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Plaza del Congreso

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Mirador Barolo
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La Plaza del Congreso (en français place du Congrès) est une place de Buenos Aires, délimitée par les avenues Entre Ríos, et Rivadavia, et les rues Hipólito Yrigoyen et Virrey Cevallos. Elle est parfois mal appelée Plaza de los Dos Congresos (place des deux Congrès). L'erreur provient du fait que le monument qui se trouve en son centre se nomme Monumento de los Dos Congresos, en honneur de l’Assemblée de l'an XIII et du Congrès de Tucumán. La Plaza del Congreso fait partie d'un ensemble de trois places juxtaposées, avec la Plaza Lorea et la Plaza Mariano Moreno. La construction de ces places fut une création urbanistique édifiée à l'occasion des festivités du centenaire de la Révolution de Mai, et répondait à la pensée hygiéniste de la fin du XIXe siècle, qui promouvait la construction de lieux ventilés et ensoleillés dans les grandes cités. Elle est située dans le quartier porteño de Monserrat.

Extrait de l'article de Wikipedia Plaza del Congreso (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Plaza del Congreso
Hipólito Yrigoyen, Buenos Aires Monserrat

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Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N -34.609667 ° E -58.390167 °
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Adresse

Monumento a los Dos Congresos

Hipólito Yrigoyen
C1089AAH Buenos Aires, Monserrat
Ciudad Autónoma de Buenos Aires, Argentine
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Site web
allbuenosaires.blogspot.com.ar

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Avenida Corrientes
Avenida Corrientes

L'Avenida Corrientes est une des principales artères de la ville de Buenos Aires, capitale de l'Argentine. Longue de 8,6 km, cette avenue est le véritable axe de la vie nocturne et de la culture bohême de la ville C'est dans ses bars et théâtres que le tango a connu ses heures de gloire : l'icône nationale Carlos Gardel, créateur du tango chanté, y a vécu. Son nom actuel, qui date officiellement de 1822, est un hommage à la ville argentine de Corrientes, en reconnaissance pour sa participation à la Révolution de Mai. La rue a d'abord été assez étroite avant que commencent, en 1931, des travaux d'aménagement, qui s'achèvent en 1936. La circulation, à sens unique, s'effectue d'ouest en est, c’est-à-dire, de la périphérie vers le centre de la ville. L'avenue nait à proximité du quartier de Puerto Madero, au numéro 402 de la avenida Eduardo Madero, et s'étend vers l'ouest puis le nord-ouest, et se termine au 4200 de la avenida Federico Lacroze, dans le quartier de Chacarita. La première section, en partant du centre, traverse une zone d'activité financière, jusqu'au croisement avec la calle Florida. L'avenue devient alors un pôle de divertissement reconnu aussi bien par les porteños que par les touristes, qui parcourent à n'importe quelle heure du jour et de la nuit les nombreux espaces culturels, galeries d'art, salles de théâtre, ou librairies, qui restent ouverts jusqu'à des heures très tardives. Roberto Gil, journaliste dans les années 1950, surnomme ainsi l'avenue la rue qui ne dort jamais. Après le croisement de l'avenida Callao, Corrientes devient une artère nettement plus commerciale, avec des boutiques de tous types, jusqu'au quartier d'Abasto, autre haut lieu de tourisme autour du tango. L'avenue se termine au niveau du plus grand cimetière de la ville, le cimetière de la Chacarita. La numérotation des immeubles de l'avenue varie de 1 à 6900, et son tracé de 8,6km croise pas moins de 70 rues ou avenues, dont la célèbre Avenida 9 de Julio et son obélisque, situé à l'intersection des deux artères. Le premier chemin de fer de l'histoire argentine a emprunté l'avenue et fut surnommé le "train de la mort" lors de l'épidémie de fièvre jaune de 1871, ayant servi à transporter de nombreux cercueils du centre au cimetière à l'ouest. De nos jours, la ligne B du métro de Buenos Aires suit l'avenue sur toute sa longueur. Plusieurs styles d'architecture caractérisent les immeubles donnant sur l'avenue, de la rigueur l'art académique aux couleurs de l'Art nouveau, avec plusieurs bâtiments de style néo-gothique, et même plusieurs gratte-ciel de style international. L'Association des Amis de la Rue Corrientes (en espagnol Asociación Amigos de la Calle Corrientes) participe à la planification urbaine de l'avenue, et est notamment à l'origine de 40 plaques commémoratives d'illustres figures du tango disposées à des intersections de l'avenue.