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Hauts-de-Cergy

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Quartier de ville en Île-de-France
Cergy Hauts de Cergy promenade 2 bois D Chauvin
Cergy Hauts de Cergy promenade 2 bois D Chauvin

Le quartier des Hauts-de-Cergy, anciennement appelé Cergy-le-Haut, est une des trois fractions de la ville de Cergy (avec Axe Majeur / Horloge anciennement Cergy-Saint-Christophe, et Grand Centre anciennement Cergy-Préfecture). Située à l'extrême ouest de la commune, elle est en relation avec la ville de Courdimanche et donne son nom à la dernière gare de la branche ferroviaire de Cergy : la gare de Cergy-le-Haut. Le quartier sort de terre au début des années 1990, avec les premières construction et ne cesse de s'agrandir toujours vers l'ouest et le parc naturel régional du Vexin français, depuis sa création. Il est découpé en cinq ilots distincts : Atlantis ; Bontemps ; Centre Gare ; Nautilus ; Point du Jour.Il comporte deux des cinq collèges de Cergy et un lycée : Collège des Explorateurs ; Collège le Moulin à Vent ; Lycée Jules Verne (en).Les trains de la ligne A du RER d'Île-de-France (branche A3) et ceux de la branche Cergy de la ligne L du Transilien du réseau Transilien Paris Saint-Lazare desservent la gare de Cergy-le-Haut. Portail du Val-d'Oise

Extrait de l'article de Wikipedia Hauts-de-Cergy (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Hauts-de-Cergy
Rue de la Lune Corail, Pontoise

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Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 49.0488 ° E 2.009 °
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Adresse

Rue de la Lune Corail 10
95800 Pontoise, Cergy le Haut
Île-de-France, France
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Cergy Hauts de Cergy promenade 2 bois D Chauvin
Cergy Hauts de Cergy promenade 2 bois D Chauvin
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Mirapolis
Mirapolis

Mirapolis est un ancien parc à thèmes français situé à Courdimanche, dans la ville nouvelle de Cergy-Pontoise (Val-d'Oise). Inauguré le 20 mai 1987, il ferme définitivement ses portes le 20 octobre 1991 après cinq saisons d'exploitation. Le développement de Mirapolis est lancé à l'aube de l'arrivée de The Walt Disney Company en Europe avec Euro Disney Resort. Il est promu par ses concepteurs comme le « premier grand parc d'attractions français ». Entrepris grâce au soutien de l'homme d'affaires Ghaith Pharaon et imaginé par l'architecte Anne Fourcade, le projet est majoritairement financé par des emprunts bancaires, notamment auprès du Crédit national. Ce dernier est le principal actionnaire de la société Cergy-Parc, deuxième propriétaire du parc après le dépôt de bilan de Paris-Parc. Le Club Med remplace l'équipe de gestion de la première saison avant d'être lui-même remplacé par un groupement de forains, initialement opposés au parc et qui le gèrent jusqu'au dépôt de bilan. Voulu précurseur d'un nouveau produit sur le marché des parcs d'attractions, Mirapolis se caractérise par une certaine démesure, tant dans les moyens et les budgets alloués que par son étendue (55 hectares). Le parc est confronté à plusieurs problèmes judiciaires et administratifs qui le font passer de main en main de différents propriétaires. Avec plus de 700 millions de francs investis, Mirapolis affiche néanmoins 85 millions de francs de pertes cumulées dès 1988, année du deuxième exercice, le premier complet, puis 140 millions de pertes l'année suivante, donnant un cumul de pertes de l'ordre de 300 millions, représentant plus de la moitié des 500 millions de francs de la mise de fonds initiale. Imaginé sur le thème des contes et légendes français, Mirapolis devient pour partie une fête foraine. Les différents revers dans la gestion du parc témoignent d'une mauvaise appréhension du nouveau secteur des parcs d'attractions de grande envergure et de références peu connues du grand public. Véritable gouffre financier, Mirapolis laisse sa marque sur cette période d'engouement autour des parcs de loisirs français. Après sa fermeture définitive à la fin de l'année 1991, les installations sont démolies et plusieurs attractions sont démontées pour être réutilisées dans d'autres parcs européens.