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Prieuré de Flers-en-Escrebieux

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Page avec des cartesPrieuré dans le département du NordPrieuré du Moyen ÂgePrieuré désaffecté

Le prieuré de Flers-en-Escrebieux ou Flersium était un prieuré de chanoines réguliers qui dépendait de l'abbaye Saint-Vincent de Senlis en 1132.

Extrait de l'article de Wikipedia Prieuré de Flers-en-Escrebieux (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs).

Prieuré de Flers-en-Escrebieux
Rue du Maréchal de Lattre de Tassigny, Douai

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Rue du Maréchal de Lattre de Tassigny
59128 Douai
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Fosse no 4 - 4 bis des mines de l'Escarpelle
Fosse no 4 - 4 bis des mines de l'Escarpelle

La fosse no 4 - 4 bis de la Compagnie des mines de l'Escarpelle est un ancien charbonnage du Bassin minier du Nord-Pas-de-Calais, situé à Douai, dans le hameau de Dorignies. Les travaux commencent en 1865, à 300 mètres à l'ouest de la ligne Paris-Nord - Lille, en bordure de la Deûle. Cette situation, aux premier abord idéale, s'avère être problématique puisque les terrains sont gorgés d'eau et désagrégés. Pour la première fois dans le Nord, le procédé Kind-Chaudron est utilisé pour le fonçage du puits. En 1867, un second, le no 4 bis est creusé, à 90 mètres du premier. Comparé aux autres fosses de la Compagnie, le fonçage est plus long et coûteux. Bien que la construction de la fosse ait coûté 1 618 897,67 francs, sa productivité est telle que peu après son ouverture en 1872, elle produit plus que les trois autres fosses réunies. Son ouverture a été une très bonne affaire pour la Compagnie, qui commence en 1875 les travaux de la fosse no 5, quelques centaines de mètres à l'ouest. Ces deux fosses exploitent le même gisement que la fosse Gayant de la Compagnie des mines d'Aniche. La fosse est détruite pendant la Première Guerre mondiale. Elle est reconstruite avec des installations plus modestes, et ne sert plus qu'à l'aérage de la fosse no 5. Le puits no 4 bis et 4 sont respectivement remblayés en 1952 et 1954. Les installations sont détruites en février 1980, puis un lotissement est construit sur le carreau de la fosse. De la fosse, plus rien ne subsiste. Depuis le début du XXIe siècle, les têtes de puits sont matérialisées, et équipées d'exutoire de grisou.

Fosse no 8 des mines de l'Escarpelle
Fosse no 8 des mines de l'Escarpelle

La fosse no 8 de la Compagnie des mines de l'Escarpelle, dite Port-Arthur, est un ancien charbonnage du Bassin minier du Nord-Pas-de-Calais, situé à Auby. Le fonçage du puits débute en 1906, pour une mise en service en 1910. À cette époque, la Compagnie se met à ouvrir de nouveaux puits, après près de vingt ans sans nouvelles fosses, un puits no 7 bis est rajouté à la fosse no 7, rachetée à une société en faillite, et une fosse no 9 est ouverte pour améliorer l'aérage des fosses nos 1 et 3. Détruite pendant la Première Guerre mondiale, elle est reconstruite avec des installations assez similaires. Un terril conique no 142 s'édifie au sud de la fosse, et des cités s'établissent au nord et au sud-est de la fosse. Après la Nationalisation, la fosse no 8 reprend l'extraction de la fosse no 7 - 7 bis en 1948. La fosse est destinée à devenir siège de concentration. Un puits no 8 bis devait être ouvert, mais cette solution a été abandonnée : la fosse no 9 est devenue le siège de concentration, et la fosse no 8 a été modernisée. Un chevalement à molettes superposées a été mis en place en 1958. Mais la fosse cesse d’extraire en 1968, date à laquelle les principales installations sont détruites. Quelques bâtiments annexes ont été conservés, et sont toujours visibles au XXIe siècle. Le terril a été exploité, il n'en reste plus que la base. En revanche, les cités ont été conservées, et ont toutes été rénovées. La cité pavillonnaire de la Justice et son dispensaire de la Société de Secours Minière, ainsi que la cité-jardin du Moulin, ont été classés le 30 juin 2012 au patrimoine mondial de l'Unesco.