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Gare de Cergy-le-Haut

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Cergylehaut gare
Cergylehaut gare

La gare de Cergy-le-Haut est une gare ferroviaire française, située sur le territoire de la commune de Cergy, dans le département du Val-d'Oise, en région Île-de-France. C'est une gare Société nationale des chemins de fer français (SNCF), desservie par les trains de la ligne A du RER et de la ligne L du Transilien.

Extrait de l'article de Wikipedia Gare de Cergy-le-Haut (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Gare de Cergy-le-Haut
Cours des Merveilles, Pontoise

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Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 49.048274 ° E 2.011645 °
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Adresse

Voies 1 et 3

Cours des Merveilles
95800 Pontoise, Hauts-de-Cergy
Île-de-France, France
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Cergylehaut gare
Cergylehaut gare
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Lieux à proximité

Église Saint-Pierre de Puiseux-Pontoise
Église Saint-Pierre de Puiseux-Pontoise

L'église Saint-Pierre est une église catholique paroissiale située à Puiseux-Pontoise, en France. Sa fondation est antérieure au XIIe siècle, et sa nef d'origine, très simple est basse, a subsisté jusqu'en 1895. Grâce à la générosité de la famille Thomassin, elle a été substituée à une nef néo-gothique avec bas-côtés et chapelles, qui a été bénite en 1898. Au moins son vaisseau central imite bien le style gothique en vigueur pendant la première moitié du règne de saint Louis, qui est celui du transept des années 1230. Ses croisillons étaient d'emblée conçus pour se raccorder à des bas-côtés, mais ne communiquaient avec la nef que par des passages provisoires. En s'ouvrant largement sur le transept, la construction néo-gothique met enfin en valeur les parties anciennes de l'église, et forme avec eux un espace presque homogène. Sans toucher aux colonnettes à chapiteaux anciennes, la croisée du transept et le croisillon nord ont été revoûtés à la période flamboyante, au début du XVIe siècle, et les délicats réseaux des fenêtres des croisillons datent de cette époque, ainsi que le clocher en bâtière qui s'élève au-dessus de la croisée du transept. Son style est assez insipide comparé à la plupart des autres clochers du Vexin français. La partie la plus ancienne de l'église est le petit chœur rectangulaire au chevet plat. Extrêmement austère à l'extérieur, il se distingue néanmoins par une belle petite voûte à six branches d'ogives des années 1190 / 1210, qui constitue une curiosité archéologique : ce type de voûte est habituellement réservé aux grandes églises. Le chœur, le transept et le clocher sont inscrits monument historique depuis 1966. Puiseux-en-France est aujourd'hui affilié à la paroisse de Cergy, et les messes sont célébrées en l'église Saint-Pierre uniquement lors des grandes fêtes religieuses, à 9 h 30.

Mirapolis
Mirapolis

Mirapolis est un ancien parc à thèmes français situé à Courdimanche, dans la ville nouvelle de Cergy-Pontoise (Val-d'Oise). Inauguré le 20 mai 1987, il ferme définitivement ses portes le 20 octobre 1991 après cinq saisons d'exploitation. Le développement de Mirapolis est lancé à l'aube de l'arrivée de The Walt Disney Company en Europe avec Euro Disney Resort. Il est promu par ses concepteurs comme le « premier grand parc d'attractions français ». Entrepris grâce au soutien de l'homme d'affaires Ghaith Pharaon et imaginé par l'architecte Anne Fourcade, le projet est majoritairement financé par des emprunts bancaires, notamment auprès du Crédit national. Ce dernier est le principal actionnaire de la société Cergy-Parc, deuxième propriétaire du parc après le dépôt de bilan de Paris-Parc. Le Club Med remplace l'équipe de gestion de la première saison avant d'être lui-même remplacé par un groupement de forains, initialement opposés au parc et qui le gèrent jusqu'au dépôt de bilan. Voulu précurseur d'un nouveau produit sur le marché des parcs d'attractions, Mirapolis se caractérise par une certaine démesure, tant dans les moyens et les budgets alloués que par son étendue (55 hectares). Le parc est confronté à plusieurs problèmes judiciaires et administratifs qui le font passer de main en main de différents propriétaires. Avec plus de 700 millions de francs investis, Mirapolis affiche néanmoins 85 millions de francs de pertes cumulées dès 1988, année du deuxième exercice, le premier complet, puis 140 millions de pertes l'année suivante, donnant un cumul de pertes de l'ordre de 300 millions, représentant plus de la moitié des 500 millions de francs de la mise de fonds initiale. Imaginé sur le thème des contes et légendes français, Mirapolis devient pour partie une fête foraine. Les différents revers dans la gestion du parc témoignent d'une mauvaise appréhension du nouveau secteur des parcs d'attractions de grande envergure et de références peu connues du grand public. Véritable gouffre financier, Mirapolis laisse sa marque sur cette période d'engouement autour des parcs de loisirs français. Après sa fermeture définitive à la fin de l'année 1991, les installations sont démolies et plusieurs attractions sont démontées pour être réutilisées dans d'autres parcs européens.