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Gare de Wondelgem

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Gare mise en service en 1861Gare à GandLigne 58 (Infrabel)Page avec des cartes
Station Wondelgem Foto 2
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La gare de Wondelgem (en néerlandais : station Wondelgem) est une gare ferroviaire belge de la ligne 58, de Gand à Eeklo, située à Wondelgem, section de la ville de Gand, dans la province de Flandre-Orientale en Région flamande. Elle est mise en service en 1861 par la Compagnie du chemin de fer de Gand à Eecloo. C'est une halte ferroviaire de la Société nationale des chemins de fer belges (SNCB) desservie par des trains Suburbains (S) de la ligne S51 du réseau S Gantois.

Extrait de l'article de Wikipedia Gare de Wondelgem (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Gare de Wondelgem
Wondelgemstationplein, Gand

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Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 51.088975 ° E 3.719592 °
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Adresse

Wondelgem

Wondelgemstationplein
9032 Gand
Flandre orientale, Belgique
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linkWikiData (Q2619109)
linkOpenStreetMap (7439120741)

Station Wondelgem Foto 2
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Musée de l'Industrie (Gand)
Musée de l'Industrie (Gand)

Le musée d'archéologie industrielle et du textile de Gand (MIAT), Museum voor Industriële Archeologie en Textiel, a été créé en 1976 et se trouve hébergé depuis 1990 dans une ancienne filature de coton, la filature Desmet-Guéquier, située dans le nord du vieux Gand, sous la boucle de la Lys, lieu où avaient tendance, pendant la première révolution industrielle, à se concentrer les manufactures de textile. Le bâtiment, qui date de 1905-1912, fut conçu à l’instar des manufactures de coton de Manchester : il se compose d’une série de salles spacieuses et est doté de vastes baies vitrées. Les 3 500 m2 d’espace que comporte l’édifice sont utilisés pour évoquer l’histoire de l’industrie gantoise, en mettant plus particulièrement l’accent sur l’activité textile. Dès le Moyen Âge, Gand fut un important centre de production de la laine, et aux XIIIe et XIVe siècles, les draps gantois étaient réputés loin au-delà des frontières ; à partir du XVe siècle, on assiste à la montée en puissance du lin ; enfin, dans la seconde moitié du XVIIIe siècle s’établirent les premières manufactures de coton. Tout au long du XIXe siècle, et jusque dans les années 1960, la ville demeurera un important centre textile. Le MIAT s’articule sur plusieurs «niveaux». Niveau 1 Galerie des machines Y sont exposés une trentaine de grandes machines anciennes (métiers à tisser le velours, machines à lin, moteurs électriques, machines à vapeur, etc.), datant pour la plupart des environs de 1900. Également: nombreuses peintures, notamment de l’exposition universelle de 1913. Niveau 3 Fonctionnement d’une usine à coton Cette section permet de se représenter comment le textile était fabriqué au XIXe et au début du XXe siècle. On peut y voir une fileuse à l’œuvre dans son atelier artisanal et un tisserand industriel s’activer sur une machine. Les applications textiles modernes sont évoquées également : protection nucléaire, navigation dans l’espace, veste pare-balles, etc. Niveau 4 Homme et technologie Cette section illustre la manière dont les innovations technologiques ont influencé la vie quotidienne et ont donné lieu à la société de consommation. On y trouve entre autres une fabrique de moutarde, un atelier typographique et une imprimerie. Niveau 5 Serpenter à travers le temps Cette section retrace la première révolution industrielle, au départ de l’année 1750 : manufactures, exode rural, la vapeur comme source d’énergie. Les mouvements sociaux et politiques sont illustrés à l’aide de photos et d’objets. C'est sur ce niveau qu'est exposée la pièce-maîtresse du musée : une mule-jenny, machine à filer anglaise, soumis au secret industriel, mais que le Gantois Liévin Bauwens réussit à introduire en fraude sur le continent en 1798.

Musée de la vie populaire
Musée de la vie populaire

Le musée de la vie populaire (néerl. Museum voor Volkskunde, ou depuis 2000 Huis van Alijn), l’un des plus importants de ce type en Belgique, est hébergé dans un ancien hôtel-Dieu du XIVe siècle. Celui-ci, désigné par Kinderen Alijnshospitaal (hospice des Enfants Alijn) ou encore par Sint-Catharinahospitaal, joyau du quartier Patershol, se compose de 18 maisonnettes (maisons-Dieu) rangées autour d’un patio. Il fut construit dans la deuxième moitié du XIVe siècle par la famille Rijm pour se racheter, auprès du comte Louis de Male, du meurtre, perpétré en raison d’une querelle familiale, des deux fils Alijn (prononcer ‘alêne’) dans la cathédrale quelques années auparavant; la condition de la grâce comtale en effet portait que devait être construit un hôtel-Dieu pour 18 femmes vieilles et indigentes. Au XVIe siècle, alors que l’hospice se trouvait fort délabré, deux autres familles patriciennes entreprirent de le restaurer, firent construire huit maisons-Dieu supplémentaires, et ajoutèrent, en 1543, une chapelle (de style Renaissance, mais avec baies gothiques). Après le départ des derniers pensionnaires en 1863, l’hospice fut vendu en 1883 et changé en cour d’habitation, et la chapelle en atelier de menuiserie. Racheté par la municipalité en 1941 et restauré avec bonheur en 1962, l’hospice Alijn accueille depuis cette date le musée de la vie populaire, successeur de l’ancien musée de folklore, fondé en 1932. Le musée entend donner un aperçu de la vie quotidienne du petit peuple en milieu urbain aux alentours de 1900 ; depuis peu cependant, le musée tend aussi à étendre son propos à des périodes plus récentes. Le circuit conduit le visiteur de maisonnette en maisonnette et lui fait découvrir tour à tour les quatre départements dont se compose le musée; ce sont : Pillegift en Engelenbrood, ‘Cadeau de baptême et Pain des Anges’ : les principales étapes de la vie, les rites de passage de la naissance jusqu’à la mort sont illustrés. Fanfares en ander Feestgedreun, ‘Fanfares et autre tintamarre festif’ : sont passés en revue ici les divertissements et festivités populaires (fanfares, cirque, spectacles de sport, colombophilie, etc.). Passie en Godsvrucht, ‘Passion et Piété’ : ce département donne à voir les coutumes et traditions de la culture religieuse populaire (statuettes de saints, ex-voto, imagerie religieuse, etc.). Meesterschap en Handelsgeest, ‘Maîtrise et Esprit de négoce’ : ont été reconstitués ici un certain nombre d’intérieurs de maisons de commerce et d’ateliers d’artisanat gantois (pharmacie, bonbonnerie, salon de barbier, atelier de cordonnier, d’imprimeur, de dinandier, de tourneur sur bois, etc.).