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Château des Roches-Saint-Quentin

Article géolocalisé en FranceArticle utilisant le modèle Dictionnaires inactifArticle utilisant une InfoboxChâteau monument historique en Indre-et-LoireMonument historique inscrit en 1971
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Quentin Roches
Quentin Roches

Le château des Roches-Saint-Quentin, dont la construction s'est étalée du XIVe au XVIe siècle, se situe sur Saint-Quentin-sur-Indrois, commune française du département d'Indre-et-Loire, dans la région Centre, à environ 1 km à l'est du centre bourg. Il a vu naître Jeanne-Marie de Maillé en 1331, avant d'être, jusqu'au XVIe siècle, la propriété de la famille Fumée, qui possédait également le fief de Genillé. Ce château privé, dont certaines parties figurent sur la liste des monuments historiques au titre d'édifices inscrits, ne se visite pas. Il est depuis 1992 un prieuré des religieux de la Communauté Saint Jean qui y habitent.

Extrait de l'article de Wikipedia Château des Roches-Saint-Quentin (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Château des Roches-Saint-Quentin
Les Roches, Loches

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Les Roches

Les Roches
37310 Loches
Centre-Val de Loire, France
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Quentin Roches
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Saint-Quentin-sur-Indrois
Saint-Quentin-sur-Indrois

Saint-Quentin-sur-Indrois (prononcé [sɛ̃ kɑ̃.tɛ̃ sy.ʁ‿ɛ̃d.ʁwa]) est une commune française du département d'Indre-et-Loire (région Centre-Val de Loire et ancienne province de Touraine). Dès le Néolithique, l'homme s'installe sur le plateau fertile de la Champeigne tourangelle. Cette occupation est pérenne au fil des millénaires, attestée par les vestiges de mégalithes, de tumulus, de voies antiques et de sarcophages mérovingiens. L'histoire médiévale de la paroisse, dont le nom apparaît dans les textes vers la fin du XIIe siècle, est marquée par les figures de la bienheureuse Jeanne-Marie de Maillé qui y naquit et d'Adam Fumée, médecin et proche conseiller de plusieurs rois de France, qui se rendit acquéreur du château des Roches. Saint-Quentin fut également le théâtre d'une des scènes d'une tentative d'enlèvement politique du sénateur Clément de Ris à l'instigation de Fouché. Partagée entre le plateau de la Champeigne au nord, la forêt domaniale de Loches au sud et parcourue dans sa partie médiane par la vallée de l'Indrois, Saint-Quentin offre une grande variété de paysages et d'habitats naturels qui hébergent une flore et une faune très diversifiées. Son territoire communal est d'ailleurs intégré à un site du réseau Natura 2000 et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF). La courbe démographique de Saint-Quentin-sur-Indrois présente une physionomie très comparable à celle d'autres communes rurales du même département. Après un exode rural important entre les années 1880 et la fin des années 1960, la commune regagne peu à peu une part de sa population depuis le dernier quart du XXe siècle et compte 511 habitants en 2014. Pourtant ce redressement ne se traduit pas par une redynamisation de l'économie locale, mais grâce à l'autoroute A85 : les habitants de Saint-Quentin-sur-Indrois travaillent en très grande majorité en dehors de la commune, sur les pôles d'emploi attractifs constitués par Amboise et Loches, que dessert la même route passant par Saint-Quentin-sur-Indrois. L'achat de l'immobilier ancien se voit rénover et des terrains seront prochainement à vendre, le PLU de la commune ayant été finalisé en 2017.

Chédigny
Chédigny

Chédigny (prononcé [ ʃediɲi]) est une commune française du département d'Indre-et-Loire en région Centre-Val de Loire. La présence humaine sur son territoire est attestée depuis la Préhistoire. Si la commune actuelle est née à la Révolution de la fusion de deux anciennes paroisses, le nom de Chedignacum apparaît au milieu du XIIe siècle alors que l’existence d’une châtellenie est attestée par des sources écrites au début du XIIIe siècle. Cette petite commune de la vallée de l'Indrois, de tradition agricole, qui avait connu un exode rural massif depuis la fin du XIXe siècle, a amorcé en 1978 sa mutation en créant une zone artisanale au moment même où sa population recommençait à croître ; cette zone d'activités accueille, en 2011, huit entreprises qui emploient près de cent personnes. Chédigny a régulièrement organisé depuis le milieu des années 1970 des manifestations culturelles (spectacles montés et joués par ses habitants, festival de blues), mais elle s'est surtout fait connaître ces dernières années grâce au fleurissement de son bourg : elle a obtenu en 2013 le label national « Jardin remarquable » attribué, pour la première fois, à une commune dans son ensemble. Enfin, elle possède un patrimoine naturel diversifié, son territoire étant intégré, à des degrés divers, à cinq zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) et à un site du réseau Natura 2000.

Chambourg-sur-Indre
Chambourg-sur-Indre

Chambourg-sur-Indre est une commune française du département d'Indre-et-Loire en région Centre-Val de Loire. Peut-être déjà occupé dès le Néolithique, le site ne conserve cependant que les vestiges d'un établissement datant de l’époque romaine : un aqueduc, une villa, une voie. Viguerie puis fief médiéval, Chambourg devient commune en 1789, au terme d'un échange de hameaux jusqu'alors indivis avec sa voisine Chédigny. Les crues de l'Indre, toujours à craindre en 2014, n'ont jamais dissuadé les hommes de s'implanter définitivement à Chambourg jusque sur les bords de la rivière. Devenue Chambourg-sur-Indre en 1920, la commune est l'un des rares territoires ruraux du Lochois à ne pas connaître de récession démographique au XXe siècle. En 2021, sa population est de 1 236 habitants. L'agriculture communale se recentre depuis une trentaine d'années autour de grosses exploitations spécialisées dans la culture des céréales, des oléagineux et protéagineux. Dans le secteur industriel, Chambourg-sur-Indre accueille depuis 1961 l'une des grandes entreprises françaises du domaine de la signalisation routière. Partagée entre les plateaux de la Gâtine de Loches, la forêt de Loches et la vallée de l'Indre, Chambourg abrite sur son territoire une faune très variée qui lui vaut d'être partiellement intégrée à plusieurs dispositifs nationaux (ZNIEFF) ou européens (réseau Natura 2000) d'évaluation et de protection de la biodiversité.

Genillé
Genillé

Genillé (prononcé [ ʒənije]) est une commune française du département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire. Habité dès le Néolithique, ce bourg rural de la vallée de l'Indrois fut un important vicus attesté dès l'époque mérovingienne, époque à laquelle on y battait monnaie. L'histoire de la paroisse est marquée par deux personnages, Adam Fumée proche conseiller de Charles VII, Louis XI puis Charles VIII dans la seconde moitié du XVe siècle puis Michel de Marolles au XVIIe siècle, abbé de Villeloin, grand collectionneur, homme de lettres et de salons. Au milieu du XIXe siècle, une grande ferme s'installe à Genillé, mettant en œuvre les techniques de culture les plus modernes et le président Patrice de Mac Mahon y fait une visite en 1877 ; l'exploitation se poursuit, avec des fortunes diverses, jusqu'en 1951. Même si Genillé a connu, comme la très grande majorité des communes rurales de France, une baisse importante de sa population dès la fin du XIXe siècle, son statut de « gros bourg » d'environ 1 500 habitants lui a permis de rester suffisamment attractive pour conserver une activité artisanale et commerciale. Depuis trente-cinq ans, la population augmente à nouveau pour atteindre, en 2014, 1 562 habitants. La commune dispose de réserves foncières pour la construction de logements et de nouvelles entreprises s'y créent, même si les nouveaux habitants travaillent pour la plupart en dehors de la commune, notamment à Loches. La partition du territoire communal est assez comparable à celle des communes voisines : la vallée de l'Indrois sépare d'ouest en est un plateau dont la partie nord est destinée aux activités agricoles tandis que la partie sud est majoritairement couverte par la forêt domaniale de Loches. La biodiversité y fait l'objet de trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) et d'un site du réseau Natura 2000.