place

Thimert-Gâtelles

Aire d'attraction de ChartresArticle avec module Population de FranceArticle avec modèle Infobox Commune de FranceArticle avec une section vide ou incomplèteArticle de Wikipédia avec notice d'autorité
Article géolocalisé en FranceArticle géolocalisé sur TerreArticle utilisant le modèle Dictionnaires inactifArticle utilisant une InfoboxCommune dans l'arrondissement de DreuxCommune en Eure-et-LoirPage avec des cartesPage pointant vers des bases externesPage pointant vers des bases relatives à la géographiePage pointant vers des bases relatives à plusieurs domainesThymerais
Mairie Thimert Gâtelles Eure et Loir France
Mairie Thimert Gâtelles Eure et Loir France

Thimert-Gâtelles est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire, dans la région naturelle du Thymerais dans le pays Drouais. Vers l'an 1000, la ville était le centre du Thymerais avant de perdre de son importance à la suite de la destruction de son château et de l'abandon de son site au profit de la ville voisine de Châteauneuf.

Extrait de l'article de Wikipedia Thimert-Gâtelles (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Thimert-Gâtelles
Rue de Saint-Sauveur, Thimert-Gâtelles

Coordonnées géographiques (GPS) Adresse Lieux à proximité
placeAfficher sur la carte

Wikipedia: Thimert-GâtellesContinuer à lire sur Wikipedia

Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 48.57 ° E 1.2522 °
placeAfficher sur la carte

Adresse

Rue de Saint-Sauveur

Rue de Saint-Sauveur
28170 Thimert-Gâtelles
Centre-Val de Loire, France
mapOuvrir sur Google Maps

Mairie Thimert Gâtelles Eure et Loir France
Mairie Thimert Gâtelles Eure et Loir France
Partager l'expérience

Lieux à proximité

Châteauneuf-en-Thymerais
Châteauneuf-en-Thymerais

Châteauneuf-en-Thymerais est une commune française située dans le nord-ouest du département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire. Situé aux portes de l'Île-de-France, de la Normandie, du Perche et de la Beauce, cet ancien chef-lieu de canton peuplé de plus de 2 500 habitants fut autrefois une place forte importante régnant sur toute la province du Thymerais. Né de la volonté farouche de ses premiers seigneurs pour faire face à la menace que faisaient peser les ducs de Normandie sur le royaume de France, âprement disputé et dévasté au cours des âges, le château fut finalement rasé, mais la ville resta. Celle-ci perdit progressivement de son importance et le fief dont elle était le centre fut dépecé, si bien que la baronnie qu'elle était devenue au XVIIIe siècle était loin d'avoir la même étendue qu'au XIIIe siècle. La ville connaît depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale un fragile renouveau, en tirant parti de sa situation géographique, lié à sa proximité de Paris et des bassins d'emplois de Chartres et de Dreux. Elle a réussi à attirer certaines entreprises industrielles, à conserver une partie de son activité commerciale, tout en enregistrant un développement démographique, faible mais régulier. Appartenant au syndicat mixte du Pays Drouais, la ville est devenue en 2003 le centre de la communauté de communes du Thymerais. En janvier 2014, elle constitue avec quatre autres communautés de communes et Dreux-Agglo la communauté d'agglomération du Pays de Dreux.

Abbaye de Saint-Vincent-aux-Bois à Saint-Maixme-Hauterive
Abbaye de Saint-Vincent-aux-Bois à Saint-Maixme-Hauterive

L'abbaye royale de Saint-Vincent-aux-Bois était située à 21 lieues de Paris, dans le diocèse de Chartres, au nord-ouest de Châteauneuf-en-Thymerais en plein milieu des bois, ce qui lui a valu son nom. C'était une abbaye d'hommes qui obéissait à la règle de saint Augustin et qui regroupait des chanoines réguliers, dits génovéfains ou chanoines de Sainte-Geneviève. Le fondateur et les bienfaiteurs de l'abbaye sont les membres de la puissante famille féodale des seigneurs de Châteauneuf et de Brezolles. L'origine de l'abbaye remonte au milieu du XIe siècle, époque où Gervais, seigneur de Châteauneuf, fait édifier dans les bois un oratoire dédié à saint Vincent que l'évêque de Chartres confie à des ermites. Ce modeste oratoire cède la place à une abbaye florissante. Mais deux incendies vont mettre fin à son essor: un premier incendie au début de la guerre de Cent Ans et un second pendant les guerres de Religion en 1562. Elle reste en ruines pendant un siècle avant d'être reconstruite sous l'égide de l'abbé Léon de Loynes, nommé abbé de Saint-Vincent le 9 janvier 1671. Suit une période de relative prospérité puis de déclin. À la Révolution, le 31 juillet 1791, elle est vendue comme bien national à François-Marie-Simon de Pâris de Mainvilliers qui a alors 27 ans. Il transforme la demeure abbatiale en château. Celui-ci sera démoli et remplacé en 1884 par un château dans le goût de l'époque qui sera à nouveau démoli, cette fois par l'actuelle propriétaire du domaine. De nos jours, il ne subsiste de l'ancien domaine monastique que la grande allée qui y menait ainsi que les grilles et piliers de briques qui enserrent dorénavant la ferme de Saint-Vincent, sise dans la commune de Saint-Maixme-Hauterive dans le département d'Eure-et-Loir, entre la D 138 et la D 939.