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Institut pour le financement du cinéma et des industries culturelles

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L’Institut pour le financement du cinéma et des industries culturelles (IFCIC) est un établissement de crédit agréé qui a reçu mission du ministère de la Culture et du ministère de l’Économie et des Finances de contribuer au développement, en France, des industries culturelles, en facilitant pour ces entreprises l’accès au financement bancaire. Fondé en 1983, l'IFCIC est un établissement neutre et indépendant. Son capital est partagé entre les principales banques françaises, les grands établissements financiers publics (Caisse des dépôts et consignations, Bpifrance) et l’État. Aux banques, l'IFCIC offre sa garantie financière, ses capacités de cofinancement et son expertise du risque spécifique de l'entreprise culturelle. Pour les entrepreneurs culturels, l'IFCIC facilite l'engagement financier de la banque en faveur de leur projet, en garantissant leurs crédits ou participant directement aux plans de financement. Elle offre également son expertise financière. Par sa connaissance des secteurs concernés et, le cas échéant, grâce à ses comités et réseaux d’experts professionnels, l’Institut dispose d’informations permettant une analyse approfondie du risque présenté par les entreprises sollicitant un financement.

Extrait de l'article de Wikipedia Institut pour le financement du cinéma et des industries culturelles (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Institut pour le financement du cinéma et des industries culturelles
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Incendie de l'hôtel Paris-Opéra
Incendie de l'hôtel Paris-Opéra

L'incendie de l'hôtel Paris-Opéra a eu lieu dans la nuit du 14 au 15 avril 2005 au 76 rue de Provence à Paris et a fait vingt-quatre morts dont onze enfants. C'est l'incendie le plus meurtrier qui ait eu lieu dans Paris depuis la Libération. Au moment des faits, l'hôtel Paris-Opéra est un établissement qui héberge principalement des personnes en situation précaire placées là par les services sociaux. Bien qu'il soit en suroccupation et ne possède pas d'issue de secours, une inspection de sécurité a conclu le mois précédent qu'il n'y avait pas d'obstacle à la poursuite de son activité. L'incendie est déclenché accidentellement vers 2 h 10 par la petite amie du veilleur de nuit dans un accès de colère. Le gardien, sous l'emprise de l'alcool et de la drogue, et sans formation à la sécurité, tarde à prévenir les secours alors qu'une intervention rapide des pompiers est indispensable. Environ 300 pompiers et secouristes, dans le cadre du plan rouge, se rendent sur les lieux pour lutter contre cet incendie particulièrement violent qui n'est maîtrisé qu'à 3 h 50. Au lendemain du drame, l'émotion est forte et une polémique se crée sur les conditions dans lesquelles sont hébergées les personnes en situation précaire, les demandeurs d'asile en attente d'une décision et les déboutés du droit d'asile. Il est mis en évidence que devant l'insuffisance de logements pérennes pour ces personnes, le recours à l'hôtellerie bon marché est devenu systématique. L'État dépense ainsi de fortes sommes pour des logements souvent mal entretenus, voire vétustes. Deux nouveaux incendies au mois d'août, celui du boulevard Vincent-Auriol et celui de la rue du Roi-Doré, qui touchent aussi des immigrés aux revenus modestes, relancent la polémique. Au terme d'une instruction jugée très longue par les familles des victimes, un procès s'ouvre en novembre 2013. Il aboutit à la condamnation de la jeune femme responsable du départ du feu, du veilleur de nuit de l'hôtel et de l'un des gérants, sans que les pouvoirs publics soient mis en cause. Un procès en appel a lieu en 2015 dont le verdict, rendu début 2016, allège la condamnation de l'incendiaire de trois ans de prison ferme à trois ans dont un avec sursis. L'action civile étant encore en cours, la grande majorité des victimes ne sont toujours pas indemnisées à cette date.

Hôtel de Montesson
Hôtel de Montesson

L’hôtel de Montesson était un hôtel particulier construit en 1772 au niveau de l'actuelle 40, rue de la Chaussée-d'Antin pour la marquise de Montesson par Alexandre-Théodore Brongniart, sur un terrain acheté en 1769 à bas prix par l’architecte, s’étendant entre la rue de Provence, la rue Taitbout, l’emplacement de l’actuel boulevard Haussmann et la rue de la Chaussée d’Antin. L’hôtel communiquait avec un hôtel également construit par Brongniart pour le duc d'Orléans, son amant puis époux, au 52 rue de la Chaussée d’Antin, par un vaste jardin anglo-chinois orné de passages sous voutes de verdure. L’hôtel comprenait une chapelle où fut célébré le 23 avril 1773 le mariage secret de Madame de Montesson avec le duc d’Orléans. Madame de Montesson y tenait un brillant salon et avait installé une salle de spectacle où vint Voltaire en 1778,. L’hôtel, qui était la résidence de l'ambassadeur d'Autriche, Charles Philippe de Schwarzenberg, sous le Premier Empire, fut détruit par un incendie en 1810. Peu après le mariage de Napoléon Ier avec Marie-Louise d'Autriche, l'ambassadeur donne un bal en leur honneur et en leur présence. La salle de danse temporaire intégrée au jardin, faite de murs en bois recouverts de toile cirée, a pris feu et provoqué un exode massif, sous lequel les marches en bois se sont effondrées et les gens ont été piétinés et sont tombés. L'incendie dont les vastes actions d'extinction sont supervisé par l'Empereur lui-même, coûta la vie à vingt personnes, dont la belle-sœur de l'ambassadeur, Pauline d'Arenberg, épouse de son frère aîné Joseph II, prince de Schwarzenberg, et la princesse Sophia Theresia von der Leyen, épouse du prince François-Philippe von der Leyen. La cité d'Antin fut construite en 1829 à son emplacement. Par ailleurs, cet incendie et sa gestion auront pour conséquence une réorganisation complète du corps des gardes-pompes, équivalent des pompiers à l'époque, en ce qui deviendra aujourd'hui la Brigade de Sapeurs-Pompiers de Paris.