne 162 de Namur à Sterpenich (frontière luxembourgeoise), située au village de Grupont sur le territoire de la commune de Tellin, province de Luxembourg en Région wallonne. Elle est mise en service en 1858 par la Grande compagnie du Luxembourg. Le bâtiment des recettes est inscrit au Patrimoine civil public de Wallonie. C'est une halte voyageurs de la Société nationale des chemins de fer belges (SNCB) desservie par des trains Omnibus (L) et Heure de pointe (P).

Extrait de l'article de Wikipedia Gare de Grupont (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Gare de Grupont
Rue Elisabeth,

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Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 50.090736 ° E 5.28071 °
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Adresse

Grupont

Rue Elisabeth
6927
Luxembourg, Belgique
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Grupont Station
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Lieux à proximité

Bure (Belgique)
Bure (Belgique)

Bure est une section de la commune belge de Tellin située en Région wallonne et province de Luxembourg. C'était une commune à part entière avant la fusion des communes de 1977, quand elle passa de l'arrondissement administratif de Dinant, en province de Namur, à l'arrondissement administratif de Neufchâteau, en province de Luxembourg. C'était une commune du département de Sambre-et-Meuse sous le régime français. Le village possède le Collège d'Alzon, établissement d'enseignement secondaire fondé le 16 octobre 1900 par les Pères Assomptionnistes. Les villageois ont continué à l'appeler "le château". À la suite de la guerre 1914-1918, il fermera ses portes, par manque de moyens, pour rouvrir vers 1923. Les élèves et les pères assomptionnistes devaient aller mendier le dimanche, dans les villages environnants, pour avoir à manger la semaine. Durant l'entre-deux-guerres, il s'est d'abord appelé "L'alumnat de Bure", ensuite durant les années 1950 et 1960, l'institut Marie-Médiatrice. Jusqu'en 1960, le père LIguori continua à visiter les familles de bienfaiteurs dans toute la Belgique, qui lui remettaient de l'argent pour aider l'école et la communauté. Ses confrères le surnommaient "le père mendiant". Du 23 décembre 1944 au 9 janvier 1945, Bure fut le théâtre de durs combats entre troupes britanniques et allemandes lors de la Bataille des Ardennes. Le saint-patron de l'église est saint Lambert. La chapelle Notre-Dame de Haurt date d’il y a trois siècles. Bure à la même étymologie que Bure en Moselle (France). Il s'agit du mot "boron" en vieux haut allemand qui signifier percer, forer (un puits de mine). Le nom bure désigne un puits de mine, par extension une mine.

Château de Mirwart
Château de Mirwart

Le château de Mirwart est situé dans le village belge de Mirwart en province de Luxembourg. Sis sur un promontoire rocheux dominant la vallée de la Lomme, son origine remonte à une forteresse bâtie au début du XIe siècle par un seigneur lotharingien. Celui-ci voulait en effet se protéger contre les belliqueux seigneurs de Bouillon et d’Orchimont. Les seigneurs de Mirwart devinrent, toutefois, eux-mêmes des oppresseurs sans vergogne. Peu de temps après, ils s’attirèrent la rancœur des moines de Saint-Hubert et au cours du même siècle, ils se firent chasser de leur domaine par le prince-évêque de Liège, Henri Ier de Verdun, qui avait pris la défense des moines. C’est d’ailleurs l’abbé de Saint-Hubert qui fit démanteler la forteresse en 1083. Cet acte ne fut toutefois pas du goût du prince-évêque Otbert, car après avoir repris le contrôle du fief, il fit reconstruire la forteresse et céda le domaine à Bovon de Waha dès 1099. En 1293, le fief fut acheté par Jean d’Avesnes mais la vente fut contestée par le prince-évêque de Liège. Cette contestation allait déclencher un conflit opposant le prince-évêque Jean de Sponheim aux comtes de Hainaut, de Luxembourg, de Namur et de Looz, ainsi qu’au duc de Brabant. Le château changea encore de propriétaires, puisqu'après avoir été remis à Jean de Luxembourg, celui-ci dut le céder au prince-évêque Adolphe de La Marck, faute de moyens financiers. Les malheurs du château n’allaient d'ailleurs pas s’arrêter là, car il eut à subir tous les sièges lors des conflits qui opposèrent l’Espagne et ensuite l’Autriche à la France. Ce n’est qu’au début du XVIIIe siècle que le château de Mirwart retrouva le calme et qu’il put être reconstruit. Il prit peu à peu l’allure du château de plaisance qu’on lui connaît, aujourd’hui. Au XIXe siècle, il fut acheté par le créateur de la cristallerie de Vonêche, Aimé-Gabriel d'Artigues, puis il passa successivement aux mains des Familles Van Der Linden d’Hoogvorst, d’Arrigade et Von Der Becke. Au XXe siècle, le château allait connaître de nouvelles péripéties. En effet, alors qu’il était devenu un bien provincial en 1951, après une dernière campagne de restauration, il fut peu à peu abandonné. Laissé à son triste sort, les vandales et les pillards s’empressèrent de détruire ou d’emporter une grande partie des décorations intérieures. En 2016, le château fut vendu à ICM SA après que le précédent propriétaire n'ait pas effectué les travaux de restauration prévus. Actuellement en restauration, il devrait accueillir d'ici fin 2021 des résidences, des thermes, un espace de concert et un restaurant.