place

Lognes

Aire d'attraction de ParisArticle avec module Population de FranceArticle avec modèle Infobox Commune de FranceArticle avec modèle Section communes limitrophes d'article de commune de France avec tableauArticle avec une section vide ou incomplète
Article contenant un lien mortArticle de Wikipédia avec notice d'autoritéArticle géolocalisé en FranceArticle géolocalisé sur TerreArticle utilisant une InfoboxArticle à mettre à jourArticle à référence nécessaireCommune de Marne-la-ValléeCommune en Seine-et-MarneLognesPage avec des cartesPage pointant vers des bases externesPage pointant vers des bases relatives aux organisationsPage pointant vers des bases relatives à la géographiePage pointant vers des bases relatives à plusieurs domainesPage pointant vers des dictionnaires ou encyclopédies généralistesUnité urbaine de ParisVal Maubuée
Ancien hôtel ville Lognes 7
Ancien hôtel ville Lognes 7

Lognes (prononcé [lɔɲ]) est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France. De 248 habitants en 1975, Lognes en comptait près de 15 000 en 2009. « Première ville asiatique de France » avec 40 % de sa population, elle est surnommée la « ville du dragon ».

Extrait de l'article de Wikipedia Lognes (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Lognes
Impasse de la Fontaine, Torcy

Coordonnées géographiques (GPS) Adresse Lieux à proximité
placeAfficher sur la carte

Wikipedia: LognesContinuer à lire sur Wikipedia

Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 48.83599033 ° E 2.62781918 °
placeAfficher sur la carte

Adresse

Impasse de la Fontaine

Impasse de la Fontaine
77185 Torcy
Île-de-France, France
mapOuvrir sur Google Maps

Ancien hôtel ville Lognes 7
Ancien hôtel ville Lognes 7
Partager l'expérience

Lieux à proximité

Église Saint-Médard de Noisiel
Église Saint-Médard de Noisiel

L’église Saint-Médard de Noisiel est bâtie au plus tard durant le XIe siècle. Elle appartient depuis 1120 au prieuré* de Gournay, comme l’ensemble des terres de Noisiel, qui ont été données aux prieurs par Ancel de Garlande, bienfaiteur de Torcy. A la fin du XVIe siècle, pendant les Guerres de religions, l’église Saint-Médard est détruite et ses pierres servent à construire le fort de Gournay. A cette même époque, les prieurs de Gournay vendent la terre de Noisiel à Jean du Tremblay, secrétaire du roi et premier seigneur* laïc de Noisiel. Elle est rebâtie en 1602 par Jean du Tremblay puis agrandie en 1670 par Yves Mallet, seigneur du Luzard. Au XVIIe et au XVIIIe siècles les terres de Noisiel changent plusieurs fois de propriétaires. Ces derniers sont toujours des seigneurs qui ont des fonctions importantes auprès du roi. Chacun leur tour, ils reconstruisent ou agrandissent l’église. A la Révolution, l’église Saint-Médard est désaffectée et endommagée, si bien que jusqu’en 1851 les habitants de Noisiel n'ont plus de lieu de culte. Au début du XIXe siècle, le duc de Levis achète les châteaux de Noisiel et de Champs ainsi que le domaine du Buisson Saint-Antoine. L’Eglise St Médard a été ré-édifiée en 1856 par Louis Lenormand pour le duc Gaston-François de Lévis. Émile-Justin Menier, industriel français, fils du fondateur de la chocolaterie Menier, élabore son projet de Cité Ouvrière dans Noisiel en excluant la religion de son projet social. Comme la Cité Ouvrière est édifiée à distance de l'église, celle-ci ne sera fréquentée qu'occasionnellement par les ouvriers. L’église Saint Médard de Noisiel est restée une chapelle privée jusqu’en 1920, ce qui fait qu’elle n’a pas été concernée par la loi de 1905 portant sur la séparation des églises et de l’État. Ensuite, elle est devenue propriété de l’Évêché de Meaux et son entretien confié aux paroissiens de Noisiel. L’ASEN (Association pour la sauvegarde de l'Eglise de Noisiel) a été créée par des bénévoles en 1992 et a pour objectifs, entre autres, la sauvegarde, la restauration et l’entretien de l’église. Elle ne reçoit aucune subvention des autorités officielles (État, Département, Région ..) et ne peut compter que sur les donations privées et le bénévolat pour effectuer les travaux.