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Monument expiatoire de Lorient

Architecture religieuse à LorientArticle géolocalisé en FranceArticle utilisant l'infobox MonumentArticle utilisant une InfoboxMonument historique inscrit en 1944
Monument historique à LorientPage avec des cartesÉdifice religieux du XVIIIe siècle en Bretagne
Lorient monument expiatoire avenue de la Perrière
Lorient monument expiatoire avenue de la Perrière

Le Monument expiatoire de Lorient, appelé Croix de la Vérité ou encore Croix de La Perrière, est un monument inscrit comme monument historique situé à Lorient dans le quartier de Kergroise, dans le Morbihan en France, et est l'un des quatre monuments classés de la ville. Il est élevé au XVIIIe siècle sur le lieu où des ciboires volés par un marin génois ont été retrouvés. Il est détruit au début du XXe siècle par la municipalité dans un contexte d'opposition de l’Église à l’État, puis réinstallé à son emplacement initial à la suite d'une série de procès qui opposent le propriétaire du terrain à la ville. Il est de forme pyramidale légèrement incurvée, à arêtes abattues, et surmonté d'une croix.

Extrait de l'article de Wikipedia Monument expiatoire de Lorient (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Monument expiatoire de Lorient
Avenue de Kergroise, Lorient

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N 47.7356 ° E -3.36614 °
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Avenue de Kergroise

Avenue de Kergroise
56100 Lorient
Bretagne, France
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Lorient monument expiatoire avenue de la Perrière
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Base sous-marine de Lorient
Base sous-marine de Lorient

La base de sous-marins de Keroman est un complexe de bunkers de la Seconde Guerre mondiale, situé à Lorient (Bretagne, France). Elle occupe l'extrémité de la presqu'île de Keroman, dans la rade de Lorient et donne sur le golfe de Gascogne. Elle prend le nom de base de sous-marins ingénieur général Stosskopf en 1946. Construite entre 1941 et 1944 par l'Allemagne nazie pendant l'Occupation, elle est alors destinée à abriter les 2e et 10e flottilles d'U-Boote de la Kriegsmarine, tout en s'inscrivant dans le dispositif du mur de l'Atlantique. Sa présence et sa grande résistance sont les causes de la destruction de la ville de Lorient par les bombardements des aviations britannique et américaine en janvier et février 1943, ainsi que de la reddition tardive de la poche de Lorient le 10 mai 1945. La base est récupérée par la Marine nationale après le conflit et sera utilisée jusqu'en 1997 pour le compte des forces sous-marines françaises. Géré par la Marine dans le cadre du développement du programme de SNLE français, et pour la création de constructions navales à base de matériaux composites, le site est consacré depuis lors à des activités civiles dont le pôle d'activité est centré sur le domaine maritime. Depuis la fin des années 1990, le site est reconverti en un pôle nautique spécialisé dans la plaisance et la course au large. Il accueille par ailleurs un centre d'affaires tourné vers le monde maritime, un musée aménagé dans le sous-marin Flore, ainsi que la Cité de la voile Éric Tabarly. Le complexe est composé de trois bunkers, Keroman I, II et III, de deux Dom-Bunkers (bunkers cathédrales) situés dans l'espace du port de pêche de Keroman, ainsi que d'un bunker situé à Lanester, sur les rives du Scorff. Le tout a nécessité le travail de 15 000 personnes et le coulage de près d'un million de mètres cubes de béton. Les trois bunkers de Keroman comptent entre cinq et sept alvéoles destinés à accueillir des U-Boote, couverts par des toits de 3,5 m d'épaisseur pour le K1 et le K2, et 7,5 m pour le K3.