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Gare de Montlaur

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Ligne de Bordeaux-Saint-Jean à Sète-VillePage avec des cartesTER Occitanie

La gare de Montlaur est une gare ferroviaire française, de la ligne de Bordeaux-Saint-Jean à Sète-Ville, située au passage à niveau de la route de Longagno (D31) sur le territoire de la commune de Montlaur, dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie. Elle est mise en service en 1857 par la Compagnie des chemins de fer du Midi et du Canal latéral à la Garonne. C'est une halte ferroviaire de la Société nationale des chemins de fer français (SNCF), desservie par des trains TER Occitanie circulant entre Toulouse-Matabiau, Carcassonne et Narbonne.

Extrait de l'article de Wikipedia Gare de Montlaur (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs).

Gare de Montlaur
Chemin de la Rivière, Toulouse

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Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 43.475199 ° E 1.577706 °
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Adresse

Chemin de la Rivière
31450 Toulouse
Occitanie, France
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Guerre austro-prussienne
Guerre austro-prussienne

La guerre austro-prussienne de 1866 opposa l'empire d'Autriche et ses alliés de la Confédération germanique au royaume de Prusse (seulement soutenu par quelques principautés mineures ou ses voisins immédiats, et par le royaume d'Italie). Prélude à l'unification allemande, elle est parfois appelée la « guerre allemande » (Deutscher Krieg) en Allemagne ; elle est également connue comme la « guerre fratricide allemande » (Deutscher Bruderkrieg), la « guerre d'Unification » (Einigungskrieg), la « guerre germano-allemande » (Deutsch-deutscher Krieg) ou la « guerre de Sept Semaines » (Siebenwöchiger Krieg). Elle est liée à la troisième guerre d'indépendance italienne. La monarchie de Habsbourg était historiquement la puissance dominante du Saint-Empire romain germanique puis de la Confédération germanique, mais à partir du Printemps des peuples, la puissance montante de la Prusse, militaire et économique, aiguisa la question de l'hégémonie au sein de la Confédération germanique. La Prusse, militariste, industrielle et protestante, aspirait à diriger une nouvelle Allemagne, unifiée sous son aile et excluant l'Autriche, empire catholique, agraire et multi-ethnique (avec une majorité de peuples non-germaniques). Il s'agissait de la réalisation de la vision d'une solution petite-allemande (« Petite Allemagne » : Kleindeutschland) dominée par la Prusse, par opposition à la solution grande-allemande (« Grande Allemagne » : Grossdeutschland), vision traditionnelle d'une Allemagne dominée par l'Autriche depuis le XIVe siècle. Déjà en 1740, 1778 et 1785, Marie-Thérèse puis Joseph II avaient été confrontés aux ambitions du roi Frédéric II de Prusse. Cette guerre fut le point culminant de la lutte pour la suprématie en Allemagne que se livraient la Prusse et l'Autriche depuis 1740. La Prusse dispose d'une armée puissante, modernisée, bien équipée et entraînée. Elle met en déroute les alliés de l'Autriche à la bataille de Langensalza les 27 et 28 juin 1866, puis défait l'Autriche à la bataille de Sadowa le 3 juillet 1866. Le traité de Prague dissout la Confédération germanique. La Prusse peut alors créer la confédération de l'Allemagne du Nord et imposer son roi comme président permanent. Les États allemands du sud du Main sont momentanément écartés de la confédération, mais nouent des alliances avec la Prusse.