place

L'Aigle blessé

Article géolocalisé en BelgiqueArticle utilisant l'infobox MonumentArticle utilisant le modèle Dictionnaires inactifArticle utilisant une InfoboxBataille de Waterloo
Drapeau dans la sculptureOiseau dans l'artPage avec des cartesPage avec des données de géolocalisation non prises en chargePage pointant vers des bases externesPage pointant vers des bases relatives à l'architecturePatrimoine classé à LasnePatrimoine du XXe siècleSculpture de Jean-Léon GérômeSculpture en Belgique
Aigle Blessé 08
Aigle Blessé 08

L'Aigle blessé est un monument commémoratif élevé sur le site du champ de bataille de Waterloo, en Belgique, à la mémoire du « Dernier Carré » des troupes napoléoniennes. Le monument est l'œuvre de l'architecte parisien Henri-Paul Nénot, de la carrière Gauthier & Cie à Soignies et du fondeur parisien Siot. La sculpture est due au peintre et sculpteur français Jean-Léon Gérôme qui mourut quelques mois avant l'inauguration du monument. Le monument est géré par la Province du Brabant wallon, qui gère également sur le site de la bataille des monuments comme la colonne Victor Hugo et la ferme du Caillou.

Extrait de l'article de Wikipedia L'Aigle blessé (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

L'Aigle blessé
Rue du Loup (Chemin n°5),

Coordonnées géographiques (GPS) Adresse Liens externes Lieux à proximité
placeAfficher sur la carte

Wikipedia: L'Aigle blesséContinuer à lire sur Wikipedia

Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 50.666029 ° E 4.413363 °
placeAfficher sur la carte

Adresse

L'Aigle blessé

Rue du Loup (Chemin n°5)
1380 (Plancenoit)
Brabant wallon, Belgique
mapOuvrir sur Google Maps

linkWikiData (Q3201629)
linkOpenStreetMap (1223615097)

Aigle Blessé 08
Aigle Blessé 08
Partager l'expérience

Lieux à proximité

Bataille de Waterloo
Bataille de Waterloo

La bataille de Waterloo [watɛʁlo] s'est déroulée le 18 juin 1815, en Belgique, à vingt kilomètres au sud de Bruxelles, dans l'actuelle province du Brabant wallon. Cette bataille a opposé l'armée française dite Armée du Nord, dirigée par l'empereur Napoléon Ier, à l'armée des Alliés, dirigée par le duc de Wellington et composée de Britanniques, d'Allemands (contingents du Hanovre, du Brunswick, du Nassau) et de Néerlandais (unités belges et néerlandaises), rejointe par l'armée prussienne commandée par le maréchal Blücher. Elle s'est achevée par la défaite décisive de l'armée française. Napoléon Ier lance des assauts contre le château d’Hougoumont et la ferme de La Haye-Sainte mais l’armée de Wellington résiste. C’est alors que l’armée prussienne intervient, attaquant le flanc droit de l’armée française. Le maréchal Grouchy, chargé de poursuivre les prussiens après Ligny, avait failli à sa tâche. La cavalerie française charge les lignes adverses à plusieurs reprises et menace de les briser. La Garde impériale avance mais doit finalement reculer. Une attaque générale des coalisés rend la défaite française inévitable. Les combats n'ont pas lieu sur le territoire de la commune de Waterloo, mais un peu plus au sud, sur les territoires des communes actuelles de Lasne, Braine-l'Alleud et de Genappe. Toutefois, Wellington écrivit la dépêche annonçant la victoire des coalisés depuis son quartier général situé à Waterloo, fixant ainsi ce nom à la bataille qui fut initialement appelée en France « bataille de Mont-Saint-Jean »,, lieu effectif de l'engagement. En Allemagne, la bataille est dénommée « Victoire de la Belle-Alliance » (Sieg von Belle-Alliance),, du nom de l'auberge où eut lieu la rencontre entre les deux généraux en chef des coalisés à la fin de la journée. Cette bataille est la dernière à laquelle prit part personnellement Napoléon, qui venait de reprendre le pouvoir en France trois mois plus tôt, et marque ainsi la fin de cette période des Cent-Jours. Napoléon dut en effet abdiquer quatre jours plus tard à son retour à Paris, le 22 juin, face au manque de soutien politique.